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Diddy dans la tourmente, nouvelle affaire Epstein ?

Une perquisition à l’Américaine. Des voitures de police en grand nombre, les caméras de télévision prévenues à l’avance, des hélicoptères et drones survolant les lieux. On se serait cru dans le tournage d’une série télé. Pas du tout. Les somptueuses demeures du rappeur et producteur P. Diddy viennent d’être perquisitionnées lundi à Miami (Floride, Etats-Unis) et Los Angeles (Californie, Etats-Unis).

Son nom est même celui le plus cité ces dernières heures sur les réseaux sociaux. Cela laisse place à toutes les rumeurs et interprétations. Si son avocat dénonce une « chasse aux sorcières », la star du hip-hop est au cœur de poursuites pour viol et agressions sexuelles. Certains imaginent aussi d’autres grands noms du rap embarqués par ricochet dans ce dossier sulfureux…

Les médias américains ne parlent que de ça. Est-on à l’aube d’une nouvelle affaire type « Jeffrey Epstein » ? Les habitants des deux quartiers des maisons perquisitionnés hier ne sont pas habitués à de telles descentes de police. Armés jusqu’aux dents, la police a réalisé un coup de force, voire un coup de communication.

Selon des voisins interviewés par plusieurs télés américaines, « de nombreux va et vient ont lieu tard le soir » chez Diddy. Un classique chez les rappeurs. La suite l’est beaucoup moins. Et inquiète bien plus : « On voit parfois arriver des bus de mineurs, en pleine nuit »…

Selon le New York Times, le célèbre producteur n’a pas cherché à fuir. Présent à l’aéroport de Miami, Diddy a été vu en conversation avec des agents fédéraux, sans être embarqué. Il s’apprêtait à s’envoler pour les Bahamas pour finalement rester aux États-Unis. À Los Angeles, les fils du rappeur Sean Combs (alias Diddy) ont été menottés. Que se passe-t-il réellement ?

En novembre, Cassie, une chanteuse et ancienne compagne de Diddy, a déposé plainte au civil pour viol et violences physiques contre le rappeur. Elle affirme avoir été initiée à la drogue, sous l’emprise de son compagnon, forcée à avoir des rapports sexuels filmés avec d’autres hommes, avoir été violée et victime de violences physiques. Elle s’est officiellement séparée de lui en 2018. Deux jours plus tard, les deux parties annoncent un « accord à l’amiable », sans détails supplémentaires. Mais certainement à grand renfort de millions de dollars.

L’affaire aurait pu s’arrêter là. Mais depuis, plusieurs autres femmes ont porté plainte. L’une accuse Puff Daddy (son ancien nom de scène) de l’avoir « droguée, et agressée sexuellement » en 1991, lorsqu’elle était étudiante à l’université de Syracuse. Elle avait filmé la scène et diffusé la vidéo en guise de vengeance.

Une autre femme, dont l’identité n’a pas été dévoilée, affirme que Diddy et le chanteur Aaron Hall l’ont violé à New York il y a plus de 30 ans. En décembre, autre plainte, au civil cette fois, l’accusant d’un viol en réunion sur une mineure de 17 ans en 2003.

Enfin, un ancien collaborateur, Rodney « Lil Rod » Jones, a porté plainte : il accuse Diddy d’avoir abusé de lui pendant plus d’un an alors qu’il travaillait avec lui en 2022-23 sur l’album Love.

L’étau se resserre autour de la star dont le nom a été cité à de nombreuses reprises au cours d’enquête non élucidées, comme celle de la mort de Tupac Shakur, superstar du rap abattue dans sa voiture à Las Vegas en 1996.

D’autres noms de célébrités sont cités autour de ce sombre dossier, en tant que complice : du prince Harry à Jay-Z, impossible pour le moment de faire la lumière.

À 54 ans, Diddy nie en bloc : « Des allégations écœurantes ont été portées contre moi par des individus à la recherche d’un salaire rapide. Laissez-moi être absolument clair : je n’ai fait aucune des choses horribles qui sont alléguées. Je me battrai pour mon nom, ma famille et pour la vérité ».

Ce mardi, son avocat Aaron Dyer a dénoncé un « usage excessif flagrant de la force armée », « cette embuscade sans précédent – associée à une présence médiatique coordonnée – conduit à un jugement prématuré de Monsieur Combs ».

Percuté par un cargo, un pont s’effondre (vidéo)

Des images spectaculaires et inquiétantes. Pour un accident majeur. De quoi faire énormément réagir dans le monde entier sur les réseaux sociaux.

Le pont Francis Scott Key à Baltimore (Maryland, Etats-Unis) s’est effondré, vers 1h35 ce mardi, après avoir été percuté par un cargo. Les vidéos totalisent des millions de vues : on y voit l’effondrement du pont causé par le choc avec l’imposant navire.

L’autorité des transports du Maryland a communiqué sur le réseau social X pour informer les populations et préconiser aux automobilistes d’éviter la zone.

La police de Baltimore a communiqué à la chaîne NBC que des personnes sont tombées dans la rivière, « possiblement une vingtaine ». Ainsi que des voitures. Les secours sont à pied d’œuvre.

Certains internautes ont déjà retrouvé avec nostalgie des images d’archives de ce célèbre pont de Baltimore, utilisé notamment pour une scène de la saison 2 de la série multi-récompensée « The Wire ».

Love Army : porté disparu, Jérôme Jarre s’explique enfin

Une ascension fulgurante. Une présence dans tous les médias. Jérôme Jarre, nouveau visage de l’humanitaire dépoussiéré. Sa « Love Army » était devenue un phénomène de société. Puis, le néant. Disparition totale. C’est justement le sujet du documentaire « #LoveArmy : Où es-tu Jérôme ? » disponible sur Amazon Prime le 20 mars.

Le problème, c’est que Jérôme Jarre n’a pas pris part à ce projet, inutile de chercher ses explications dans ce documentaire. Oui, son projet a fait flop. Mais pour connaître son avis, il fallait regarder Clique, lundi, sur Canal+. Invité de Mouloud Achour, l’ex-star de la plateforme (disparue) de vidéos courtes Vine est venu répondre aux accusations.

A-t-il volé l’argent de son projet humanitaire ? Pourquoi a-t-il disparu des radars si soudainement ? En 2017, sa mission humanitaire prend le chemin des Rohingyas au Bangladesh. Il parvient alors à lever près de 4 millions d’euros, grâce à l’aide de nombreux comédiens, humoristes ou influenceurs (Omar Sy, Jhon Rachid, Natoo, Seb, Mister V). Sauf que tout s’arrête en 2018. Sans plus d’informations.

La #LoveArmy aurait-elle servie à détourner de l’argent ? Les rumeurs vont bon train. « Le teaser du documentaire sous-entend qu’on ne sait pas où est l’argent, ce qui est extrêmement grave », s’agace Jérôme Jarre chez Clique. Les millions, « je les ai donnés aux ONG, c’est ce qu’il faut retenir de ce projet ».

Jérôme Jarre, qui vit aujourd’hui en Afrique du Sud, détaille les péripéties de son projet. « Au bout de deux semaines », il a appris qu’il ne pourrait pas donner d’argent directement aux Rohingyas. Il reste plus de deux mois au Bangladesh afin de chercher les associations adéquates pour aider les réfugiés via cet argent.

Ok, mais pourquoi ne pas avoir communiqué sur le sujet ? Il reconnaît : « J’ai fait d’énormes erreurs en communication, j’ai fait n’importe quoi sur la com’ de cette aventure ». Comme quand il affirme que des maisons d’un camp de réfugiés ont été construites par la Love Army, sauf que « des journalistes (de France 2) sont venus mais on ne pouvait rien leur présenter, j’ai paniqué ». De mauvaises décisions qui auraient mené à l’abandon du projet…

Que l’on se rassure : « L’argent a été dépensé, il a été donné à des assos ».

« Danse avec les Stars » : Inès Reg règle ses comptes avec Natasha St-Pier

La scène aurait pu passer sous les radars. Lors d’une répétition de Danse avec les stars le 31 janvier dernier, Natasha St-Pier aurait insulté l’humoriste Inès Reg. La chanteuse canadienne a déposé une main courante contre la jeune femme pour « menaces de mort », mais elle a aussi été mise en demeure par TF1 Production. Dans un long message d’explication sur Instagram, Inès Reg régle ses comptes.

« Maintenant, je vais vous raconter ma journée du 31 janvier dernier… » L’humoriste Inès Reg publie sa vérité concernant « l’affaire Natasha Saint Pier ». Parfois les larmes aux yeux, parfois en cherchant ses mots, la voix tremblante, elle revient sur cette sombre histoire d’artistes qui « souhaitent faire baisser la musique du danseur de la salle d’à-côté »… Digne de la cour de récréation.

« Je suis désolée, j’ai tellement honte de raconter tout ça tellement c’est ridicule, mais je vais le faire », poursuit Inès Reg.

Le moment en question, le voici, résumé par l’humoriste : « Donc, ce 31 janvier, Natasha vient souvent toquer à la porte pour demander à baisser la musique. On s’adapte, on le fait, je baisse la musique. Sauf qu’à ce moment-là, elle met sa musique encore plus fort. Mon journaliste et mon cadreur s’en plaignent, Christophe Licata (le danseur) aussi. »

Inès Reg va elle-même demander à faire baisser la musique. Accompagnée de son cadreur et de son journaliste. Elle est dans l’émission depuis une semaine, sans souci particulier avec les autres « collèges de travail ». La musique est à fond : le danseur de Natasha St-Pier coupe la musique. Inès lui explique calmement qu’« on ne s’entend pas » dans la pièce d’à-côté. Réponse choc : « Ça ne vous fera pas de mal ! ».

Inès Reg lui explique alors qu’elle « pense qu’il doit y avoir une fenêtre entre les studios ouvertes ». D’après l’humoriste, il lui répond « un truc piquant ». « Je me souviens rire », un rire nerveux. « Ça te fait rire ? Tu pourras la mettre dans un prochain spectacle », lance le danseur.

Estomaquée, Inès Reg tente une réplique : « Dans le couple, toi t’es le mec piquant et Natasha, la nana mignonne ? ». C’est là que Natasha St-Pier s’avance et, toujours selon Inès, lui assène un « écoute moi bien petite sal***, les ennemis de mes amis sont mes ennemis ».

L’humoriste peine à raconter cette scène du 31 janvier : « J’ai vu un éclair, c’est devenu tout blanc, le seul truc que je me suis dit, c’est ne pleure pas, ne dis rien. Qu’on y croit ou qu’on n’y croit pas, j’ai 31 ans, j’ai du respect pour tous… Là, ça m’a fait tellement mal. Je suis une enfant, j’ai vu Natasha à la télé, je n’y crois même pas tellement c’est trop violent. J’ai regardé le caméraman et le journaliste, je ne comprenais si ça c’était vraiment passé. Les deux étaient outrés, affolés. Je retiens mes larmes, et ‘wow’ sort seulement de ma bouche. »

Inès Reg raconte alors que Natasha St-Pier « met son bras en-dessous du (sien) et (lui) dit ‘maintenant tu sors’ ».

Pendant près de 50 minutes, l’humoriste multiplie les détails et livre ses analyses de la situation. Car jusque-là, d’autres versions avaient fuité, laissant place à toutes les interprétations. Il n’y a eu « aucune menace de mort », dit-elle en pleurs, rien d’autre. « Rien dont on m’accable. Ça s’est juste passé comme ça, cette scène est filmée. J’ai pris mes affaires et j’ai juste voulu partir. Quand je prends mes affaires, mon cadreur m’arrête, tente de me consoler, je sais que je vais pleurer, je ne veux pas montrer ma faiblesse alors je pars pleurer dans la salle de repos, mais pas devant les gens. »

Plus tard, son danseur Christophe Licata la rejoint, les journalistes aussi. Natasha descend à son tour. « Je suis désolée, je pensais qu’on jouait une petite scénette où j’avais le rôle de la méchante, t’as ce côté hyper friendly, amicale, je suis désolée… », se serait excusée la Canadienne. « On ne m’avait jamais insultée de sal*** de ma vie », tranche Inès Reg. Les deux sont reparties chacune dans leur salle de danse.

L’effervescence au sein de la production, les fake news, la folie sur les réseaux sociaux, Inès Reg en a marre de tout ça. « Si, moi, nana du 93, d’origine algérienne, j’avais dit à une maman de 43 ans qu’elle était une sal***, je vous laisse imaginer ce qu’on aurait pu dire de moi. Alors que je n’ai été que victime dans l’histoire. » 

Tout cela n’a pas empêché les deux candidates de Danse avec les stars de publier le 21 mars une vidéo Instagram dans laquelle elles s’affichent ensemble, dansant avec leur camarade Keiona. Hypocrisie ou retour à la normale ?

Ce qui change avec le plan Vigipirate « urgence attentat »

Tension maximale. Le plan Vigipirate retrouve son plus haut degré. Suite à l’attentat de Moscou (Russie), vendredi soir, revendiqué par l’Etat Islamique, le gouvernement et son premier ministre Gabriel Attal ont annoncé le retour au plus haut niveau « urgence attentat ».

À l’issue d’un conseil de sécurité et de défense, dimanche soir, Matignon a été indiqué que la France était dans le viseur de l’Etat islamique au Khorassan. Des menaces prises très au sérieux, donc.

« L’Etat islamique au Khorassan a été impliqué dans plusieurs projets d’attentats récents déjoués dans plusieurs pays d’Europe, dont l’Allemagne et la France », a précisé le gouvernement.

Que se passe-t-il quand la France réhausse son niveau de vigilance à un tel point ? Cela permet notamment la mobilisation exceptionnelle de moyens de sécurité. Gendarmes, policiers et militaires sont envoyés dans des zones prioritaires. Retour des fouilles et autres vérifications aux entrées de certains bâtiments. Certains lieux de cultes visés peuvent aussi être particulièrement protégés.

La dernière fois que ce plan Vigipirate maximum avait été enclenché, c’était juste après le meurtre du professeur Dominique Bernard, à Arras, le 13 octobre 2023. La jauge de vigilance n’était redescendue qu’en janvier 2024. Mais à quatre mois des Jeux Olympiques et paralympiques de Paris 2024, nul doute que la mesure devrait être maintenue.

Nouveau nom et montant record pour la Ligue 1

C’est un gros coup pour la Ligue de Football Professionnel (LFP). Exit Ubert Eats, place à McDonald’s ! Si le nom peut faire jaser, car pas vraiment un symbole pour les sportifs (ou alors ceux du dimanche…), la L1 se nommera bel et bien « Ligue 1 McDonald’s » à partir de la saison prochaine.

Pour associer son nom à la première division française, la société américaine va verser un montant record de 90 millions d’euros lors des trois prochaines saisons.

Réuni ce jeudi matin, le conseil d’administration de la LFP a confirmé le choix du géant américain. Un nom qui avait fuité depuis de nombreuses semaines sur les réseaux sociaux.

Le montant total va faire du bien aux finances des clubs professionnels. Car ce contrat est en très forte hausse, quasiment le double de ce que versait Uber Eats. Mais la bataille pour sauver la L1 n’est pas terminée : Vincent Labrune, le président de la LFP, doit finaliser d’ici le mois de juillet les négociations des droits de diffusion télé pour la période 2024-2029.

Un sujet au long cours, qui n’a toujours pas trouvé d’épilogue. Ce qui laisse place à toutes les interprétations. La LFP espère toujours obtenir des droits globaux entre 900 millions d’euros et un milliard d’euros annuels. BeIn Sports et DAZN (DaZone) restent les noms les plus cités.

Le trio Kassovitz, Sefyu, Derambarsh veut aller plus loin contre le gaspillage alimentaire

Arash Derambarsh ne lâche rien. À la tête du mouvement le plus médiatisé de lutte contre le gaspillage alimentaire, l’adjoint au maire de Courbevoie (Hauts de Seine) s’est rendu ce mercredi au Sénat pour faire avancer cette cause.

Accompagné de l’acteur Mathieu Kassovitz et du rappeur Sefyu, ils ont rencontré la sénatrice Marie-Do Aeschlimann, sénatrice (LR) des Hauts-de-Seine. Objectif : faire encore avancer la loi du 11 février 2016, qui sanctionne d’une amende les supermarchés de plus de 400 m2 qui jettent leurs invendus alimentaires. Le souci, c’est que ces supermarchés ne représentent que un tiers de la grande distribution.

« Moi, à ma petite échelle, je ne peux pas tout régler. C’est toi la parlementaire », lui aurait lancé Arash Derambarsh, d’après des propos recueillis par Le Parisien.

« J’ai souffert de la faim quand j’étais étudiant », rappelle celui qui est également avocat, « alors le gaspillage alimentaire est au cœur de mes préoccupations depuis que j’ai été élu conseiller municipal de Courbevoie en 2014. » C’est d’ailleurs à partir de cette date qu’il noue un lien avec le comédien devenu célèbre dans le film « La Haine ».

« Mathieu m’a envoyé un message en me demandant comment il pouvait m’aider », précise Arash Derambarsh. « C’est là qu’on a eu l’idée de la pétition et qu’on a commencé à médiatiser nos revendications. » La loi de 2016 ne suffit plus, elle est restée à un niveau national. Pour eux, il faut aller plus loin. Ils ont d’ailleurs lancé une autre pétition (1,66 millions de signatures) pour agir au niveau européen.

Contacté par nos soins, Arash Derambarsh nous dévoile que « la loi sera améliorée avant l’été. Avec trois nouveaux points. » Le trio souhaitait au plus vite rebondir sur l’appel des Restos du cœur et l’insuffisance de dons alimentaires.

Ainsi, la prochaine loi devrait permettre de sanctionner les supermarchés de plus de 200 m2 (au lieu de 400) qui jettent leurs invendus alimentaires, « soit l’équivalent de 5000 nouveaux points de vente ». L’amende passerait alors de 10 000 euros à 20 000 euros.

À la demande de Mathieu Kassovitz, un organe de contrôle du don alimentaire pourrait voir le jour.

Enfin, Sefyu se bat pour « faire anonymiser les noms des receveurs de dons ». Tant cela reste tabou pour beaucoup.

Le nom du futur James Bond aurait fuité

Ça a fait l’effet du bombe après de tous les fans de l’agent 007. Alors que le tournage du prochain film doit démarrer fin 2024, le choix du comédien pour interpréter le rôle de James Bond n’a pas été dévoilé officiellement. Mais The Sun croit savoir qui est l’heureux élu.

Exit Daniel Craig, place à… Aaron Taylor-Johnson. Un acteur britannique découvert dans « Kickass » puis très en vue dans « Tenet », « Kingsman », « Bullet train » ou bientôt dans « The Fall Guy » avec Ryan Gosling et Emily Blunt.

Les rumeurs précédentes faisaient pourtant place à d’autres candidats : Henry Cavill, Richard Madden, James Norton, Regé Jean-Page, Idris Elba ou encore Cillian Murph. À vous de juger.

Âgé de 33 ans, Aaron Taylor-Johnson est particulièrement séduit à l’idée d’endosser le costume : « Je suis flatté que les gens me voient dans ce rôle. Je le prends comme un grand compliment », a-t-il ainsi déclaré au magazine Numero. Il succéderait alors à Sean Connery, George Lazenby, Roger Moore, Timothy Dalton, Pierce Brosnan et Daniel Craig.

Seul bémol si ce choix est officiellement validé, certains fans reprochent déjà sur les réseaux sociaux que le nouveau Bond ne soit pas un représentant de la diversité. D’où le plébiscite pour Idris Elba… Alors, qui sera le James Bond du 26e volet de cette saga démarrée en 1962 avec Sean Connery ?

La nouvelle devrait finir par tomber définitivement, puisque malgré la grève des scénaristes à Hollywood, le tournage du prochain film devrait bien être lancé cette année.

Attention, toutefois, le site américain « E ! News » dément le choix d’Aaron Taylor-Johnson… La BBC, quant à elle, cite une source au sein de la société EON productions qui affirme qu’il n’y a « aucune vérité dans ces rumeurs ». Un démenti classique avant une prochaine confirmation ?