fbpx

Ce joueur a enlevé sa teinture pour pouvoir jouer avec sa sélection

Les sélections nationales se mettent à dicter à leurs joueurs leur couleur de cheveux ? C’est ce qui semble se passer pour Yan Couto. Le latéral droit de Gérone, choisi pour représenter le Brésil à la Copa America dans une semaine, a accepté d’éviter le rose.

Toute la saison, Yan Couto s’est fait remarquer pour son activité sur son côté droit, au FC Gérone, le club surprise de la Liga espagnole. Mais aussi pour autre chose. Sa couleur de cheveux. Rose pétante ! Un joueur qui se fait doublement remarquer.

Mais ça ne semble pas être apprécié du côté de sa sélection nationale. Yan Couto assure avoir reçu pour demande de ne pas se teindre les cheveux en rose avec le Brésil... Soucieuse de ne pas polémiquer, la Fédération brésilienne (CBF) dément l’existence d’un veto. Elle dément aussi l’existence de discussions autour des couleurs de cheveux.

Pour autant, la CBF reconnaît avoir des conversations sur l’image des athlètes autour des horaires, de la nourriture ou du comportement pendant les pauses. Chose tout à fait normale. De là à conseiller à ses joueurs d’éviter le rose ?

Yann Couto s’est en tout cas plié au désidérata de la Seleção puisqu’il arbore depuis peu à nouveau sa couleur de cheveux initial. Le brun. Rendez-vous sur les terrains à partir du 20 juin pour la Copa America. Le Brésil démarrera face au Costa Rica à partir du mardi 25 juin. La compétition se déroule cette année aux Etats-Unis.

Eric Ciotti consacré star de la semaine sur les réseaux sociaux

C’est une pluie de détournements, de moqueries, voire de harcèlement. Eric Ciotti est la star de la semaine sur les réseaux sociaux. Il faut dire qu’il l’a bien cherché. Quand un homme politique se retranche à double tour dans le bureau de son parti, c’est sûr que même sur Netflix, on pourrait penser que c’est exagéré.

Eric Ciotti est devenu un meme. Un « concept (texte, image, vidéo) massivement repris, décliné et détourné sur Internet de manière souvent parodique, qui se répand très vite, créant ainsi le buzz », d’après le Larousse. Si encore ce vendredi, il fait comme si de rien n’était et réaffirme son statut de président des Républicains, la commission a bel et bien statué son renvoi.

Le président des Républicains depuis décembre 2022 a commis le geste qui restera pour toute sa carrière dans l’esprit du grand public. S’enfermer de la sorte dans les bureaux du parti politique dont il est président restera dans les annales.

Guillaume Kasbarian, le futur ex-ministre du logement, a lancé les hostilités d’un tweet parfaitement senti : « Attention Eric Ciotto, depuis 1 an grâce à la loi Kasbarian, la procédure en cas de squat est accelérée ».

Face à cette scène aussi surprenante qu’inattendue, c’est toute l’image du monde politique qui en prend un coup. Un coup que l’on pourrait penser fatal, tellement l’image de nos hommes politiques paraît détruite pour longtemps.

Certains ont vu l’arrivée de Valérie Pécresse, se retroussant les manches, comme la scène de fin d’un film d’action ! « Elle a retroussé ses manches comme si elle montait le marbrer à mains nues ». D’autres comme Guillaume TC, un des rois du détournement, fusionne deux memes pour en créer un nouveau assez cocasse.

Les plus créatifs s’amusent de tout ce bazar. Sur X, ils s’en donnent à coeur joie. Un maître de la parodie, dont le pseudo est Illuminati Reptilien, se régale avec une vidéo amateur montrant Eric Ciotti, fusil à la main, retranché au balcon, refusant de se rendre à la police.

D’autres se remémorent la scène du 13 mai 1993, « Human Bomb » prend en otage une école maternelle de Neuilly-sur-Seine. Nicolas Sarkozy intervient en héros.

La palme de la moquerie revient au compte Memes Politiques, qui répertorie les memes politiques, comme son nom l’indique… « Tu n’es pas seulement un lâche, tu es un traitre ! Comme ta petite taille le laissait deviner ! ». Citation du film OSS 117, Le Caire nid d’espions. Une comédie où excelle Jean Dujardin.

N’Golo Kanté menacé : « tu le quittes ou on le descend »

Tout le monde connaît la fabuleuse histoire de la carrière de N’Golo Kanté. Des matchs amateurs à Suresnes jusqu’à Caen puis l’envol à Leicester, champion d’Angleterre surprise, et enfin, un titre de champion du monde. Mais la célébrité et l’argent attirent les pires menaces.

A quelques jours du début de l’Euro pour l’Equipe de France, c’est dans les colonnes de L’Equipe puis dans l’émission L’Equipe du soir que le journaliste Thymoté Pinon raconte une triste histoire. On connaît N’Golo Kanté pour son sourire si communicatif, on connaît N’Golo Kanté pour son incessante activité sur le terrain, on connaît aussi la célèbre chanson sur N’Golo Kanté. Un chouchou. Mais on ne connaissait pas forcément son entourage si toxique.

Champion d’Angleterre à la surprise générale avec Leicester en 2016, il quitte ensuite le club pour Chelsea. Les ennuis commencent. Forcément, avec un tel transfert, les commissions d’agent sont énormes. Plusieurs millions d’euros. Et cet argent attire les convoitises. Ou les jalousies.

Thymoté Pinon raconte la suite : « Qui a son argent et qui ne l’a pas ? Des gens se sentent floués parce qu’ils n’ont pas touché le billet qu’ils espéraient toucher. C’est tout simplement un braquage, on pose une arme à feu sur le genou de N’Golo Kanté. Soit tu changes d’agent et tu viens avec nous, soit très clairement, ton agent, on va s’en occuper. »

Un an après son arrivée à Chelsea, le frère d’un de ses agents profère ces menaces. Il n’était pas rémunéré sur le deal avec Chelsea, alors que selon lui, il avait énormément travaillé pour la carrière du joueur auparavant. Une histoire corroborée par Antoine Bourlon, journaliste à France Football : « Ton agent, soit tu le quittes ou on le descend ». Les dérives du football business.

Olivier Ménard agressé, L’Equipe vandalisé

Stupeur chez les salariés de L’Equipe. Le présentateur vedette de L’Equipe du Soir Olivier Ménard a été violemment agressé, hier, dans le hall de l’immeuble où il habite, à Issy-les-Moulineaux (Hauts de Seine). Quelques heures avant, la façade de la chaîne L’Equipe avait été vandalisée.

Enquête ouverte suite à l’agression du journaliste Olivier Ménard. Peu habitué aux sarcasmes, au buzz ou aux mots plus que les autres, le présentateur de L’Equipe du Soir a été la cible d’une attaque immonde. Chez lui, il a été roué de coups par un individu, qui l’attendait dans son hall d’immeuble. Un choc traumatique immense pour le journaliste et la rédaction.

Il est déjà établi que le présentateur va rater le début de l’Euro, ce vendredi. Les médecins lui ont donné plusieurs jours d’incapacité totale de travail (ITT). Les services de police sont intervenus sur place, lundi, en milieu de matinée. Puis Olivier Ménard a porté plainte pour tentative d’homicide. La police cherche à arrêter l’auteur des faits et comprendre ses motivations.

Le plus surprenant pour les enquêteurs, c’est que cette agression fait suite à une visite également violente devant les locaux de L’Equipe, quelques heures auparavant. Dans la nuit de dimanche à lundi, « un individu muni d’un marteau a causé différents impacts sur plusieurs vitrages » du siège du groupe ASO, provoquant « une dégradation de la façade de l’immeuble », a communiqué la direction dans un mail envoyé à tous les salariés. La sécurité a depuis été renforcée devant cet immeuble de Boulogne Billancourt.

Ruiné, les larmes de Kevin Spacey à la télé américaine

La décadence d’une star d’Hollywood. En quelques années, l’acteur américain Kevin Spacey est passé de millionnaires à un homme endetté. Voire ruiné. Interrogé par Piers Morgan, il a fondu en larmes.

Frank Underwood (House of Cards) a perdu de sa superbe. Au fil des saisons de la série, certes. Mais aussi dans la vraie vie. Kevin Spacey est tombé de son piédestal.

Interviewé par Piers Morgan pendant près d’1h30, le comédien et réalisateur américain n’a pu cacher ses larmes. Depuis 2017, il a tout perdu. Le sexagénaire a notamment évoqué les accusations fallacieuses dont il a fait l’objet. Accusé d’agressions sexuelles par plusieurs hommes, la star a été acquittée de toutes les charges retenues contre lui.

Jeté en pâture, il déclare qu’il a failli mettre fin à ses jours. Piers Morgan revient avec Kevin Spacey sur plusieurs années terribles pour le comédien. Adulé puis détesté, peu de gens ont finalement noté qu’il avait été acquitté.

Kevin Spacey traverse une bien sombre période. Ce mardi 11 juin 2024, l’acteur, réalisateur, scénariste et producteur de cinéma américain était l’invité de Piers Morgan sur le plateau de son émission. L’occasion pour le sexagénaire d’évoquer les accusations dont il a fait l’objet.

Kevin Spacey avait été condamné à payer 31 millions de dollars à la production de House of Cards, série dont il avait été renvoyé suite aux accusations de harcèlement sexuel. La société de production avait reçu des dommages et intérêts suite à la perte de revenus liée au renvoi de l’acteur vedette. La sixième saison de la série ayant été remodelée en dernière minute.

Celui qui a obtenu deux oscars durant sa carrière est endetté « de plusieurs millions ». Il avoue ne plus être en mesure de payer ses factures : « Je dois encore payer des frais juridiques. Je suis en dette, de plusieurs millions ».

« C’est drôle que vous posiez cette question, parce que cette semaine, ma maison à Baltimore doit être vendue. Je dois y retourner pour récupérer mes affaires« , répond-t-il à Piers Morgan après que l’animateur lui ait demandé où il vivait. « Je ne suis pas sûr du lieu où je vais vivre maintenant ».

C’est en 2017 que l’acteur Anthony Rapp l’accuse d’harcèlement sexuel, en pleine vague MeToo. Des faits qui remontent à 1986, alors qu’il n’avait que 14 ans. De nombreuses victimes avaient brisé le silence.

En 2022, Kevin Spacey est jugé non coupable d’attouchements sexuels. Puis à nouveau reconnu non coupable d’agressions sexuels sur quatre hommes dans son procès londonien en 2023. Mais bel et bien coupable d’avoir fait perdre de l’argent à la société de production d’House of Cards.

Dans cette interview, Kevin Spacey révèle par ailleurs qu’Elton John a été le premier à lui envoyer un message de soutien lorsqu’il a été accusé à tort d’agressions sexuelles.

Conférence de presse d’Emmanuel Macron : il admet sa « responsabilité »

Conférence de presse longue durée. Le chef de l’Etat souhaitait faire le point. Entre malaise et inquiétudes des citoyens, Emmanuel Macron a dressé la nouvelle feuille de retour. Voici ce qu’il faut retenir.

Quatre jours après la dissolution surprise de l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron s’est présenté ce mercredi midi devant la presse. Une grande explication depuis le pavillon Cambon Capucines à Paris.

Suite à la large et attendue victoire du RN aux européennes, « un fait politique majeur qu’on ne saurait ignorer », le Président de la République fixe de nouveaux caps. Pour lui, « un blocage empêchait inéluctablement le gouvernement d’agir ». Avec une majorité relative au Parlement, cela a rendu « l’action moins lisible et ne nous a pas permis de bâtir des coalitions durables ».

Cette dissolution « permet la clarification des choses », a ajouté Emmanuel Macron, « le retour au peuple souverain est la seule décision républicaine ». Il en profite pour tacler les oppositions qui tentent depuis dimanche soir de nouer de nouvelles alliances.

Des « alliances contre-nature », des « bricolages d’appareil ». Emmanuel Macron estime que « depuis dimanche soir, les masques tombent et la bataille des valeurs éclate au grand jour ». Il y a ceux qui « choisissent de faire prospérer leur boutique et ceux qui veulent faire prospérer la France ».

Le non aux extrêmes, le oui au dialogue. Même s’il fixe un cap, le chef de l’Etat ne souhaite pas animer la campagne des législatives plus qu’en 2017 ou 2022. Pas de débat prévu avec Marine Le Pen avant le 30 juin. D’autant que la présidente du RN a annoncé qu’elle n’accepterait un face-à-face que si le président mettait sa démission « sur la table ». Réponse cinglante du Président de la République : « Je me suis soumis à deux reprises aux suffrages des Françaises et des Français ». Pas question de démissionner, « c’est absurde ».

Face aux scores de l’extrême droite et à l’inquiétude générale, Emmanuel Macron admet sa « responsabilité » avec un manque de réponse « assez rapide et radicale ». Un grand débat sur la laïcité, des mesures de protection de nos enfants, l’addiction aux écrans, il promet des « décisions claires » du gouvernement.

En cas d’élection du RN, « l’accès au crédit coûtera plus cher, le taux pour accéder au logement sera plus cher », promet-il.

Droits TV : le football français proche de la faillite ?

EDITO – Et si le football français faisait faillite ? Alors qu’aucune décision n’a encore été prise concernant les droits TV de la prochaine saison de Ligue 1, plusieurs dirigeants de clubs commencent sérieusement à s’inquiéter pour leurs finances.

Laurent Nicollin tape du poing sur la table. Il n’en peut plus. Soutien de Vincent Labrune, président de la Ligue de Football Professionnel (LFP), ayant hérité d’un football français en situation financière catastrophique, le président du Montpellier Hérault en veut à Canal+.

Dans une interview pour le journal L’Équipe, Laurent Nicollin pointe du doigt la chaîne cryptée Canal+, coupable à ses yeux de ne pas aider le football français. Un football français dont certains clubs basent leur budget à 60% sur les droits télé… Des milliers de salariés vivent donc sous perfusion de droits TV.

Problème, Canal+ n’a pas apprécié que lors du dernier appel d’offres, la chaîne ne récupère que 2 matchs pour 332 millions d’euros (via une cession de droits de BeIn Sports) alors qu’Amazon Prime Video récupérera (via la faillite de MediaPro-Telefoot la chaîne) 8 matchs pour 250 millions d’euros. Un écart colossal, un désavantage énorme pour C+. Son patron Maxime Saada n’a pas la mémoire courte.

Après des échanges infructueux avec DaZN (prononcez DaZone), Bein Sports ou Amazon en 2023, la LFP peut-elle se permettre d’attendre encore longtemps ? La reprise du championnat est fixée au 17 août, le mercato est ouvert depuis lundi et la DNCG (le gendarme financier) a repoussé beaucoup de rendez-vous annuels avec les clubs.

Faut-il attendre que des investisseurs étrangers se dévoilent enfin du côté de l’Olympique de Marseille pour créer une bouffée d’oxygène pour tous les clubs français ? Et relancer l’attractivité du championnat. Ce serait alors des sauveurs à double titre.

Vincent Labrune parlait d’un montant total d’un milliard d’euros pour les droits TV domestiques et internationaux en 2023, nous sommes actuellement sur une estimation de 500 millions d’euros pour les droits nationaux et de 150 millions d’euros pour les droits à l’étranger. 650 millions d’euros, bien loin du milliard… Mais là encore, aucune chaîne, ni les GAFA (Google-Amazon-Facebook-Apple) ne valide ce deal !

La LFP a ainsi laissé fuiter dans les médias une possibilité de créer une chaîne Ligue 1, lancée par la Ligue. Un plan B totalement farfelu puisque pour arriver à la rentabilité, cette chaîne devrait obtenir rapidement 4 millions d’abonnés, chose totalement irréalisable. D’autant plus avec un abonnement à 25 euros par mois… Incompréhensible. Les vendeurs d’IPTV s’en régalent déjà.

Alors Laurent Nicollin accuse Canal+ de refuser de négocier pour « tuer le football français ». Canal+ a pourtant peu d’intérêts à cela puisque la chaîne diffuse les Coupes d’Europe. Sans club français au niveau dans ces compétitions, les audiences sont catastrophiques. « Dans la vie, quand on se sent lésés par quelque chose, on prend des rendez-vous, on discute avec les gens », poursuit Laurent Nicollin dans L’Équipe.

Damien Comolli, président du Toulouse Football Club (TFC), abonde dans ce sens : « Je ne comprends pas comment on peut dépenser des centaines de millions pour les Coupes d’Europe et ne pas donner les moyens aux clubs français ».

Plus inquiétant encore, si la LFP valide un deal autour de 500 millions d’euros (seulement) de droits nationaux, les clubs perdraient environ 30% de revenus par rapport à la saison dernière ! Avec l’accord CVC qui permet à ce fonds d’investissement de récupérer dés la saison prochaine une partie des sommes investies pour aider les clubs français depuis deux ans, ce serait donc une perte nette pour les clubs. Il va falloir se montrer beaucoup plus créatif qu’avant pendant le mercato.

« Il y aura peut-être cinq ou six clubs qui feront faillite. Ils seront contents. Ils mettront le rugby le dimanche soir. S’il me manque 20 millions de droits télé… Les gros clubs resteront. À un moment, ils voulaient un Championnat de 10 ou 12 clubs. Ils le feront », prédit Laurent Nicollin avec pessimisme mais lucidité.

Aucune porte de sortie valable ne semble visible actuellement. Encore moins avec un Emmanuel Macron très pris par le bazar politique actuel. Le Président de la République se soucie pourtant souvent de la survie du football français.

Un autre homme d’affaires aurait pu être le sauveur. Mais il ne faut pas encore compter sur l’entrée en jeu d’Altice Média, dont Rodolphe Saadé (CMA-CGM) attend toujours la validation du rachat par l’autorité de la concurrence. Timing trop juste, semble-t-il, pour se lancer dans l’acquisition de droits TV pour BFM-RMC. Qui veut bien sauver le football français, svp ?

Kevin Spacey nie avoir fréquenté le criminel sexuel Jeffrey Epstein

Lors d’une interview longue durée menée par Piers Morgan, Kevin Spacey se livre comme jamais sur cette période noire, qui l’a vu perdre son statut de star ainsi que des millions d’euros. Acquitté des accusations d’agressions sexuelles, il reste meurtri à tout jamais.

En 2017, alors que des accusations d’harcèlement et d’agression sexuelle font surface, en pleine vague MeToo, Kevin Spacey est une immense star. Oscarisé à deux reprises, il cartonne en tant que Frank Underwood dans la série Netflix House of Cards.

Même s’il sera blanchi de toute accusation en 2022 puis 2023, le comédien et réalisateur a dû payer des millions d’euros de frais juridiques, vendre sa maison de Baltimore et dédommager la société de production de la série phare.

Chez Piers Morgan, pendant 1h30, l’acteur américain se livre avec émotions. En larmes au moment d’évoquer son départ de sa maison de Baltimore, il n’élude aucun sujet.

Interrogé par le journaliste sur ses prétendus liens avec Jeffrey Epstein, homme d’affaires et criminel sexuel décédé en 2019, il répond cash. C’est un pilote d’un des avions de Jeffrey Epstein qui avait accusé Kevin Spacey d’être présent au moment de se rendre sur une île où certaines personnalités auraient abusé sexuellement d’adolescentes.

« Je ne connais pas Jeffrey Epstein, mais j’ai découvert plus tard, après les accusations de 2015, que l’avion utilisé pour des actions humanitaires était la propriété de Jeffrey Epstein. Je ne l’ai jamais connu, je n’ai jamais passé une minute avec lui. Ce n’est pas mon ami, ce n’est pas un confident, je n’ai jamais passé de temps avec lui. Mais j’étais très fier d’être dans un avion avec le Président Clinton pour des oeuvres humanitaires. ».

Poursuivant : « Mais oui, il a fait porter un risque au Président puisqu’il y avait des jeunes filles sur ce vol. Oui, il y avait des adolescentes dans l’avion ».

Interview longue durée à retrouver sur la chaîne YouTube de Piers Morgan.