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Le talisman magique d’Usyk, à peine arrivé en Arabie Saoudite

Ça s’appelle un doudou. Ou un porte-bonheur. C’est comme on veut. Parfois, ça s’accroche à son trousseau de clés, d’autres fois, on le range dans son porte-feuille. L’Ukrainien Oleksandr Usyk, lui, le porte autour du cou. Et il est très, très voyant. Car ce talisman lui a été offert par sa fille. Rien de plus précieux, donc.

Champion WBA-WBO-IBF des lourds, le boxeur Oleksandr « le chat » Usyk (37 ans, 1,91m, 21 victoires, 0 défaite) vient d’attérir à Ryiad (Arabie Saoudite). En ligne de mire, le combat de l’année, le samedi 18 mai, face à Tyson Fury (35 ans, 2,06m, 34 v., 1 nul, 0 défaite), tenant du titre WBC. Le grand vainqueur de cet affrontement deviendra l’incontesté champion du monde des poids-lourds. Le titre suprême.

Usyk s’est préparé à Valence (Espagne), Fury en Angleterre puis depuis déjà samedi dernier à Riyad. Mais Oleksandr Usyk part avec un peu d’avance. Un gri-gri d’avance. Q’est-ce que cela peut bien être ? Un cadeau de sa fille aînée (il a quatre enfants). Une peluche ! Un âne avec d’immenses oreilles.

Le boxeur l’avait déjà montré en public pour son combat victorieux face à l’Anglais Anthony Joshua, en août 2022 à Djeddah (Arabie saoudite). De quoi définitivement en faire un porte-bonheur.

« Ma fille me l’a donnée comme talisman et m’a dit : ‘Il faut qu’elle soit juste à côté de toi.‘ Alors, elle est toujours près de moi. » Pas de raison que ça change d’ici au 18 mai. Pour ce combat très attendu dans le monde entier.

Zidane et Gourcuff réunis pour défier Noah, Pires et Karembeu

C’est du jamais vu. Les légendes des Girondins de Bordeaux réunis pour la bonne cause. Le Variétés Club de France organise mardi à 20h l’anniversaire des 100 ans du stade Chaban-Delmas (Lescure, pour les anciens). Le tout par la Fondation Abbé Pierre et le Secours Populaire.

À cette occasion, Zinedine Zidane aura le plaisir de revenir dans le stade qui a définitivement lancé sa carrière. Terres de ses premiers grands exploits.

Cette équipe de Bordeaux, qui affrontera celle du Variétés composée d’artistes et anciens sportifs, sera composée de monuments du football. Zinedine Zidane (51 ans) évoluera pour la première fois de sa carrière avec Yoann Gourcuff, annoncé pendant des années comme son successeur. Les Bordelais seront un mix entre champions de France 2009 (Chamakh, Diawara, Chalmé, Planus, Trémoulinas, Cavenaghi, etc.) et anciennes gloires du club (Lizarazu, Dugarry, Giresse, Trésor, etc.). Un grand moment pour tout le public.

Laurent Blanc reviendra aussi sur le banc de touche qui lui a offert son premier titre de champion de France en tant qu’entraîneur. Passé ensuite par le PSG et l’OL, avec des réussites diverses, il va cette fois coacher avec le sourire une équipe d’amis et d’anciens joueurs. Autre symbole du club, Elie Baup l’accompagnera sur le banc.

En face, le manager général du VCF Jacques Vendroux devra gérer une équipe plus folklorique mais néanmoins remplie de légendes du sport : Yannick Noah et Serge Blanco ont répondu présent. Les humoristes Redouane Bougheraba et Paul Mirabel fouleront aussi cette pelouse. L’ex-rugbyman Dimitri Yachvili et certains joueurs de l’UBB seront là également pour apporter du punch à cette sélection.

Tous les billets ont été vendus, stade à guichets fermés. 100 ans, ça se fête ! Une rencontre à suivre sur France 3 Aquitaine et La Chaîne L’Equipe, mardi soir.

Fin du portable à l’école, la solution magique enfin dévoilée !

Et si c’était ça la solution à la fameuse « pause numérique » demandée par la ministre Nicole Beloubet sur France Inter il y a un mois ? Voilà une idée originale et efficace. Un professeur d’économie-gestion a transformé ses élèves : les voilà concentrés et aptes à participer. Une révolution.

« Je me demande s’il ne faut pas que nous procédions comme en Conseil des ministres : on dépose son téléphone à l’entrée des collèges. » Les propos de la ministre de l’Education sur France Inter il y a un mois ont trouvé un bel écho chez Thierry Tourriere, professeur d’économie-gestion au lycée professionnel Pierre Mendès France à Montpellier.

Ce professeur a trouvé la solution pour confisquer intelligemment les smartphones de ses élèves. Une astuce mais quelle astuce ?

Il la confie au Figaro Etudiant : « Cela fait quelques années que j’ai le sentiment que les difficultés des élèves, au niveau de l’expression écrite, de la lecture ou encore en termes de concentration se sont nettement accélérées… » Il a donc cherché comment inverser la fâcheuse tendance. Ainsi, depuis fin mars, il a créé le « casier à portables ».

Une boîte équipée de 36 rangements pour les téléphones. Les idées les plus ingénieuses sont les plus simples. Cela a coûté « une cinquantaine d’euros ». Les étudiants l’auraient alors très vite acceptée. Concrètement, le casier vitré reste visible de tous pendant tout le cours, sur le bureau du professeur, afin d’éviter de possibles vols.

Effets immédiats selon lui : « Un mois après son lancement, la différence en termes de qualité de concentration est impressionnante. Les élèves posent plus de questions, c’est plus facile de les interpeller et ils comprennent mieux les notions ». Retour à l’école des années 90, voire 2000 ?

Car si le Code de l’éducation précise bien que les « smartphones des élèves doivent être éteints et rangés dans les cartables et sacs à dos », en pratique, ce n’est pas le cas. Et beaucoup d’enseignants peinent à se faire respecter sur ce sujet.

« Les élèves sortent constamment leur téléphone, ils n’arrivent plus à rester concentrés sur les notions importantes et on perd beaucoup de temps. J’en ai eu ras-le-bol ». Un ras-le-bol qui a généré une solution. Une solution qui pourrait faire boule de neige.

Thierry Tourriere a même parlé de sa technique novatrice sur LinkedIn, évoquant « un véritable sujet de société ». Son post comptabilise aujourd’hui plus de 40 000 likes, 1140 commentaires et 2400 partages. 

INSOLITE – Bruits suspicieux en conférence de presse : « Je viens d’entendre quoi ? »

Une conférence de presse dont il se souviendra. Un moment pas comme les autres. Impossible à envisager. Luka Doncic, la star NBA des Mavs de Dallas, ne s’attendait surtout pas à entendre des bruits d’ébats amoureux lors de cet après-match de play-offs. Son équipe venait de remporter un succès probant sur le terrain d’Oklahoma City (110-119), cela a visiblement mis en joie certaines personnes…

Auteur de 29 points, 10 rebonds et 7 passes décisives, le Slovène a été le grand leader de cette égalisation une manche partout face au Thunder dans ce 2e tour de play-offs NBA. Mais alors qu’il tentait d’expliquer cette victoire aux médias du monde entier… Toute la salle se tait quand retentit un bruit suspect.

« Je viens d’entendre quoi ? », s’interroge la star du basket.

Une scène qui lui a fait oublier ses douleurs au genou. Sous cet autre angle, on découvre la suite de cette séquence lunaire. Un journaliste semble apparemment avoir laissé son téléphone allumé.

Il aurait cliqué sur une « mauvaise » vidéo… Et là, c’est le drame. Du porno, ou en tout cas une vidéo d’ébats sexuels, avec le son à fond. Ça l’a fout mal. Ni le lieu, ni le moment pour ça…

Troisième match entre les Mavericks et le Thunder samedi, 21h30.

Le PSG dévoile son nouveau maillot « Hechter » et il est réussi !

Comment faire passer la pilule d’une douloureuse élimination en demi-finale de Ligue des Champions ? En se focalisant sur la saison suivante. Le Paris-Saint Germain vient ainsi de dévoiler le prochain maillot domicile du club, pour la saison 2024-25.

Si ce dernier avait déjà fuité depuis de nombreux mois, notamment sur le très fiable site FootyHeadlines, les supporters parisiens sont ravis d’avoir cette confirmation officielle : oui, c’est un retour aux sources.

Demandé expressément par une large frange de fans du PSG, Paris leur a offert un maillot « Hechter » (président du club dans les années 1970), à l’ancienne, avec la traditionnelle bande rouge au milieu, entourée d’un liseré blanc.

Il suffit de jeter un oeil aux nombreux commentaires sur les différents réseaux sociaux pour se rendre compte que l’accueil de ce nouveau maillot est un succès.

Exit Kylian Mbappé, sur le départ pour le Real Madrid, place à d’autres joueurs pour lancer cette campagne de communication. Un PSG sans méga-star, cela fait depuis 2017 que ce n’était plus arrivé.

Le défenseur portugais Nuno Mendes, le jeune espoir déjà international français Warren Zaïre-Emery ou encore Lucas Hernandez (blessé) et Vitinha sont les têtes d’affiche. Une campagne de photos réalisées avec l’Intelligence Artificielle.

Le Paris-SG s’est aussi fendu d’une vidéo spéciale pour l’occasion, qu’Entrevue vous laisse découvrir ici.

Le calvaire olympien, l’OM éliminé !

Il n’y a pas eu photo. Aucune suspense même. Comme le PSG la veille, un sentiment d’extrême frustration. L’Olympique de Marseille n’a tout simplement pas été à la hauteur de l’événement. Après son match nul (1-1) au match aller à domicile, l’OM se déplaçait plein d’ambitions sur la pelouse de l’Atalanta Bergame.

Il n’a pas fallu longtemps pour comprendre que la soirée allait être compliquée. Baladés collectivement, secoués physiquement, les Marseillais n’ont pas existé. Aucun tir cadré à l’issue de la première période. 13 tirs pour leurs adversaires. L’Atalanta n’en avait que faire du beau parcours européen des Marseillais, ils ont roulé sur leurs adversaires. Et fini le match comme ils l’avaient démarré : avec entrain et panache.

Et un, et deux, et trois zéro

Bien aidé par le genou de Gigot, le tir de Lookman trouve le chemin des filets (1-0, 30e). Cette ouverture du score ne réveille pas les joueurs de Jean-Louis Gasset. Ils ne sortiront jamais vraiment la tête de l’eau. Surclassés dans tous les compartiments, l’OM aura tout de même une (seule) occasion nette de revenir au score. Ndiaye devance la défense italienne, file au but et voit le gardien adverse très avancé. Son tir lobé meurt à côté du cadre… Le but était grand ouvert.

Dans la foulée, comme c’est souvent le cas dans le football de haut niveau, Marseille est puni. Ruggeri déboule côté gauche et arme un tir en pleine lucarne opposée. Apathiques, les Olympiens constatent les dégats (2-0, 52e).

Alors que l’Atalanta avait joué en championnat trois jours avant (l’OM avait une semaine de repos), personne n’a constaté l’écart physique entre les deux équipes. Pire, les Italiens semblaient nettement au-dessus du lot. Marseille est comme asphyxié.

En toute fin de match, la soirée prend une toute autre tournure : c’est une claque finale. Touré inscrit le troisième but de la soirée (3-0, 94e). À la différence du match aller, il y avait ce soir un monde d’écart entre les deux équipes. L’écart entre un club stable et un autre particulièrement instable. À l’image de ses quatre coachs consommés cette saison par exemple. L’OM peut maintenant se concentrer sur la suite : une fin de championnat difficile et un avenir beaucoup plus radieux.

L’Atalanta Bergame rejoint le Bayer Leverkusen en finale de cette Ligue Europa. Aucun club français n’a réussi à sortir des demi-finales des coupes d’Europe. Une désillusion.

Laure Boulleau en burn-out : les confidences

Un témoignage saisissant. Mettre des mots sur des maux, ce n’est parfois pas chose facile. C’est ce qu’a choisi de faire Laure Boulleau, l’ex-joueuse de football au micro de Clique sur Canal+. La consultante C+ s’est confiée comme jamais, devant Mouloud Achour.

C’est un des maux de notre société : le burn-out, la dépression. Laure Boulleau en a été victime. Toujours habituée à vivre à cent à l’heure, elle a été obligée de lever le pied. Télé, réseaux sociaux, sport, vie sociale active… L’ex-joueuse du PSG disait oui à tout.

« Il y a deux ans et demi, trois ans, je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je n’arrivais plus à me concentrer, j’avais des trous de mémoire, j’ai commencé à paniquer », confie-t-elle. « J’ai fait des émissions dans lesquelles j’avais l’impression d’être en pilotage automatique, j’étais là sans être là ». Comme un trouble de dépersonnalisation.

Pire que tout, Laure Boulleau a même été jusqu’à penser que « ses jours étaient comptés ».  La maman d’une petite Clara depuis le 19 février avoue avec le recul que son « cerveau n’était plus comme avant. Des noms de joueurs, j’avais du mal à m’en souvenir, même des connus. Les lendemains d’émissions, j’étais épuisée ».

Une sorte de burn-out. Un mal dont elle ne connaissait ni les symptômes, ni comment l’éradiquer : « En voulant tout bien faire, sans savoir dire non, j’ai failli me brûler la tête ».

La consultante de Canal+ a alors choisi le check-up complet. Là voilà en consultation chez de nombreux spécialistes : « J’ai fait tous les examens de la tête en long, en large et en travers. J’avais des symptômes de ouf et il n’y avait rien. Je devenais timbrée. Et j’ai donc consulté un neurologue que j’avais déjà consulté pour les traumas crâniens et qui m’a tout de suite dit ce qui n’allait pas ».”

Désormais mère de famille, la jeune femme voit le monde autrement : « Ma vie a pris un autre sens ».

Il reste 1 million de places pour le football aux JO !

Ça s’appelle être transparent. Tony Estanguet ne s’en cache pas. Le football ne fait pas recettes. En tout cas, aux Jeux Olympiques. Le boss de Paris 2024 a profité de la grande journée marseillaise d’arrivée de la flamme, mercredi, pour faire une annonce marquante.

Il reste toujours un million de places à saisir. Un chiffre colossal. Les tournois masculins et féminins de football des Jeux olympiques ne sont pas pleins. Loin de là. À moins de 90 jours de la cérémonie d’ouverture, il faut écouler les stocks. Même si 1,5 millions de billets ont déjà trouvé preneur.

« Le football aux Jeux, c’est très important. C’est le sport où il y avait le plus de places. Le sport où l’on a déjà vendu le plus de places. Et le sport, où il reste le plus de places », a expliqué Tony Estanguet avec une totale transparence. Le président du comité d’organisation a d’ailleurs profité de la présence de plusieurs stars du football mondial, mercredi à Marseille, pour leur soutirer quelques messages, en mode « petites annonces ».

« Didier, tu as un petit message pour les supporters de foot ? », lui demande Tony Estanguet. Réponse de l’ancienne gloire de l’OM, de Chelsea ou de la Côte d’Ivoire : « Le football, ce sera à Marseille, au stade Vélodrome. Il y aura l’équipe de France, beaucoup de stars, masculines, féminines. 10 matchs, encouragez votre équipe, montrez au monde entier que le peuple marseillais sont les meilleurs supporters au monde ! Remplissez-moi ce stade Vélodrome ! On compte sur vous. »

Beaucoup de places disponibles, donc. Et à des tarifs accessibles, « à partir de 30 euros pour les matches de l’équipe de France », valide Tony Estanguet. La ministre des sports Amélie Ouéda-Castéra lui a aussi prêté main forte dans cette entreprise : « C’est une opportunité, un petit miracle qu’il reste des places, il y aura ce match incroyable le 24 juillet à 21 heures entre la France et les Etats-Unis. Et on a dans notre groupe d’autres équipes intéressantes : la Nouvelle-Zélande, le vainqueur entre Guinée et Indonésie… »

Pas de quoi convaincre les habitués du football, qui se délectent actuellement avec les Coupes d’Europe. Le football, aux Jeux Olympiques, reste une compétition mineure, où les stars se font rares. Constat lucide. Une compétition non inclue au calendrier FIFA. Ainsi, les sélections doivent être composées uniquement de joueurs nés après le 1er janvier 2001. Sauf trois joueurs.

Trois joueurs de plus de 23 ans donc, parmi lesquels Kylian Mbappé ? Emmanuel Macron assure faire le forcing auprès du Real Madrid. Ce n’est pas gagné. L’Espagne n’ayant aucun intérêt à renforcer la France dans l’optique d’une médaille olympique. Et c’est à chaque club que revient la décision finale d’autoriser ou non un joueur à participer aux Jeux Olympiques.