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Suspension pour dopage réduite, Paul Pogba va rejouer… dés novembre !

Paul Pogba est de retour. Plus tôt que prévu. Sa suspension pour dopage* a été réduite de quatre ans à 18 mois. L’élégant milieu de terrain international va donc retrouver les pelouses en compétition en mars 2025. Dans quel club ? L’avenir nous le dira rapidement. En attendant, il est déjà programmé pour retrouver les terrains… à Dubaï.

La Kings Cup, un match exhibition avec d’anciennes gloires, prend place le 30 novembre à Dubaï (Emirats Arabes Unis). Paul Pogba, 31 ans, pourra alors montrer qu’il n’a rien perdu de sa technique à défaut d’étaler un niveau physique optimal.

Cette rencontre amicale verra s’affronter deux équipes inédites : le Hedge & Sachs World Royals XI et le Kings XI. Le site officiel du tourisme à Dubaï informe déjà de la présence de John Terry, Roberto Carlos, David Villa, Michael Owen, Marouane Fellaini, Edgar Davids, Paul Scholes, Theo Walcott, Blaise Matuidi, David Silva et donc… Paul Pogba !

Le retour de l’international français (91 sélections, 11 buts), conseillé par l’avocate Rafaela Pimenta, sera particulièrement suivi. Même si ce match au stade Al Maktoun n’a rien à voir avec une rencontre de football classique.

Le Daily Mail précise que Paul Pogba ne jouera que 30 minutes (15 par mi-temps) et portera un maillot spécial. Une sorte de « joker », libre de jouer sans être hors-jeu et exempté de cartons jaunes et carton rouge… Du football mais pas complètement.

Après la décision du Tribunal Arbitral du Sport (TAS), le joueur sait désormais que son retour est proche : dés le 11 ou 12 mars 2025, il pourra jouer en compétition. Histoire de se remettre dans le bain toute la fion de saison.

Si certaines rumeurs l’envoient à l’Olympique de Marseille, dont son avocate est proche depuis le transfert de Jean Onana en janvier 2024, d’autres pistes pourraient s’activer rapidement. D’autant que l’on voit mal l’OM être capable de prendre en charge son salaire XXL sans jouer de Coupe d’Europe, ni recevoir de droits TV conséquents.

À moins que d’ici là, l’officialisation de cession du club par un grand consortium d’entreprises mené par l’Arabie Saoudite (pays qui avait transmis une offre au joueur à l’été 2023) ne tombe enfin, après des années de tractations à rebondissements en coulisses.


*Contrôlé positif à la déhydroépiandrostérone (un stéroïde dont les effets sont équivalents à ceux de la testostérone) en août 2023 après un match entre la Juventus et Udinese, Paul Pogba avait initialement été suspendu pour 4 ans. Avant de voir celle-ci réduite à 18 mois. Le milieu de la Juventus Turin a toujours dit qu’il n’avait « jamais enfreint consciemment » les règles en vigueur de l’Agence mondiale antidopage. Mais il « aurait dû faire preuve d’une plus grande vigilance« .

Dubaï : Pluies torrentielles générées par l’Homme ? La réponse

Ces images ont fait le tour du monde. Des chutes de pluie équivalentes en 24h à plusieurs mois de précipitations. Un aéroport envahi par les eaux, si bien que les avions avaient des allures de bateaux…

Comme souvent via les réseaux sociaux, quelques hypothèses complotistes -ou tout du moins farfelues- surgissent. Cette fois, ce serait l’Homme qui aurait modifié le climat afin de créer ces violentes tempêtes.

Au total, plus de 120 millimètres d’eau sont tombés sur les Emirats Arabes Unis. Le désert, les pieds dans l’eau. Une rareté. Et de la suspicion !

Des théories émergent rapidement : Avec plus de 13 millions de vues, un message en anglais, relayé par Bloomberg, explique qu’une « modification de la météo » serait l’œuvre de l’Homme, évoquant un « ensemencement des nuages », et des « produits chimiques pulvérisés dans les nuages pour créer de la pluie ».

Oui, les Émirats arabes unis recourent aux « ensemencements des nuages », un procédé qui n’a rien à voir avec un phénomène d’une telle ampleur. Une météo capricieuse, par ailleurs parfaitement gérée par les autorités émiraties.

L’ensemencement des nuages, c’est une technique peu connue en France, puisqu’assez coûteuse et inutile dans le pays. Il s’agit d’ajouter différentes substances dans des nuages afin de prévenir la formation de grêle ou de favoriser les précipitations.

Les Émirats Arabes Unis réalisent plus de 300 missions annuelles d’ensemencement, à l’aide de plusieurs avions, selon les données collectées par le pays. Le pays a même investi des dizaines de millions de dollars de recherches dans ces techniques depuis une vingtaine d’années.

Un ensemencement des nuages aurait donc mal tourné ? Au point de déclencher une telle tempête ? Le démenti est formel de la part du directeur adjoint du Centre national de météorologie des Émirats (NCM). Sur CNBC, il insiste qu’ « aucune opération n’a été menée avant ou pendant la tempête pour influencer les quantités de pluie ». 

Précisant : « L’un des principes de base de l’ensemencement des nuages est que vous devez cibler les nuages à un stade précoce, avant qu’il ne pleuve. Si vous avez un orage violent, il est alors trop tard pour procéder à une opération d’ensemencement. Le NCM ne mène pas d’opérations d’ensemencement des nuages lors d’événements météorologiques extrêmes. »