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NBA : Déjà un logo spécial Victor Wembanyama ?

Un alien dans des champs du sud du Texas, aux Etats-Unis ? C’est ce qui a été aperçu au moment de l’éclipse solaire totale, qui a traversé le pays lundi. Ville après ville, les mêmes cris de gens émerveillés par ce plongeon dans l’obscurité, en plein jour.

Mais qu’est-ce donc que ce dessin d’alien dévoilé au même moment dans cette vidéo de l’équipementier Nike ? Tout porte à croire que c’est bien un clin d’œil à notre OVNI français, Victor Wembanyama, joueur des San Antonio Spurs. Celui qui du haut de ses 2m24 à 20 ans chamboule la planète basket.

Depuis son arrivée dans le championnat NBA il y a un peu plus de six mois, il impressionne tous les suiveurs. Ainsi que les légendes de ce jeu, à commencer par LeBron James, qui l’a le premier qualifié d’ « alien ».

Ainsi, lors du All-Star Week-end, « Wemby » portait un visage d’extraterrestre sur sa paire de chaussures. Surnom adopté, visiblement. Et désormais logo commercial de son équipementier ? Fort possible. La « Wembymania » est en marche.

Ses vidéos highlights sont les plus regardées, ses maillots se vendent comme des petits pains. Pour beaucoup, notre jeune français va dominer le monde du basket mondial pour les 15 prochaines années. Ça valait bien un logo spécifique… Phénoménal.

Ourika-Booba : Drogue et violence, succès mondial

Il arrive toujours là où on ne l’attend pas. C’est l’histoire d’un succès fou, et cette fois, pas dans le rap. Booba, co-producteur et acteur de la série « Ourika », n’a pas fini de se targuer de cette réussite sur ses réseaux sociaux.

Actuellement top 3 des séries les plus vues dans le monde sur Amazon Prime Vidéo, Ourika est déjà attendue par ses fans pour une saison 2, 3 et 4…

« Évidemment, ça a été construit sur plusieurs saisons », confirme Booba au micro d’AlloCiné lors du festival Séries Mania à Lille. « Pourquoi ? Parce qu’en fait, comment parler du trafic de drogues et des problématiques qui l’entourent en une seule saison ? C’est évolutif, « Ourika » a vocation de parler d’autres territoires, d’autres drogues, d’autres trafics, d’autres problématiques. On y a pensé. »

Co-écrite par Booba et Clément Godart, un ancien policier qui a travaillé pendant plus de 20 ans à Paris, cette série policière très noire bénéficie d’un très bouche-à-oreille. La série s’est classée en tête des visionnages en France, en Italie, au Cameroun, au Maroc ou au Sénégal. Top 3 dans le monde. Une prouesse.

« C’était nouveau pour moi, c’était un challenge. Ça fait des années qu’on me propose des scénarios, des films, j’ai toujours refusé », poursuit Booba au micro de RTL. « Ce qui change là, c’est que je suis à la réalisation. J’avais moins peur du résultat, de me retrouver dans un truc qui ne me plait pas. »

Dans la série « Ourika », Booba joue le rôle de Métis, un trafiquant d’abord aperçu en cellule. L’objectif : sensibiliser à la dureté du monde de la drogue. Des drogues accessibles facilement à tous, désormais. « La drogue c’est d’actualité depuis un bon moment. À l’époque, la cocaïne était plus tabou, plus difficile à trouver. Dans les quartiers, c’était mal vu d’en vendre, c’était vendre la mort. Ça a beaucoup changé. Aujourd’hui, c’est devenu des bonbons. »

Vers un logo « interdit aux moins de 3 ans » ?

C’est une loi qui fait grand bruit. Deux députés Les Républicains viennent ce lundi de déposer une proposition de loi visant à réguler l’usage des écrans en présence des enfants de moins de 3 ans.

Annie Genevard et Antoine Vermorel-Marques en ont marre. Ces deux députés Les Républicains ne veulent plus voir d’enfants de moins de 3 ans devant la télé. Ni devant le moindre écran, d’ailleurs. Ce qui ne veut pas dire que de voir des parents scotchés à leur téléphone devant leurs jeunes enfants est une bonne chose…

Les deux élus veulent ainsi interdire toute exposition aux télévisions, tablettes et smartphones pour de si jeunes enfants. Les crèches et assistantes maternelle n’ont pas attendu cette loi pour le faire. Et beaucoup le précisent dans les commentaires sur les réseaux sociaux.

Pour forcer les parents à faire plus attention, ils proposent même un logo « interdit aux moins de 3 ans » en continu à la télévision. Est-ce vraiment bien utile ? Et surtout, quel sera le réel impact une fois passée la surprise d’une telle bannière ?

La députée LR du Doubs s’en est expliquée sur les différentes chaînes infos toute la journée. Pour elle, cette « règle sera davantage possible en crèche, parce qu’il y a des comportements collectifs ». Dans les faits, les crèches font déjà la chasse ouverte aux smartphones et autres écrans.

Là où la députée a raison, c’est qu’encore trop de familles laisse leurs smartphones à disposition de jeunes enfants pour les occuper ou les calmer. Annie Genevard pointe aussi du doigt l’existence de « jeux numériques à partir de 2 ans ». Avant 3 ans, l’utilisation des écrans est dangereux pour l’enfant. Tous les spécialistes confirment que cela « perturbe énormément de fonctions chez le jeune enfant », via « une diminution de la motricité et la perturbation des repères, des retards de langage, des difficultés relationnelles ».  

Des problèmes qui relèvent surtout de l’éducation de l’enfant, en général. Faut-il des lois pour aider les parents à mieux éduquer leurs enfants ? Un dilemme pour chaque État.

Ramzy Bedia et Jamel Debbouze, 25 ans après H

Ce n’est pas la suite de la cultissime série télé « H », dont Jamel Debbouze, Eric Judor et Ramzy Bedia étaient les stars. Mais ça y ressemble. Tout du moins concernant l’atmosphère. Exit l’hôpital, place aux halls d’aéroport. Canal Plus lance cette nouveauté très attendue le 22 avril.

Ce week-end, à l’occasion de l’ouverture du festival Canneseries, l’équipe de la sitcom étaient réunie. En plus de Jamel Debbouze et Ramzy Bedia, les médias ont pu retrouver les pétillants Samuel Bambi, Brahim Bouhlel ou encore Camille Chamoux et Doully. Rires assurés.

Dans « Terminal », dont Jamel Debbouze est le producteur (Quad productions), les médias ont découvert en avant-première les aventures de Jack (Ramzy Bedia), pilote un peu déboussolé, qui doit travailler avec une nouvelle co-pilote Charlie (Bérangère Mcneese). Et forcément, ça part dans tous les sens.

L’intérêt de cette série, c’est aussi l’ambiance « comme à la maison ». Le tournage a en effet été réalisé en public, en studio. Avec des spectateurs dans des gradins tournants, au centre des décors. Les premiers spectateurs semblent conquis après visionnage.

De là à faire de « Terminal » une série aussi culte que « H » ? « C’est tellement culte que je connais les répliques par cœur. ‘Dis-moi pas que c’est pas vrai’, je l’entendais dix fois par jour à la maison », explique un chanceux dans Le Parisien.

« Terminal » est réalisé par Mohamed Hamidi, qui n’a pas dû s’ennuyer pour contenir les improvisations de la joyeuse troupe.

Cassie avec le FBI, ça sent le roussi pour Diddy

L’étau se resserre. La star du rap Sean Diddy Combs va-t-il être rattrapé par les enquêteurs ? Actuellement libre suite aux perquisitions très médiatisées réalisées dans ses domiciles de Los Angeles et Miami le mois dernier, Diddy serait toujours visé par des plaintes pour viols et agressions sexuelles, mais aussi pour relations sexuelles avec des personnes mineures et d’avoir possiblement pris part à du trafic d’êtres humains.

D’après TMZ, son ex-compagne, Cassie, serait passée aux aveux et collaborerait avec le FBI. Un coup dur pour l’homme d’affaires pointé du doigt régulièrement sur les réseaux sociaux par Curtis Johnson, alias 50 Cent, autre immense star du rap. Sorte de meneur du tribunal populaire.

Diddy va-t-il tomber ? Cassie a été la première à parler, en novembre dernier, du supplice qu’elle avait vécu pendant plus de dix ans avec Sean Combs. La chanteuse de 37 ans avait choqué le monde à l’automne dernier révélant que Diddy l’avait contrainte à des actes sexuels avec plusieurs hommes, lui avait administré de la drogue de force à plusieurs reprises. Un accord à l’amiable semblait avoir repoussé une possible peine de prison.

Sauf que l’affaire a depuis libéré la parole. Plusieurs autres femmes ont témoigné. Sean Combs dément avec force toutes les accusations. Certains pensent que son influence lui permet d’éviter les tracas. Mais les témoignages se succèdent et d’anciennes vidéos refont surface.

Le comédien Ashton Kutcher, dans des propos de 2019, tient des paroles qui portent à confusion. Après avoir passé une soirée avec le rappeur, il expliquait alors : « J’ai beaucoup de choses que je ne peux pas dire. ». Certains pensent désormais qu’il cherchait déjà à cacher des choses interdites. Lui qui est réputé si proche de Sean Combs. Tout est sujet à interprétation. Et beaucoup se servent des réseaux sociaux comme d’un joyeux comptoir de café.

A ce jeu-là, 50 Cent est d’ailleurs le roi. Lui qui s’était réjoui de tout le l’emballement médiatique autour de son ennemi Diddy. Sur Instagram : « Cette merde devient bien réel. Les fédéraux dans les propriétés, mince, ils ont mis les menottes aux enfants. Maintenant, ce n’est plus ‘Diddy l’a fait’. C’est ‘Diddy est cuit’. Ils n’interviennent pas comme ça s’ils n’ont pas un dossier. » Une publication supprimée quelques instants plus tard. Message quand même reçu cinq sur cinq.

Après Sciences Po, les grandes écoles sous surveillance

L’affaire a fait la Une au mois de mars. Sciences Po Paris au cœur d’une polémique après une mobilisation pro-palestinienne au sein de son établissement. L’affaire s’est même invitée en Conseil des ministres, mentionnée par Emmanuel Macron lui-même. L’Union des étudiants juifs de France (UEJF) avait alors affirmé que des jeunes appartenant à l’association avaient été « pris à partie comme juifs et sionistes » lors de cette occupation d’un amphithéâtre.

Ce mardi matin-là, une centaine d’étudiants investissent l’amphithéâtre principal de Sciences Po Paris, dans le cadre d’une « journée de mobilisation universitaire européenne pour la Palestine ». Une étudiante membre l’Union des étudiants juifs de France a alors « été empêchée d’accéder à l’amphithéâtre » où se tenait l’action, et « des propos accusatoires ont été prononcés à l’encontre » de l’association étudiante.

Face à cette situation discriminatoire, voire violente, le gouvernement a fait sentir sa fermeté sur le sujet. Afin d’éviter des dérives. Mais ce type de mobilisation pourrait-il faire boule de neige ? Et se dérouler ailleurs, dans d’autres campus ? L’ombre d’autres pays se fait-il sentir jusque-là ? HEC a par exemple noué un lien fort avec le Qatar, s’installant à Doha via la Qatar Foundation dès 2010.

Entrevue a pu entrer en contact avec HEC Paris, qui ne souhaite « pas apporter de commentaire sur le sujet » des manifestations pro-Palestine. Pour autant, avec la forme de financement actuel des grandes écoles, via des sociétés, des fonds d’investissement ou même des États, un risque de collusion existe-il ? Des pressions peuvent-elles s’exercer pour rogner leur indépendance ?

« HEC Paris est très majoritairement financée par les frais de scolarité en provenance des programmes pré expérience, des programmes MBAs et de formation continue », précise la prestigieuse école. « Elle bénéficie en outre du support de donateurs via la Fondation HEC et de subventions qui permettent d’innover pour des projets à vocation sociale (bourses), académiques (recherche) ou à impact comme par exemple dans l’entrepreneuriat social. »

Quid du Qatar, médiateur incontournable du conflit Israël-Palestine, qui joue un rôle actif auprès de l’Occident mais en liens étroits avec le Hamas ? Son softpower actif met les autorités françaises sur leurs gardes. De la même manière, la France lutte contre le financement opaque des mosquées, derrière quoi se cacherait l’influence des Frères Musulmans, bien implantés au Qatar.

Les problèmes n’arrivent pas qu’aux autres. Et bien souvent, ce qui se déroule aux Etats-Unis arrive ensuite en France. Outre Atlantique, l’Université de Berkeley (Californie) est un « haut lieu du militantisme », comme le disait Le Monde en octobre 2023. Les violents actes antisémites n’ont jamais été aussi nombreux qu’actuellement.

Sur la côte est des Etats-Unis, à Harvard, début janvier, c’est Claudine Gay, la présidente de l’université, qui annonce sa démission. Elle était vivement critiquée depuis une audition au Congrès, où elle n’avait pas condamné clairement des appels au génocide des juifs. La lutte contre l’antisémitisme sur les campus est un combat permanent. Les associations juives s’inquiètent plus que jamais de la situation. Car derrière le financement de Harvard, on retrouve le Qatar et l’Arabie Saoudite, pour près de 11 millions de dollars de dons en 2022 et 2023. Double jeu ? Situations à clarifier.

Là-bas, certains pays du Moyen Orient s’affichent parmi les principaux donateurs des grandes écoles depuis une dizaine d’années. Dans le dernier rapport du Ministère de l’Éducation américain (octobre 2023), le montant total des dons aux universités, venant du Qatar, de l’Arabie Saoudite et d’autres pays de la région est de 2,2 milliards de dollars. Colossal. Faut-il y voir un lien du jeu qatari ambigu ou est-ce un « simple softpower » à surveiller ?

HEC peut-elle ignorer toutes ces luttes d’influence ? « Pas de risque » nous répond-on : « La zone des pays du GCC (Bahreïn, Koweït, Oman, Qatar, Arabie saoudite et Émirats arabes unis) représente autour de 8% du budget d’HEC. Nous sommes une école à but non lucratif. Au Qatar, nous travaillons en partenariat avec la Qatar Foundation, qui finance notamment nos locaux, comme ceux des autres grandes universités américaines, présentes au sein d’Education City. Les frais de scolarité sont les mêmes que ceux de Paris. »

Mais vu la situation géopolitique actuelle, les grandes écoles vont-elles devoir faire preuve de toujours plus de prudence face aux influences extérieures ? « HEC Paris est une institution indépendante juridiquement », rappelle l’école. « C’est un “établissement d’enseignement supérieur consulaire”. La Qatar Foundation n’est en aucun cas impliquée dans cette gouvernance. »

Rassurante, la direction d’HEC se veut même un acteur du changement au Qatar. « Nous contribuons à la dynamique d’ouverture et de progrès de la région du Golfe, à commencer par celle du Qatar, qui a d’immenses challenges à relever pour passer d’une économie de l’extraction à une économie de la connaissance. Cette transition est et sera réalisée par la génération que nous formons sur place depuis plus de dix ans. »

Attention arnaque : « Vous êtes coupable de fraude fiscale »

C’est un message qui fait particulièrement peur : « Vous êtes coupable de fraude fiscale ». Mais pas de panique. Il ne s’agit sans doute qu’une énième forme d’escroquerie. L’État pointe du doigt ce matin cette nouvelle vague de tentatives de tromperie des contribuables.

Le site Cybermalveillance.gouv.fr a identifié plusieurs vagues récentes de messages frauduleux, par mails, qui usurpent l’identité des services des impôts.

Concrètement, vous recevez un mail vous indiquant être situation illégale. Coupable de « fraude fiscale ». Les adresses mails et pièces jointes ressemblent comme deux gouttes d’eau aux documents administratifs traditionnels.

Si vous êtes un citoyen lambda, la menace écrite ci-dessus de « 500 000 euros d’amendes et de 5 ans de prison » peut déjà vous mettre la puce à l’oreille. Dans le cas d’une telle fraude, vous auriez dû quand même être au courant à l’avance de vos méfaits…

Si le message semble bien provenir de l’administration fiscale, il n’en est rien. La lettre est en fait bourrée de références au Code général des impôts, à diverses peines, à divers impôts, taxes et contributions sur le revenu, etc. Vous êtes invités à régulariser cela « sous 48 ou 72 heures ». Vous devez « prendre contact avec l’administration des impôts, en répondant au message ou bien en écrivant à une adresse mail ».

Soyez vigilants, ces messages présentent un caractère tout à fait impersonnel. Ils ne mentionnent jamais votre identité, ni vos références fiscales… Ils sont tout simplement envoyés en masse. Ce sont de typiques tentatives d’hameçonnage (phishing en anglais) pour soutirer de l’argent.

Dans ces cas-là, ne répondez jamais, c’est inutile, voire dangereux. Ne payez pas, bien entendu. Et si vous avez quand même un doute, contactez vous-même votre centre des impôts, sans passer par les coordonnées indiqués dans leur mail. Enfin, vous pouvez aussi contacter le service « Signal Spam » pour dénoncer cette tentative de tromperie.

Si c’est déjà trop tard, que vous avez payé, vous êtes victime d’une escroquerie, au sens de l’article 313-1 du Code pénal : un délit passible de cinq ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende. Alertez le plus rapidement possible votre banque pour tenter de suspendre le virement. Dans le cas contraire, demandez le retour des fonds. La plateforme « Info Escroqueries » a été mise en place par l’État.

Aya, Valérie et le malheureux plongeur

Une matinée en trois séquences. À un peu plus de 100 jours des Jeux Olympiques, Emmanuel Macron s’est déplacé ce jeudi pour officiellement ouvrir le centre aquatique olympique de Saint Denis. Cette enceinte accueillera les épreuves de natation synchronisée, de plongeon et de water-polo de Paris 2024.

Cet événement matinal a donné lieu à plusieurs séquences très discutées sur les réseaux sociaux. Le Président de la République a d’abord profité de l’occasion pour conforter le possible choix d’Aya Nakamura en tant que chanteuse lors de la cérémonie d’ouverture : « Elle a tout à fait sa place. C’est l’artiste la plus streamée parmi les artistes francophones. Elle parle à bon nombre de nos compatriotes et je pense qu’elle a tout à fait sa place dans une cérémonie d’ouverture ou de clôture des Jeux Olympiques. Je ne révèlerai pas ici les détails… »

Autre moment marquant, juste après que le chef de l’Etat ait échangé avec les ouvriers qui ont participé aux travaux. Accompagné de plusieurs élus locaux, Emmanuel Macron inaugure officiellement les installations. À ses côtés, chacun doit appuyer sur le gros bouton prévu pour marquer le coup. Sauf que la présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, refuse de mettre sa main sur celle du Président… Et la voilà qui presse donc un « bouton imaginaire »… Désaccord politique ? Pudeur ? Scène curieuse.

Dans la foulée, c’est l’image qui restera dans les mémoires de cette matinée agitée. Les spécialistes du plongeon s’élancent. Objectif : faire le spectacle et épater le public. Mais là, c’est la catastrophe. L’un d’eux glisse, rebondit et tombe dans l’eau. De quoi alimenter les bêtisiers pour l’éternité. Plus de peur que de mal pour le malheureux sportif… Encore du boulot avant les JO !