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Retour de Mask Singer : audiences et premiers éliminés

Retour réussi pour Mask Singer, sixième saison. Toujours animé par Camille Combal, le divertissement familial de TF1 faisait sa réapparition vendredi soir. Avec l’arrivée de l’humoriste Inès Reg et de l’animateur Laurent Ruquier dans le jury, le show promettait de nouveaux rebondissements.

TF1 se place en deuxième position des audiences de la soirée, avec 3,12 millions de téléspectateurs, soit 17,2% du public jusqu’à 22h28. La deuxième partie de l’émission, jusqu’à 23h49, a totalisé 3,08 millions de téléspectateurs (24,7% du public).

Le lancement de la saison 5, en avril 2023, avait attiré 3,69 millions de personnes (18,6% du public) en première partie.

Camille Combal et son jury d’enquêteurs nouvelle version ont démasqué deux personnalités, hier soir. Suite aux prestations d’un Hippopotame, d’un Popcorn, d’une Geishamuraï, d’un Hamster, d’une Perle et d’un Léopard, le public a assisté aux premières éliminations.

Quelles sont les deux célébrités cachées derrière les personnages éliminés ? Fin de l’aventure précoce pour le Hamster. Une fois démasqué, surprise, le journaliste de TF1 Jacques Legros se dévoile… Les enquêteurs étaient bien loin de penser à lui. Parmi les indices : « sa voix vous est familière ». Si vous regardez le 13 heures de TF1 régulièrement, oui, peut-être. Mais encore… « Mon costume n’est pas choisi au hasard » ou la ville d’Avignon et le chiffre 13. Il faut avoir les références… Dur, dur.

Seconde élimination de la soirée, le Popcorn a pris la porte ! Retour à la maison pour… Chantal Goya ! L’enquêtrice Inès Reg a trouvé grâce aux différents indices. « J’ai vendu des dizaines de millions d’albums », « des défis, des chansons, des costumes » ou encore « sa vie n’a pas toujours été facile, elle a connu des hauts et des bas ».

Une découverte plus simple que la précédente. Suite des enquêtes de Mask Singer vendredi prochain.

Ukraine : Un cannibale envoyé sur le front

Nouvelle polémique sur le front russe. Ce n’est pas nouveau, la Russie fait appel à des prisonniers pour aller combattre en première ligne en Ukraine. Avec à la clé une remise de peine s’ils survivent… Mais aujourd’hui, une nouvelle recrue fait beaucoup parler.

Les médias russes s’inquiètent de l’arrivée d’un certain Dmitri Malyshev. Exfiltré d’une peine de prison de 25 ans. Son profil inquiète particulièrement. Cet homme avait été emprisonné pour avoir tué, démembré et cuisiné un homme ! Rien que ça. Sur fond de querelle homophobe, il aurait même cuisiné son cœur avant de le manger. Un film d’horreur, ou pire. Du cannibalisme.

Originaire de Volgograd, voilà Dmitri Malyshev sur le front ukrainien. Les médias russes retracent son parcours jusqu’à ses derniers drames. Il était appelé le « briseur de cœur »… Un tueur capable de tué « à coup de pied de biche », « d’arracher un cœur » puis de le « faire frire avec des légumes et de le manger » ! Filmant le tout sur son téléphone…

Contacté par plusieurs médias, Malyshev a récemment tenu à s’excuser de ses gestes, « réalisés sous l’emprise de l’alcool ». Comme s’il était encore possible de le réhabiliter.

Condamné depuis 2015 à cette lourde peine de 25 ans de prison, voilà le meurtrier dans la nature. En Ukraine. Auprès d’autres soldats russes. Mais si son histoire apparaît actuellement dans les médias russes, c’est parce que ce soldat « cannibale » est à l’hôpital. Blessé en début d’année 2024.

« Lors d’un assaut, une grenade m’a touché. Ma mâchoire est cassée, il y a des éclats d’obus dans mon genou et mon bras gauche », a-t-il confié.

Sa sortie de prison et son engagement en Ukraine dans l’armée russe fait écho à d’autres publications de médias russes sur des citoyens sortis de prison par le gouvernement pour s’engager sur le front.

Selon Olga Romanova, directrice d’un groupe indépendant de défense des droits des prisonniers, la Russie a probablement recruté 100 000 personnes au sein de ses geôles pour combattre en Ukraine. Parmi eux, Vladislav Kanyus, condamné en 2022 à 17 ans de prison pour avoir tué sa petite amie deux ans auparavant

Phobique, Julia Vignali dévoile l’émission à laquelle elle ne participera jamais

Non, c’est non. Malgré les appels du pied, l’animatrice de France 2 ne veut pas en entendre parler. Julia Vignali est régulièrement sollicitée pour participer à une célèbre émission de France Télévision. Sauf que ça ne lui dit vraiment rien.

Depuis le départ de Sophie Davant pour France 3 et Europe 1, Julia Vignali a pris la suite avec grand plaisir dans l’émission de ventes aux enchères « Affaire conclue ». Celle qui co-présentait auparavant Télématin devient une figure incontournable des programmes de France 2.

Ainsi, elle anime aussi désormais avec le mentaliste Fabien Olicard l’émission « Tout le monde joue avec la mémoire ». La femme de Kad Merad revient d’ailleurs avec un nouveau numéro ce samedi 4 mai dans lequel on devrait apercevoir Virginie Hocq, Magali Ripoll, Mélanie Bernier, Max Boublil et Keen’V.

Invitée de « Culture Médias » (Europe 1) pour faire la promotion de ce rendez-vous en prime time, Julia Vignali s’est confiée. Les auditeurs ont pu découvrir sur ce qu’elle n’aime pas et ce qu’elle… n’aime pas. Selon l’animatrice, impossible de la voir un jour au micro de l’émission de Nagui « N’oubliez pas les paroles » pour nous dévoiler son timbre de voix. Dommage…

Mais l’émission dans laquelle il semble totalement impossible de la voir évoluer, c’est un jeu d’aventure mythique : Fort Boyard ! « Je ne pourrai jamais faire Fort Boyard. Je ne pourrai même pas monter sur le fort tellement j’ai le vertige », confie-t-elle.

La production lui a déjà proposé de prendre le bateau pour le fort à huit reprises ! « Il y a plein de jeux et de trucs comme ça, que je ne ferai jamais dans ma vie ! » Non, c’est non.

Même si ces révélations n’ont rien de nouvelles puisque déjà en 2022, sur RTL, elle confiait avoir une peur bleue de monter dans le célèbre fort… Décidément.

L’OM tient tête à l’Atalanta et peut encore rêver d’une finale (résumé et buts)

Un bijou. Si l’OM n’a pu faire mieux qu’un match nul (1-1) à domicile en demi-finale aller d’Europa League face à l’Atalanta Bergame, le geste de la soirée est à mettre au crédit d’un Marseillais. Encouragé quelques jours avant par Emmanuel Macron en personne, Chancel Mbemba a brillé. Le défenseur central international congolais s’est même mué en buteur…

Son tir enveloppé pied droit a trouvé la lucarne du portier italien. Nous sommes alors à la 20e minute de jeu. L’Olympique de Marseille venait de passer un premier quart d’heure difficile, bloqué dans son camp par le pressing italien incessant et déjà mené au score. Scamacca avait fait faux bond à la défense olympienne pour l’ouverture du score (0-1, 11e).

Poussés par un Orange Vélodrome en mode volcan, les Marseillais vont redresser la tête, se lâcher et même s’offrir les meilleures occasions.

D’abord par Aubameyang, seul face au gardien en fin de première période, bien servi par Clauss. Puis à nouveau d’une reprise de la tête après l’heure de jeu. Quelques secondes après son entrée en jeu, Ounahi ouvre lui aussi son pied mais son tir finit sur l’arrête des cages italiennes ! À quelques millimètres près… Mais ça ne rentre pas et les 65 000 supporters présents ce jeudi soir doivent se contenter de ce résultat.

Avec une défense solide, autour de l’Argentin Balerdi, de plus en plus fiable, et avec le retour des cadres, l’OM peut nourrir tous les espoirs. L’Atalanta Bergame a montré des qualités mais aussi des largesses défensives.

Rendez-vous jeudi prochain pour leur « finale », ce match retour qu’il faudra remporter, d’une façon ou d’une autre. Dans le temps réglementaire, en prolongation ou aux tirs au but. Mais cette fois, ce sera à Bergame.

Coup dur pour un taulier des Bleus et du PSG, le message de soutien de Kylian Mbappé

C’est une très mauvaise nouvelle pour l’équipe de France, à un peu plus d’un mois du début de l’Euro en Allemagne. Une mauvaise nouvelle également pour le Paris-Saint Germain, au coeur de son sprint final pour jouer la finale de la Ligue des Champions et remporter la Ligue 1.

Dortmund, mardi soir, 40e minute de jeu. Lucas Hernandez s’assoit. Il ne peut pas continuer. Son genou gauche s’est bloqué dans le sol à la 36e minute de jeu, alors que Fullkrug ouvrait le score pour les Allemands. Le défenseur central gaucher du PSG fait grise mine. Il connaît cette douleur.

Ses coéquipiers comprennent petit à petit que c’est grave. Son genou est vraiment touché. Lui qui avait déjà subi une rupture des ligaments croisés du genou droit lors de la Coupe du monde au Qatar va devoir repasser par la table d’opération.

Fin 2018 puis début 2019, il avait déjà subi une grosse entorse du genou droit puis une distorsion du ligament… Des alertes à droite avant la grosse blessure de novembre 2022. A-t-il eu des alertes au genou gauche précédemment cette saison ?

Après des examens complémentaires et une IRM ce jeudi, Lucas Hernandez est fixé : Rupture des ligaments croisé du genou gauche. Le PSG vient de communiquer. Il va subir une intervention chirurgicale dans les tout prochains jours. Une absence qui peut aller de 4 à 8 mois selon les techniques de rééducation.

Très vite, cet après-midi, son coéquipier chez les Bleus et au PSG (pour encore un mois) poste sur son compte Instagram un message d’encouragement. « 𝙈𝙤𝙣 𝙜𝙪𝙚𝙧𝙧𝙞𝙚𝙧, 𝙐𝙣𝙚 𝙣𝙤𝙪𝙫𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙚́𝙥𝙧𝙚𝙪𝙫𝙚 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙞𝙡𝙚 𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙩𝙪 𝙣𝙚 𝙨𝙚𝙧𝙖𝙨 𝙟𝙖𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙨𝙚𝙪𝙡 𝙤𝙣 𝙚𝙨𝙩 𝙩𝙤𝙪𝙨 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙩𝙤𝙞. 𝘽𝙞𝙜 𝙛𝙤𝙧𝙘𝙚 𝙢𝙤𝙣 𝙛𝙧𝙚̀𝙧𝙚. » Des centaines de supporters suivent aussi via leurs réseaux sociaux.

Prêtres, rabbins, imams, pasteurs, évêques réunis pour un match de football

Cause commune. Un grand rassemblement inédit. Voire unique dans l’histoire du sport. Un match entre religieux (mais pas que) est organisé ce dimanche à 15h, au stade Léo Lagrange à Poissy (Yvelines). C’est une nouvelle fois le Variétés Club de France à l’initiative d’un tel événement.

Un an après son pèlerinage à Rome auprès du Pape François, l’équipe du Variétés, fondée par Jacques Vendroux il y a plus de 50 ans, continue de surprendre. Ce dimanche, les images risquent d’être cocasses. Un prêtre passeur décisif pour un rabbin ? Un imam buteur de la tête sur un centre d’un évêque ? Un protestant qui tacle un orthodoxe ? Fort possible, c’est le football.

Du beau monde, autres que des religieux, est aussi convié à ce match hors normes. L’ancienne gloire du PSG, Raï, et l’indéboulonnable Michel Drucker donneront le coup d’envoi à 15h. Quelques minutes avant, une prière commune sera célébrée par les quatre représentants des religions à 14h50, au milieu du terrain, en hommage aux victimes du drame de Furiani à Bastia, le 5 mai 1992. 19 morts et 2357 blessés. Jacques Vendroux en fut un rescapé.

Invité de la matinale de CNews, ce jeudi, Jacques Vendroux avait le sourire : « Je leur ai demandé de nous envoyer le meilleur footballeur de leur diocèse ! Et ils seront tous là dimanche ».

Jacques Vendroux souhaite envoyer un signal fort de rassemblement à travers ce match atypique. Et il ne s’est pas empêché de glisser une indiscrétion sur la numérotation des joueurs : « Haïm Korsia m’a demandé de jouer avec le numéro 6. Pourquoi ? Car c’est un grand fan des Verts, de Dominique Bathenay ! » Une référence que les moins de… 40 ans ne peuvent pas trop connaître.

Côté terrain, l’équipe du Variétés Club de France opère une large revue d’effectif. Une trentaine de joueurs sont conviés à participer à cette rencontre symbolique. Parmi eux, la présence de Monseigneur Emmanuel Gobilliard, évêque de Digne, Riez et Sisteron. Mais aussi le grand rabbin de France Haïm Korsia ou encore Mohamed Ahsaini, un des imams de la mosquée d’Ivry, et Amos Ngoua Mouri, pasteur de l’église protestante de Clamart.

Pour relever le niveau technique, d’anciennes gloires du football professionnel comme Alain Giresse, Robert Pires, Jessica Houara D’hommeaux, Romarin Billong ou Olivier Dacourt seront de la partie. De même, Wilfrid Mbappé (le papa de Kylian) ou le journaliste Thibaud Vézirian chausseront les crampons. Le Président du Variétés Club de France, ancien maire de Poissy et désormais député des Yvelines, Karl Olive, fait également parti de la liste des conviés.

À noter que face au Variétés, la sélection nationale des prêtres sera composée de 21 joueurs dont d’anciens professionnels. Coachée par le père Bertrand Cherrier, ancien des Girondins de Bordeaux, cette équipe aura notamment la présence du pasteur anglican Jean-Luc Sergent, accompagnateur spirituel d’Olivier Giroud.

Même l’arbitre sera un religieux puisque l’ancien arbitre professionnel Monseigneur Dominique Lebrun officiera, lui qui est habituellement archevêque de Rouen. La rencontre sera retransmise sur la chaîne KTO et sur KTOTV.com.

La Tour Eiffel foudroyée, les vignes de Chablis touchées

Orages hors normes, grêlons de la taille de balles de tennis, pluies diluviennes et dégâts majeurs dans plusieurs régions françaises. Les orages qui ont frappé une partie du pays dans la nuit de mercredi à jeudi ont surpris par leur intensité. Bien que Météo France ait placé plusieurs départements en état de vigilance orange.

Une femme de 57 ans est même décédée à Courmelles (Aisne), emportée par une coulée de boue. Le site Keraunos recense 18 589 éclairs le 1er mai et 6036 le 2 mai à 8h30. Contre un seul et unique éclair la veille.

Sur les réseaux sociaux, des images de déluge se diffusent depuis l’Île de France notamment. Sur l’autoroute A1 dans l’Oise, véhicules à l’arrêt et chutes de grêle impressionnantes. À Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), là aussi des grêlons gros comme des balles de tennis.

L’image qui restera sans doute de cette nuit terrible, c’est aussi celle de la Tour Eiffel. Frappée par la foudre. Un cliché saisissant, à défaut d’être unique. Le paratonnerre captant régulièrement de tels moments.

Pour information, ces orages ont fortement perturbé le trafic aérien. Les deux aéroports parisiens, Orly et Roissy-Charles-de-Gaulle, étaient fermés dans la soirée de mercredi. Une dizaine d’avions vers l’aéroport de Roissy ont été déroutés, idem à destination d’Orly. Les images du terminal 2 de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, inondé, ont beaucoup circulé sur les réseaux sociaux.

Enfin, pour les amateurs de vins, c’est la stupeur : Les vignes du Chablis sont durement touchées. Reste à connaître exactement l’étendu des dégâts. Dans l’Yonne (Bourgogne), plusieurs viticulteurs partagent des « dégâts considérables » après le passage de la grêle sur leurs vignes.

Ligue des Champions : Paris rentre bredouille d’Allemagne…

C’est un échec cuisant pour le Paris-Saint Germain de Luis Enrique, décidément en difficultés lors des matchs aller, comme face à Barcelone. Dans cette demi-finale de Ligue des Champions, jouée sur la pelouse de Dortmund, les Parisiens n’ont pas réussi à marquer. Et ont craqué (1-0).

Le match retour, mardi prochain au Parc des Princes, s’annonce palpitant. Mais après cette première confrontation, Paris inquiète ses supporters ainsi que les suiveurs. Car le Borussia Dortmund n’a rien d’un ogre. Il suffit de regarder les deux demi-finales de Ligue des Champions pour se faire une idée. Celle du Bayern face au Real Madrid (2-2), mardi soir, était d’une toute autre intensité.

Paris a déjoué. Paris ne s’est procuré aucune occasion nette. C’est le résumé de la première période parisienne à Dortmund. Luis Enrique a eu tout faux dans son système mis en place pour gêner les Allemands, même si Paris a eu, comme à son habitude, plutôt la maîtrise du jeu. Un pressing intéressant, certes, des récupérations de balle hautes. Mais ensuite ? Une utilisation stérile, comme souvent face à des blocs regroupés et avec de l’engagement physique.

Pas aidés par la sortie prématurée de Lucas Hernandez, les Parisiens ont notamment pris l’eau sur les côtés. Où Hakimi et Mendes ont vécu une sale soirée face à Adeyemi, dans tous les bons coups, et Sancho, si facile.

C’est sur l’action de l’unique but de la soirée, signé Fullkrug (1-0, 35e), pas élégant pour un sou mais diablement efficace, que Lucas Hernandez va d’ailleurs se blesser au genou. Les supporters du PSG et de l’équipe de France espèrent que les examens ne révèleront pas une nouvelle rupture des ligaments croisés, comme il y a deux ans.

Mené au score, le Paris-SG sort alors un peu la tête de l’eau. Quelques ajustements tactiques de Luis Enrique permettent à son équipe de retrouver de l’allant. Dembélé retrouve l’aile droite, Mbappé dézone sur son côté gauche préféré. D’ailleurs, c’est là qu’il se procure sa première occasion : son tir est repoussé par le poteau gauche du portier allemand ! Dans la foulée, Hakimi touche l’autre montant ! Quand ça ne veut pas…

Paris n’a rien à envier au Borussia, dont presque aucun joueur n’aurait une place de titulaire assurée au PSG si l’on compare les effectifs. Mais c’est bien le Borussia qui fait la bonne opération de ce match aller. Si l’arbitre n’avait pas fermé les yeux sur une poussette de Mendes sur Fullkrug en seconde période, Dortmund aurait même pu bénéficier d’un penalty.

Rendez-vous mardi soir, 21h, pour découvrir un autre PSG. Revanchard, sans doute, et poussé par son public. De quoi remonter ce but de retard et envisager une qualification historique en finale de Ligue des Champions.