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Bientôt un « loi Mbappé » pour son arrivée au Real Madrid !

C’est une loi qui ne passe pas inaperçue. En Espagne, là où elle va être appliquée, mais aussi en France. Le gouvernement de la région de Madrid va bel et bien appliquer une loi appelée « Loi Mbappé ».

C’est un secret de polichinelle, Kylian Mbappé va rejoindre les rangs du plus grand club du monde la saison prochaine : le Real Madrid. Le capitaine des Bleus, et déjà légende du Paris-Saint Germain, enfilera la tunique merengue. Un club qu’il avait déjà failli rejoindre en 2021, 2022 et… 2023.

Les Madrilènes ont donc eu parfaitement le temps de préparer ce « transfert du siècle ». En fin de contrat au PSG, Kylian Mbappé débarquera libre, avec une immense prime à la signature. Son arrivée, certainement annoncée publiquement entre la fin mai et la mi-juin selon le calendrier européen du Paris-SG, va être synonyme de raz-de-marée médiatique. Mais d’un point de vue juridique et financier, il faut aussi accompagner ce deal majuscule.

Selon plusieurs médias espagnols, comme le Mundo Deportivo (journal réputé proche du FC Barcelone), le gouvernement de la région de Madrid va mettre en place une loi spécifique. Là-bas, elle est déjà surnommée « Ley Mbappé ». Elle permettra de réduire certains impôts sur le revenu pour les fortunes étrangères qui s’installeront et réaliseront des investissements dans la région de Madrid… Tiens, donc.

Et ce n’est pas une première pour cette région. Au début des années 2000, à l’époque du Real Madrid des « Galactiques » (Figo, Zidane, Ronaldo, Raul, Beckham…), une « loi Beckham » avait vu le jour. Favorisant les clubs de football avec un plafond maximum d’impôts sur les revenus pour les travailleurs étrangers fixé à 24%.

Le gouvernement autonome madrilène va donc remettre en place ce système pour attirer de nouvelles fortunes étrangères. Enfin, surtout une : Kylian Mbappé et sa famille. S’il bénéficiera d’un salaire inférieur à celui négocié actuellement avec le PSG, les avantages fiscaux à Madrid devraient largement le faire retomber sur ses pattes.

David Beckham aurait perdu 10 millions d’euros !

Il est parfois dangereux de mêler gros business et amitié. David Beckham et Mark Wahlberg en font l’amère expérience. Les deux stars vont se retrouver sur les bancs de la justice. L’ex-golden boy du football anglais poursuit le comédien et réalisateur en justice.

David Beckham accuse Mark Wahlberg de l’avoir dupé, avec un manque à gagner de près de 10 millions d’euros. En cause, les termes du contrat qui les liait à une société de fitness.

Selon plusieurs sites américains, l’ex-joueur du Real Madrid et de Manchester United, désormais propriétaire de l’Inter Miami, était devenu ambassadeur mondial de l’entreprise F45. Beckham en était actionnaire minoritaire via son groupe d’investissement. Il a depuis supprimé de ses réseaux sociaux toute promotion de l’entreprise de fitness.

En octobre 2022, le mari de Victoria Beckham intentait déjà une action en justice. Une action conjointe avec la légende du golf Greg Norman. Selon le Sun, un juge leur indique alors de lancer leurs poursuites séparément.

La société de David Beckham, DB Ventures Ltd (DBVL), poursuit la société de l’acteur Mark Wahlberg, Investment Group (MWIG), ainsi que les fondateurs de F45, Adam Gilchrist et Rob Deutsch. 

Dans le cadre de leur accord initial, Beckham estime qu’il s’était vu promettre de recevoir des actions de la société dès le début de 2022. Ces actions n’auraient été délivrées que plusieurs mois plus tard. Entre temps, le cours de l’action avait considérablement chuté…

Les avocats de David Beckham estiment que leur client aurait donc perdu l’équivalent de plus de 9,86 millions d’euros de bénéfices potentiels. DBVL demande ainsi une indemnisation d’environ 17,69 millions d’euros. De quoi mettre à mal une amitié…

Du côté de l’acteur américain, The Sun avance qu’il considère ces accusations « sans fondement » comme de la « conduite frauduleuse ». Mark Wahlberg a demandé au juge de rejeter la plainte.

En démonstration face à Lyon, le PSG tout près du titre

Avec ou sans Kylian Mbappé, le PSG marche sur la Ligue 1. En toute logique, vu l’effectif, vu les finances du club, diront les mauvaises langues. Mais cette saison, le Paris-Saint Germain a retrouvé un élan collectif. Fini le star système mis en place suite aux arrivées successives de Neymar, Mbappé puis Messi en clou du spectacle.

Pourtant meilleure équipe de Ligue 1 en 2024, Lyon a constaté très vite les dégâts dimanche soir. Même avec Kylian Mbappé placé sur le banc des remplaçants par Luis Enrique, Paris s’est rapidement et facilement défait de l’OL. Tout a parfaitement démarré. Un but contre son camp de Matic, malheureux sur cette action (1-0, 3e). Puis des déboulés rageurs de l’intenable Barcola, l’ancien lyonnais, qui font mouche. Corner d’Asensio, Beraldo à la conclusion (2-0, 6e). L’écart est déjà fait. À la pause, la messe est dite : 4 buts à 1.

Le Portugais Ramos, si peu utilisé cette saison dans les moments clés (alors qu’il fait partie des buteurs les plus efficaces du championnat), inscrit son doublé. Le Parc des princes chavire. Cela semble une formalité. L’entraîneur lyonnais Pierre Sage n’a pas trouvé la clé pour éviter la même déculottée qu’au match aller (1-4). L’Olympique lyonnais était alors dans les bas fonds du classement, coaché par Laurent Blanc ! Premier de la liste des trois coachs mis en place cette saison…

Ce dimanche soir, c’est la fête dans le camp parisien, sous les regards d’Ousmane Dembélé et Kylian Mbappé, scotchés sur le (douillet) banc des remplaçants jusqu’à la fin. Paris a même pu sereinement fêter son capitaine Marquinhos, détenteur du record du nombre de matchs sous les couleurs rouge et bleu (436 matchs).

La seconde période ne servira qu’à une revue d’effectif, avec l’entrée de certains jeunes comme Senny Mayulu, 17 ans. Paris pourrait être titré dés mercredi, s’il gagne à Lorient et que Monaco ne bat pas Lille (match en retard de la 29e journée).

L’OL aura finalement évité une humiliation. Les Gones se font sérieusement remettre à leur place (8e). Eux qui rêvent de finir en trombe pour accrocher une place européenne. Alexandre Lacazette, le capitaine, au micro de Prime Vidéo est lucide : « Cela va nous permettre de redescendre sur terre« …

Les deux équipes se retrouveront le 25 mai pour la finale de la Coupe de France. D’ici à, les Lyonnais essayeront d’apprendre de leurs erreurs. Une finale, ça se gagne…

Clash au sommet du basket : « Un sale type, je le déteste… »

C’est une rivalité sportive qui devrait continuer de faire parler au moins jusqu’aux Jeux Olympiques. Dans l’univers basket, il y a un geste qui n’est pas passé. En tout cas, du côté des Français. Joel Embiid, le meilleur joueur NBA de la saison 2022-2023, a en effet choisi de jouer pour les Etats-Unis. Alors qu’il avait tendu la main concrètement à la France…

Dans une lettre envoyée en 2021 au président de la République Emmanuel Macron, le Camerounais déclarait sa flamme aux Bleus. « Mon choix est désormais arrêté. Je ne souhaite en conséquence jouer pour aucune autre équipe nationale », indique-t-il dans cet écrit révélé par RMC, où il explique aussi son amour pour Paris, ville où il passe souvent du temps en famille et entre amis. Dans la foulée, il obtient sa nationalité française en juillet 2022.

Mais c’est à la même période que Grant Hill, ex-gloire du basket NBA et désormais responsable de la Team USA, prend contact avec Joel Embiid. L’opération séduction démarre. Fort. Au point de faire changer d’avis le pivot des Sixers de Philadelphie, coéquipier de Nicolas Batum.

Finalement, Joel Embiid officialise son arrivée dans l’équipe des Etats-Unis, possible adversaire des Bleus aux Jeux Olympiques…. Victor Wembanyama et Rudy Gobert face au géant camerounais, un duel en haute altitude, alors que les trois basketteurs auraient pu être coéquipiers sous le maillot tricolore.

Cette décision n’a pas manqué de faire réagir. Avec parfois des mots très crus : « Ce garçon est aussi bon basketteur que c’est un sale type. Je le déteste pour ce qu’il a fait », estime Frédéric Weiss, ancien pivot des Bleus, sur RMC.

Dans « Les Grandes Gueules du Sport », il ajoute « qu’il a manqué de respect à la France à toutes ces personnes qui demandent le passeport et qui ne l’ont pas. Et sous prétexte qu’on est un athlète de haut niveau on a le droit à ça je trouve ça scandaleux je trouve ça honteux ».

L’ancien basketteur du CSP Limoges, médaillé d’argent aux JO de Sydney en 2000, n’en revient pas de ce retournement de situation. Lui faudrait-il des excuses ?

« Les excuses de Joël Embiid, j’en ai rien à faire, sa parole ne vaut rien », fulmine Fred Weis. Qui va même jusqu’à demander « la déchéance de nationalité » et une « interdiction de territoire » ! Rien que ça… La meilleure des réponses sera celle des Bleus sur le terrain.

Les Philadelphie Sixers ont perdu la première manche du premier tour des play-offs NBA face aux Knicks de New York la nuit dernière (111-104). Embiid, lui, a brillé (29 points, 8 rebonds, 6 passes).

Patrick Cohen épinglé par l’Arcom : Cyril Hanouna déçu !

Certains en ont l’habitude plus que d’autres. L’Arcom vient de sévir. Et cela fait réagir. L’autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique vient d’épingler Patrick Cohen après son édito dans « C à vous » sur la mort d’un adolescent, Thomas, lors d’une fête de village à Crépol (Drôme).

L’Arcom a en effet « considéré que certains propos, dénués de précautions oratoires et énoncés sur un mode déclaratif, ne satisfaisaient pas aux exigences de mesure, de rigueur et d’honnêteté ». D’autant plus sur un sujet qui revêt une « sensibilité particulière ».

Une mise en garde repérée par les équipes de « Touche pas à mon poste », dans l’émission du vendredi 19 avril. Forcément, la parole de Cyril Hanouna était particulièrement attendue. Lui, si souvent dans le viseur de l’Arcom.

Sanctionné à plusieurs reprises par l’Autorité, suite à des séquences d’émission polémiques, Cyril Hanouna s’est montré déçu : « Ils n’ont pas eu d’amende, eux »…

Satisfait mais pas totalement de cette « première étape », Cyril Hanouna a donné la parole à ses chroniqueurs sur le sujet.

« Pour l’instant, ils n’ont eu que des rappels à l’ordre, mais c’est bien que l’Arcom commence à s’intéresser à France Télévisions », estime Cyril Hanouna. « C’est une première étape », avant d’ajouter, « eux, ils n’ont pas eu d’amende ».

Depuis plusieurs années, C8 a déjà dû payer 7,5 millions d’euros d’amendes, à la demande de l’Autorité de régulation des médias. Une bataille médiatique s’en est suivie, emmenant les dirigeants de C8 puis ceux de TMC devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur l’attribution des fréquences de la TNT.

Taylor Swift déjà numéro 1 avec Post Malone

L’ouragan Taylor Swift. À 34 ans, c’est la première artiste à devenir milliardaire grâce aux seuls revenus tirés de sa musique. Une mega-star capable d’influencer les élections américaines. C’est dire son influence. Alors ce matin, pour la sortie de son nouvel album, forcément la chanteuse était particulièrement attendue.

Depuis l’annonce de ce 11e album, en février, lors de la cérémonie des Grammy Awards, ses millions de fans trépignent d’impatience. Les « Swifties » peuvent désormais écouter ses nouveaux morceaux en boucle depuis aujourd’hui. Et les fans semblent déjà conquis.

Au menu de « The Tortured Poets Department », des collaborations avec le groupe de rock britannique Florence + The Machine et le rappeur américain Post Malone (« Fortnight »).

En pleine promo, la chanteuse country avait d’ailleurs mis en avant cette collab avec Post Malone dans un post Instagram, jeudi : « Je suis une très grande admiratrice de Post de par sa qualité d’auteur, ses expérimentations musicales et les mélodies qu’il compose et qui restent dans votre tête pour toujours ». Leur clip commun devrait sortir dans la journée.

Déjà, leur duo s’impose déjà à mi-journée comme le numéro 1 des écoutes sur Spotify. Les quinze autres morceaux devraient petit à petit également connaître le chemin du succès…

La tournée mondiale de Taylor Swift, « Eras Tour » passera par Paris et Lyon dans les prochaines semaines. Elle devrait engranger un total de 2 milliards de dollars de recettes. Des performances historiques.

Paris 2024 : Harcèlement sexuel et menaces de mort

Un coup de com’ qui tombe à l’eau. Le comité d’organisation pensait avoir réalisé une belle opération de communication, annonçant le nom de Baptiste Moirot en tant que porteur de flamme. Quelques jours plus tard, et des accusations d’harcèlement et agression sexuelle, c’est un tollé.

De nombreux témoignages fleurissent sur les réseaux sociaux pour accuser le jeune homme, célèbre sur Internet depuis le buzz de la vidéo familiale « T’es pas net Baptiste » en 2017, d’avoir envoyé plusieurs messages à caractère sexuel à des mineurs dans le passé.

Face à un tel scandale, le Comité d’organisation des Jeux olympiques et le jeune homme ont décidé de mettre fin à leur accord commun. Baptiste Moirot ne sera pas l’un des 10 000 porteurs de la flamme olympique. Le jeune homme de 29 ans, présumé innocent, s’est fendu d’un message sur son compte Instagram.

« À la suite des accusations portées à mon encontre et après discussion avec le comité d’organisation, j’ai pris la décision de me retirer du relais de la flamme, par respect et pour protéger ma famille et moi-même. Je suis reconnaissant envers tous ceux qui m’ont soutenu et je présente mes sincères excuses à ceux que j’ai pu décevoir. »

En quinze jours, sa vie a pris une autre tournure. D’abord un regain de célébrité puis depuis ce mercredi 17 avril, les plaintes de plusieurs femmes affirmant sur les réseaux sociaux avoir reçu dans le passé des messages à caractères sexuels de sa part, alors qu’elles étaient mineures à l’époque des faits.

Des captures d’écran, des vidéos… On découvre des messages qui interrogent. Une victime présumée a partagé une capture d’écran d’une conversation. Baptiste aurait déclaré à une fille de 15 ans : « Tu verras quand tu l’auras dans ta bouche si elle est petite »… La phrase choque.

Présumé innocent, Baptiste Moirot a rapidement réagi en story puis via ce post Instagram : « Je vous adresse ces mots avec une profonde sincérité. J’ai commis des erreurs et j’en suis profondément désolé. Depuis que je suis devenu père j’ai fondé ma propre famille, j’ai vraiment pris conscience de l’importance de mes actions et de l’exemple que je veux donner. Je suis déterminé à apprendre de mes erreurs du passé et à continuer à œuvrer pour un monde meilleur. Merci pour votre soutien et votre compréhension ».

Malheureusement, face à cette situation, le jeune homme, père de famille, a reçu des menaces de mort. Comme il le dit dans plusieurs stories Instagram. Il s’explique dans la foulée sur le contexte de ses messages envoyés il y a plusieurs années. Pour lui, il faut re-contextualiser ces histoires. Et ne pas tomber dans le piège de phrases sorties de leur contexte : « faut voir la conversation pour comprendre », « les agressions c’est du fake complet ».

Explosions en Iran : deux versions bien différentes et un appel au calme

Des explosions, des drones abattus. Le centre de l’Iran cible d’attaques non revendiquées, cette nuit. Les Etats-Unis affirment que ces tirs sont des représailles israéliennes. Israël s’abstient de tout commentaire.

Ce vendredi matin, lors d’un déplacement en Finlande, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen envoie un message clair : il est « absolument nécessaire » que la situation reste « stable » au Proche-Orient. L’Union européenne incite les parties prenantes à « s’abstenir de toute nouvelle action ».

La nuit dernière, plusieurs explosions depuis le centre de l’Iran ont été rapportées. Une attaque israélienne selon plusieurs hauts fonctionnaires américains. Une attaque qui ferait suite aux tirs de drones et de missiles contre Israël le weekend dernier. Escalade permanente entre Israël et l’Iran ? Puisque la riposte iranienne faisait déjà suite à l’attaque de l’annexe de l’ambassade d’Iran en Syrie, le 1er avril.

Plus précisément, l’agence de presse iranienne Fars rapporte trois explosions près d’une base militaire à Qahjavarestan, entre la ville d’Ispahan et son aéroport. Des drones ont été abattus mais il n’y a pas eu d’attaque par missiles. Mais selon l’Iran, « aucune information fait état d’une attaque de l’étranger ». Vu le peu de dégâts, est-ce une volonté d’éviter justement d’entrer dans un conflit violent et permanent avec Israël ?

Car du côté de Washington, les informations du Washington Post semblent assez claires : Israël voulait montrer sa capacité à frapper l’intérieur du pays. Des informations d’une attaque connues aux Etats-Unis depuis jeudi.

Le journal américain The New York Times cite quant à lui des responsables iraniens. Selon eux, l’attaque aurait été menée par de petits drones, possiblement lancés depuis le territoire iranien, et les défenses aériennes « n’ont pas détecté d’objets volants non identifiés franchissant l’espace aérien iranien ». Un récit parallèle afin d’éviter un conflit frontal qui s’enliserait dans une guerre régionale ?

Les États-Unis affirment avoir été prévenus jeudi de l’attaque israélienne sur l’Iran mais ils n’ont ni approuvé l’opération ni joué aucun rôle dans son exécution, ont déclaré plusieurs responsables cités par les chaînes NBC et CNN.