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Luis Enrique (PSG) : la perte de son enfant, il confie cette immense douleur

Comment continuer à vivre suite à la perte d’un enfant ? C’est le difficile défi auquel fait face tous les jours Luis Enrique, l’entraîneur du PSG.

Dans cette série documentaire qui lui est consacré en Espagne (Movistar), le coach espagnol parle de tout : son adaptation au PSG, le dossier brûlant Kylian Mbappé, ses choix de jeu et aussi sa vie personnelle.

Une vie personnelle compliquée depuis quelques années, la famille a été touchée par un drame terrible. La fille de Luis Enrique, Xana, 9 ans, est décédée d’un cancer des os en 2019, après 5 mois de lutte. L’horreur. L’inimaginable pour des parents. Et pourtant, Luis Enrique fait face. Avec honneur.

L’Espagnol de 54 ans arrive à trouver des mots positifs face à une telle douleur : « Puis-je me considérer chanceux ou malheureux ? Je me considère chanceux, très chanceux. Ma fille Xana est venue vivre avec nous pendant 9 merveilleuses années« .

Des mots qui brisent le coeur de tout être humain qui entend cette histoire, forcément.

Peu importe les polémiques sportives, grand respect pour Luis Enrique.

Thibaud Vézirian.

Les images exclusives de Zinedine Zidane avec Kylian Mbappé, à 13 ans

Présentation en grande pompe de la star Kylian Mbappé, devant un stade Santiago Bernabeu plein. Même la légende Zinedine Zidane avait fait le déplacement pour accueillir l’attaquant français. Le Real Madrid en a profité pour diffuser des images exclusives.

Kylian Mbappé, nouveau roi de Madrid. Un accueil magnifique, un discours parfait (dans un espagnol très naturel)… Tout est réussi. Plus qu’à marquer des buts. À l’occasion de cette présentation, Zinedine Zidane et le boss du Real Madrid Florentino Perez ont accueilli la star sur scène.

Pendant la diffusion de la présentation de l’attaquant sur les différents canaux du Real Madrid, on a pu apercevoir des images inédites. Notamment celle où Kylian Mbappé avait 13 ans. Il y a douze ans donc… On le voit croiser Zinedine Zidane, alors joueur. Et lui adresser une accolade. Moment mythique.

C’était le destin de se retrouver ici… Puis peut-être en équipe de France ? Qui sait. Zinedine Zidane attend toujours un banc d’entraîneur ou un poste de manager général. Didier Deschamps est encore sous contrat jusqu’en 2026.

Les images de la présentation de Kylian Mbappé au stade Santiago Bernabeu en direct

Nouvelle plainte pour violence contre Joey Starr

Déjà condamné pour violence à plusieurs reprises, l’ex-rappeur et comédien Joey Starr, de son vrai nom Didier Morville, est visé par une enquête pour des violences sur son plus jeune fils. La plainte a été déposée par la mère de l’enfant.

Joey Starr rattrapé par la justice, une nouvelle fois. Celle de trop ? L’enquête est en cours, Didier Morville est soupçonné de violences envers son plus jeune fils de 9 ans, informe l’AFP, ce vendredi 12 juillet, confirmant une information du Parisien.

La Brigade de protection des mineurs de la police judiciaire de Paris s’est saisie du dossier. Le comédien de 56 ans aurait commis ces faits graves à son domicile parisien. La plainte a été déposée le mercredi 10 juillet au commissariat de Nogent-sur-Marne. Des faits de violence consécutifs à un mauvais « apprentissage d’un geste hygiénique ».

Didier Morville a déjà été condamné plusieurs fois par la justice par le passé. Il avait notamment publiquement commis déjà des actes de violence, reconnu coupable de « mauvais traitement » envers un singe appartenant à une espèce protégée, en 2002. Plus tard, en 2009, il a été condamné à trois mois de prison ferme et à 2000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Paris. Il avait brutalisé son ancienne compagne et mère de deux de ses enfants.

L’ex-rappeur du duo NTM est père de trois garçons : Matisse, 18 ans, et Khalil, 16 ans, puis Marcello, 9 ans, né d’une autre union. Sans gêne, il déclare encore la semaine dernière « avoir peur » pour ses enfants si l’extrême droite passe au pouvoir.

Déjà la rentrée ! Arash Derambarsh, Gaël Fickou, Karl Toko-Ekambi et Sefyu distribuent 2000 cartables aux enfants de Courbevoie

Plus que quelques heures avant les grandes vacances pour les enfants de maternelle et de primaire. Mais pour d’autres, notamment à Courbevoie, ils pensent déjà à la rentrée ! Avec des sacs bleus ou rouges estampillés Paris 2024. Du plus bel effet.

Plusieurs sportifs de haut niveau, comme les rugbymen Gaël Fickou et Cameron Woki ou le footballeur Karl Toko-Ekambi (ainsi que le rappeur Sefyu) sont venus à la rencontre des écoliers de Courbevoie (Hauts-de-Seine) pour la désormais traditionnelle distribution de cartables.

De gauche à droite : Sefyu, Karl Toko-Ekambi, Arash Derambarsh et Gaël Fickou. Crédit photo : Alexandre Adibzadeh

Ce mercredi, 2000 écoliers ont pu bénéficier de cette initiative de l’adjoint au maire Arash Derambarsh, initiative entièrement financée par des partenaires extérieurs. Notamment le soutien de Dentsu.

Ce mercredi, des élus du conseil municipal des jeunes sont venus donner un coup de main. Les familles se pressent au centre événementiel de la ville. C’est la fête. À la fois grâce la présence de sportifs internationaux et d’un rappeur très connu mais aussi grâce au côté magique de recevoir ce joli cadeau d’actualité : Paris 2024 est là. C’est un Noël en plein été.

« C’est toujours une bonne cause d’être avec les enfants, de partager des photos », explique au Parisien Gaël Fickou, joueur du Racing 92. L’événement ne se limite pas à une simple distribution de cartables. C’est plus que ça. Partage et convivialité. Sur place, les familles découvrent un stand de sensibilisation au développement durable, peuvent discuter avec un coach parental. Et les petits participent à un concours de coloriage.

Neuf ans que ça dure, neuf ans qu’Arash Derambarsh tente d’améliorer le rendez-vous année après année. Ne bénéficiant d’aucune subvention publique, l’adjoint au maire Jacques Kossowski se fait aider uniquement d’entreprises et de mécènes.

Crédit photo : Alexandre Adibzadeh

La drôle de soirée d’un bébé au concert de Taylor Swift

Un bébé de quelques mois a-t-il vraiment sa place dans une salle de concert ? C’est la question clivante qui anime les réseaux sociaux depuis la série de concerts en France de Taylor Swift. Une curieuse image en provenance du deuxième concert de la star de la pop anime les débats.

Un bébé, casque antibruit sur les oreilles, endormi sur le sol de Paris La Défense Arena. Rien d’illégal. Mais de quoi choquer le monde entier. Au beau milieu des 42 000 personnes qui se sont « battues » (voire endettées) pour être présentes à l’événement, il y avait donc… ce bébé. Dans la fosse. En famille, rassurez-vous. Bien emmitouflé dans un manteau à franges du plus bel effet.

D’après différentes sources, il n’a pas bougé de la soirée, ni gémi, ni pleuré. Tout va bien. Ou presque. Dans le meilleur des mondes ?

Sur les différents réseaux, les commentaires pleuvent : « C’est une honte ! », « comment c’est possible ? », « enlève ton bébé du sol et rentre chez toi », « il n’a rien à faire ici ! ». Plusieurs photos totalisent des millions de vues.

Et même si apparemment « les parents étaient très attentifs », c’est un raz-de-marée de messages négatifs : « Si tu peux payer des tickets pour le Eras Tour alors tu peux payer une babysitter, c’est tellement irresponsable ».

D’autres vont encore plus loin : « Certaines personnes ne devraient vraiment pas être autorisées à avoir des enfants ». Heureusement, la prestation a de Taylor Swift a détourné l’attention de ses fans vers la scène. Car le mode de garde de ce bébé, lui, n’a pas fait l’unanimité.

Laure Boulleau en burn-out : les confidences

Un témoignage saisissant. Mettre des mots sur des maux, ce n’est parfois pas chose facile. C’est ce qu’a choisi de faire Laure Boulleau, l’ex-joueuse de football au micro de Clique sur Canal+. La consultante C+ s’est confiée comme jamais, devant Mouloud Achour.

C’est un des maux de notre société : le burn-out, la dépression. Laure Boulleau en a été victime. Toujours habituée à vivre à cent à l’heure, elle a été obligée de lever le pied. Télé, réseaux sociaux, sport, vie sociale active… L’ex-joueuse du PSG disait oui à tout.

« Il y a deux ans et demi, trois ans, je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je n’arrivais plus à me concentrer, j’avais des trous de mémoire, j’ai commencé à paniquer », confie-t-elle. « J’ai fait des émissions dans lesquelles j’avais l’impression d’être en pilotage automatique, j’étais là sans être là ». Comme un trouble de dépersonnalisation.

Pire que tout, Laure Boulleau a même été jusqu’à penser que « ses jours étaient comptés ».  La maman d’une petite Clara depuis le 19 février avoue avec le recul que son « cerveau n’était plus comme avant. Des noms de joueurs, j’avais du mal à m’en souvenir, même des connus. Les lendemains d’émissions, j’étais épuisée ».

Une sorte de burn-out. Un mal dont elle ne connaissait ni les symptômes, ni comment l’éradiquer : « En voulant tout bien faire, sans savoir dire non, j’ai failli me brûler la tête ».

La consultante de Canal+ a alors choisi le check-up complet. Là voilà en consultation chez de nombreux spécialistes : « J’ai fait tous les examens de la tête en long, en large et en travers. J’avais des symptômes de ouf et il n’y avait rien. Je devenais timbrée. Et j’ai donc consulté un neurologue que j’avais déjà consulté pour les traumas crâniens et qui m’a tout de suite dit ce qui n’allait pas ».”

Désormais mère de famille, la jeune femme voit le monde autrement : « Ma vie a pris un autre sens ».

Francis Ngannou, le coeur brisé

Il n’y pas d’âge pour perdre un enfant. Mais quand celui-ci n’a que 15 mois, on imagine l’horreur pour la famille de Francis Ngannou, star du MMA et de la boxe. Le franco-camerounais vient d’annoncer via ses réseaux sociaux le décès soudain de son fils Kobe.

« Trop tôt pour partir mais il est bien parti. Mon petit garçon, mon camarade, mon partenaire Kobe était rempli de vie et de joie. Maintenant, il est allongé, sans vie. J’ai hurlé son nom encore et encore mais il ne répond plus. »

Le champion poursuit par ces mots émouvants : « J’étais à mon meilleur près de lui et désormais, je ne sais plus qui je suis. La vie est trop injuste de nous frapper là où ça fait le plus mal. »

Un message mais aussi un appel à l’aide d’un papa au coeur brisé. « Comment faire pour gérer une telle horreur ? Comment vivre avec ça ? S’il vous plaît, si vous avez la moindre idée, dites moi car je ne sais pas quoi faire, ni comment gérer ça. »

Face à une telle annonce, les messages de condoléances affluent du monde entier. À commencer par son dernier adversaire, l’Anglais Anthony Joshua, via Instagram : « Que les souvenirs que vous avez en commun t’apportent un peu de réconfort. » Le footballeur Aurélien Tchouaméni ou le boxeur Souleymane Cissokho y sont également allés de leur message de sympathie.

Voilà un champion touché en plein coeur. Ancien clandestin et sans domicile fixe dans les quartiers de Paris, Francis Ngannou était sorti de la pauvreté grâce à son art du combat. Un parcours particulièrement inspirant. Devenant en mars 2021 un formidable champion invaincu en UFC, dans la catégorie reine des poids lourds.

Vers un logo « interdit aux moins de 3 ans » ?

C’est une loi qui fait grand bruit. Deux députés Les Républicains viennent ce lundi de déposer une proposition de loi visant à réguler l’usage des écrans en présence des enfants de moins de 3 ans.

Annie Genevard et Antoine Vermorel-Marques en ont marre. Ces deux députés Les Républicains ne veulent plus voir d’enfants de moins de 3 ans devant la télé. Ni devant le moindre écran, d’ailleurs. Ce qui ne veut pas dire que de voir des parents scotchés à leur téléphone devant leurs jeunes enfants est une bonne chose…

Les deux élus veulent ainsi interdire toute exposition aux télévisions, tablettes et smartphones pour de si jeunes enfants. Les crèches et assistantes maternelle n’ont pas attendu cette loi pour le faire. Et beaucoup le précisent dans les commentaires sur les réseaux sociaux.

Pour forcer les parents à faire plus attention, ils proposent même un logo « interdit aux moins de 3 ans » en continu à la télévision. Est-ce vraiment bien utile ? Et surtout, quel sera le réel impact une fois passée la surprise d’une telle bannière ?

La députée LR du Doubs s’en est expliquée sur les différentes chaînes infos toute la journée. Pour elle, cette « règle sera davantage possible en crèche, parce qu’il y a des comportements collectifs ». Dans les faits, les crèches font déjà la chasse ouverte aux smartphones et autres écrans.

Là où la députée a raison, c’est qu’encore trop de familles laisse leurs smartphones à disposition de jeunes enfants pour les occuper ou les calmer. Annie Genevard pointe aussi du doigt l’existence de « jeux numériques à partir de 2 ans ». Avant 3 ans, l’utilisation des écrans est dangereux pour l’enfant. Tous les spécialistes confirment que cela « perturbe énormément de fonctions chez le jeune enfant », via « une diminution de la motricité et la perturbation des repères, des retards de langage, des difficultés relationnelles ».  

Des problèmes qui relèvent surtout de l’éducation de l’enfant, en général. Faut-il des lois pour aider les parents à mieux éduquer leurs enfants ? Un dilemme pour chaque État.