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PSG 1-0 Gérone : Paris dominateur et vainqueur in extremis (Ligue des Champions)

Cette deuxième soirée de Ligue des Champions de la semaine a réservé quelques surprises. Le Paris-Saint Germain a eu toutes les peines du monde à inscrire un petit but au Parc des Princes pour vaincre l’équipe espagnole surprise de la saison dernière, Gérone. Alors que Manchester City a été accroché sur son terrain par l’Inter Milan (0-0). Le Borussia Dortmund s’en sort facilement à Bruges (0-3).

Certains pourront parler de victoire miraculeuse tant elle s’est dessinée en toute fin de match, d’autres estimeront que Paris a largement mérité ses 3 points. Deux lectures possibles de ce premier match de Ligue des Champions nouvelle formule.

Largement dominateurs en termes d’occasions de buts, 22 contre 3 pour les Espagnols, les Parisiens de Luis Enrique ont manqué parfois de rythme, parfois de réussite (à l’image de Bradley Barcola et Ousmane Dembélé), parfois d’un attaquant de surface (Asensio est d’ailleurs sorti sur blessure avant la pause).

Quand on possède de fantastiques dribbleurs, que ce sont les ailiers du Paris-SG, on sait que les trouver dans un mauvais soir est une possibilité. Le dribble n’est pas une science exacte. Rien n’allait vraiment pour les deux compères mercredi soir face à Gérone. Dribbles manqués, tirs arrêtés par le portier adverse ou par la barre transversale, contre-attaque très mal gérée à la 54e minute de jeu…

Au lieu de s’excentrer légèrement pour décaler ensuite son coéquipier, Ousmane Dembélé fonce dans l’axe et s’emmêle les pinceaux pour finalement être repris sans même avoir tiré au but… Rageant.

Dans le jeu, Paris continue de montrer un visage intéressant, même si l’opposition Ligue des Champions lui montre que la Ligue 1, encore une fois, ne l’aide pas à s’étalonner chaque week-end.

Alors que l’on entamait les arrêts de jeu, il a fallu finalement une grossière faute de main de Gazzaniga, le gardien argentin de Gérone, consécutive à un centre tendu de Nuno Mendes pour délivrer le Parc des Princes (1-0, 90e). Paris prend les trois points. C’est l’essentiel dans ce nouveau championnat européen où les places qualificatives directement pour les 8e de finale seront chères.

Après Lille, battu par le Sporting Portugal (2-0) mardi, et le PSG mercredi soir, c’est au tour de Monaco, face au FC Barcelone (jeudi, 21h) et à Brest, à Guingamp face à Sturm Graz (18h45) d’entrer en lice, ce soir.

Beaucoup mieux les Bleus, victoire et plaisir face à la Belgique (2-0)

Après leur lourde défaite, vendredi, face à l’Italie (1-3), l’équipe de France devait réagir. Et elle l’a fait. Avec une équipe remaniée par Didier Deschamps, les Bleus ont retrouvé le plaisir de jouer. Et de gagner.

Ce deuxième match de la saison de Ligue des Nations avait tout du piège pour l’équipe de France de football. La défaite face à l’Italie (1-3), vendredi au Parc des Princes, avait-elle laissé des traces dans les têtes françaises ? La réponse donnée au Groupama Stadium trois jours plus tard montre que la France sait se relever quand elle trébuche.

Avec Manu Koné (80 ballons touchés, 10 ballons récupérés, 13 duels dont 8 gagnés) et Matteo Guendouzi titularisés au milieu en terrain en compagnie de l’expérimenté N’Golo Kanté, la France a fait mal aux Belges. Récupération de balle intense, puissance et pugnacité. De quoi avoir un premier rideau défensif efficace et soulager la défense. Dayot Upamecano avait retrouvé sa place de titulaire en défense centrale, comme Jules Koundé, à droite.

Sans Kylian Mbappé, ni Antoine Griezmann, Didier Deschamps avait choisi une attaque assez inédite : Kolo Muani, Thuram et Dembélé. De quoi permuter, dribbler et fatiguer la défense belge.

Après vingt minutes poussives, l’équipe de France prend le dessus et impose son jeu. Les spectateurs retrouvent des Bleus solides défensivement et avec de l’allant offensivement.

Déjà buteur en quarts de finale de l’Euro face à la Belgique, Randal Kolo Muani délivre à nouveau le camp français, en embuscade après un tir mal repoussé d’Ousmane Dembélé (1-0, 29e).

Un but par mi-temps et les trois points, tout va bien… C’est Ousmane Dembélé qui fait le break un peu avant l’heure de jeu, après un rush dont il a le secret et une frappe limpide sous la barre (2-0, 57e).

Didier Deschamps fera alors une large revue d’effectif. Offrant par la même occasion sa 137e sélection à Antoine Griezmann.

Les joueurs repartent ce soir chez eux, les championnats reprennent déjà ce week-end. Les organismes seront mis à rude épreuve cette saison, entre les différents matchs de Ligue des Nations et la Ligue des Champions nouvelle formule jusqu’à fin janvier.

Mal engagé, le PSG sauvé par ses 3 Bleus, l’OM démarre à Brest cet après-midi

Ça y est, la Ligue 1 est lancée. Le champion de France en titre démarrait au stade Océane du Havre, vendredi soir, sous les yeux des téléspectateurs (peu nombreux encore, d’après certains journalistes) du nouveau diffuseur DAZN.

29,99€ par mois pour visionner 8 matchs de L1 sur 9… Voilà de quoi rebuter beaucoup de fans de football français. Surtout quand on sait que les tarifs annuels d’abonnements dans les stades de clubs professionnels sont souvent bien moins chers que l’abonnement annuel à DAZN.

Mais peu importe si l’éco-système est chahuté par les pirates sur Telegram ou l’IPTV, qui diffusent gratuitement ou pour bien moins cher toutes les chaînes et VOD du monde (et auront toujours une longueur d’avance), le football reprend ses droits. Sur les terrains.

Et malgré un match forcément poussif, le PSG new look, sans Kylian Mbappé mais avec Joao Neves (entré à la mi-temps) ou Willian Pacho (défenseur central équatorien) titulaire, s’en est sorti chez un des deux plus petits budgets de Ligue 1 (1-4).

Rapidement, Paris prend le contrôle du jeu, mais un peu comme la saison dernière, cela ressemble à une possession de balle stérile. Les Havrais sont dans le match. Le PSG tente de faire bouger les lignes adverses.

Première incursion parisienne, premier but, 100% d’efficacité, ça aide à lancer une équipe sur les bons rails. Magnifiquement décalé par Gonçalo Ramos, Kang-in Lee ouvre le score d’un délicieux tir intérieur du pied hors de portée du gardien havrais (0-1, 3e).

Les Parisiens peuvent dérouler leur jeu. Mais pas tant que ça, vu le nombre infime d’occasions de buts qu’ils se procurent… D’autant qu’une mauvaise nouvelle vient de tomber : le très intéressant attaquant portugais Gonçalo Ramos, taclé par derrière, vient de sortir, blessé à la cheville. Il quittera le stade en béquilles et muni d’une botte de protection…

Juste après la pause, les Havrais reviennent avec de belles intentions : sur coup franc, Gautier Lloris, le frère cadet d’Hugo Lloris, est trouvé au second poteau, sa reprise file devant le but et se faufile entre les bras de Gianluigi Donnarumma, impuissant et gêné par une foule de joueurs (1-1, 49e).

Quelques minutes plus tard, sur un contre, Josué Casimir pense même donner l’avantage aux locaux, mais une main est signalée au départ de l’action.

Paris doit réagir pour assumer son statut. Le jeu de possession finit par fatiguer ses adversaires. Mais ce sont surtout les entrées combinées des internationaux français, Randal Kolo Muani puis Ousmane Dembélé et Bradley Barcola, détonateurs, qui vont tout changer.

En attendant les premiers pas de Désiré Doué, le Paris-SG possède les dribbleurs aptes à déstabiliser toutes les défenses. Au moins en L1.

En quatre petites minutes, Ousmane Dembélé de la tête (85e), Bradley Barcola d’un slalom somptueux (86e) et Randal Kolo Muani sur penalty (89e) font exploser la défense adverse, trois buts ! Une fin de match fatales aux Havrais (1-4).

Paris peut avoir le sourire, Luis Enrique aussi, les Parisiens retrouveront leur Parc des Princes face à Montpellier, vendredi 20h45, toujours sur DAZN.

Suite de cette première journée de Ligue 1 ce samedi, avec le choc Brest-OM à 17h sur Bein Sport, puis une belle affiche au stade Louis II, l’AS Monaco reçoit l’AS Saint-Etienne, pour son grand retour en première division.

Les Bleus déçoivent encore (1-1) mais se qualifient pour les huitièmes

L’équipe de France verra les huitièmes de finale de l’Euro. Encore heureux vu l’effectif présent en Allemagne. Mais après ce nouveau match nul (1-1) face à la Pologne, pourtant déjà éliminée avant la rencontre, le niveau des Bleus interroge.

Avec le retour de Kylian Mbappé, titulaire et masqué, tous les espoirs étaient permis pour les Bleus. Face à une équipe de Pologne déjà éliminée, il fallait gagner pour assurer la première place du groupe. D’autant que les Pays-Bas perdaient dans le même temps face à l’Autriche (2-3).

Problème, déjà poussive lors des deux précédentes rencontres, l’équipe de France a encore étalé ses lacunes offensives. Un manque de réussite terrible. Il a d’ailleurs fallu un penalty, transformé par Kylian Mbappé facilement, pour que la France prenne les devants (1-0, 56e). Avant cela, ce fut encore un festival d’occasions manquées. Avec un Ousmane Dembélé toujours aussi inefficace. Et des tricolores trop dans la gestion.

Didier Deschamps avait choisi d’aligner l’attaque du Paris-Saint Germain : Barcola-Mbappé-Dembélé. Ce ne fut pas une totale réussite. Aucune titularisation pour Olivier Giroud, ni pour Kingsley Coman, cela interroge. Eux qui apportent d’autres solutions dans le jeu.

Dans le football, quand on rate la cible trop souvent, quand on manque des occasions nettes à 4 contre 2 ou pire, on est forcément puni. Ça n’a pas manqué. Dayot Upamecano commet une légère faute dans la surface. C’est un penalty logique, vérifié à la VAR.

« Magic » Mike Maignan face à Robert Lewandowski. Le Polonais s’élance, stoppe plusieurs fois sa course sans que l’arbitre ne trouve à redire. Le gardien arrête brillamment le tir ! Magnifique. Mais l’arbitre estime que le Français est parti trop tôt. Réflexe logique, vu le nombre de feintes réalisées par l’attaquant adverse.

Les Bleus sont pénalisés et cette fois, sur la seconde tentative, le numéro 9 du Barça trouve le poteau rentrant (1-1, 79e). Après autant de situations dangereuses, cela leur pendait au nez…

La France termine donc deuxième de son groupe à la surprise générale. L’Autriche s’empare de la première place. Place aux huitièmes de finale. Lundi, concernant les Bleus, qui ne connaissent pas encore le nom de leur adversaire.

« Le premier objectif est atteint, on jouera le 1er juillet et une nouvelle compétition va commencer. Si on marque plus de buts, on a plus de chances de gagner des matches. Je serais beaucoup plus inquiet si on n’avait pas d’occasions », estime Didier Deschamps juste après le match.

Adrien Rabiot se montre plus agacé par la performance globale : « On aurait aimé finir premier mais on n’a pas mis assez pour gagner ce soir. On avait tout entre nos pieds... L’objectif c’était la première place et il n’est pas atteint. »

Une nouvelle compétition démarre en effet. Et la France devra faire beaucoup mieux. En 2016, le Portugal était en échec lors des phases de poules avant d’aller chercher le titre… Alors, pourquoi pas ?

Sans Mbappé, les Bleus sont muets (0-0)

Des occasions ratées, une grosse frayeur et un match nul 0-0, le premier de la compétition. L’équipe de France et les Pays-Bas se quittent dos à dos dans ce deuxième match de la poule D de l’Euro 2024.

Antoine Griezmann va mal dormir. Trois occasions nettes. Trois échecs. Cela lui est rarement arrivé pendant sa carrière. À 33 ans, Grizou portait le brassard de capitaine, en l’absence de Kylian Mbappé, préservé suite à sa blessure au nez, lundi, et placé jusqu’au bout sur le banc des remplaçants.

L’équipe de France est bien entrée dans son match, avec intensité et justesse. Les occasions sont là : un tir de loin bien senti, une balle en or qu’Adrien Rabiot préfère tenter d’offrir à Antoine Griezmann au lieu de marquer. Avec un N’Golo Kanté toujours aussi percutant et le retour d’Aurélien Tchouaméni, l’équipe de France avait de quoi remporter la bataille du milieu.

Mais en positionnant Adrien Rabiot dans un rôle hybride de milieu gauche, milieu axial, Didier Deschamps ne s’est-il pas trompé ? Le remix du rôle de Blaise Matuidi à la Coupe du monde 2018 n’a pas fonctionné. Car le milieu de la Juventus Turin (en fin de contrat au 30 juin) s’est retrouvé dans des positions très offensives inhabituelles pour lui. Et il n’a pas été décisif dans ces zones clés. Pas un hasard.

Ni Antoine Griezmann, ni Marcus Thuram n’ont pu trouver le chemin des filets. Pas plus qu’Ousmane Dembélé, dont c’est assez habituel. Ce dribleur né n’a, une nouvelle fois, pas assez pesé, ni effectué les bons choix. Dans ces conditions, malgré les occasions franches, les Bleus auraient pu être punis et ne pas ramener ce point du match nul.

En seconde période, la bataille est rude. Xavi Simons (qui appartient au PSG mais évolue à Leipzig) pense ouvrir le score d’une reprise limpide. Mais un coéquipier du Néerlandais gêne Mike Maignan, une position de hors jeu signalée logiquement via la VAR.

Les entrées tardives d’Olivier Giroud ou de Kingsley Coman ne permettent pas aux Bleus de prendre les devants. Mais avec de telles ressources offensives (Bradley Barcola et Kylian Mbappé n’ont pas été utlisés), cela laisse quelques regrets. Les supporters en attendaient encore plus des finalistes de la dernière Coupe du monde.

Premier 0-0 de l’Euro 2024, ce score ne fait pas les affaires des Bleus, deuxième du groupe. Un match clé qui n’a pas tourné en la faveur des tricolores. Les Bleus affronteront la Pologne mardi soir. Des Polonais qui sont les premiers éliminés de la compétition. Un match sans enjeu pour eux, un match plein d’enjeux pour l’équipe de France.

Ligue des Champions : Paris rentre bredouille d’Allemagne…

C’est un échec cuisant pour le Paris-Saint Germain de Luis Enrique, décidément en difficultés lors des matchs aller, comme face à Barcelone. Dans cette demi-finale de Ligue des Champions, jouée sur la pelouse de Dortmund, les Parisiens n’ont pas réussi à marquer. Et ont craqué (1-0).

Le match retour, mardi prochain au Parc des Princes, s’annonce palpitant. Mais après cette première confrontation, Paris inquiète ses supporters ainsi que les suiveurs. Car le Borussia Dortmund n’a rien d’un ogre. Il suffit de regarder les deux demi-finales de Ligue des Champions pour se faire une idée. Celle du Bayern face au Real Madrid (2-2), mardi soir, était d’une toute autre intensité.

Paris a déjoué. Paris ne s’est procuré aucune occasion nette. C’est le résumé de la première période parisienne à Dortmund. Luis Enrique a eu tout faux dans son système mis en place pour gêner les Allemands, même si Paris a eu, comme à son habitude, plutôt la maîtrise du jeu. Un pressing intéressant, certes, des récupérations de balle hautes. Mais ensuite ? Une utilisation stérile, comme souvent face à des blocs regroupés et avec de l’engagement physique.

Pas aidés par la sortie prématurée de Lucas Hernandez, les Parisiens ont notamment pris l’eau sur les côtés. Où Hakimi et Mendes ont vécu une sale soirée face à Adeyemi, dans tous les bons coups, et Sancho, si facile.

C’est sur l’action de l’unique but de la soirée, signé Fullkrug (1-0, 35e), pas élégant pour un sou mais diablement efficace, que Lucas Hernandez va d’ailleurs se blesser au genou. Les supporters du PSG et de l’équipe de France espèrent que les examens ne révèleront pas une nouvelle rupture des ligaments croisés, comme il y a deux ans.

Mené au score, le Paris-SG sort alors un peu la tête de l’eau. Quelques ajustements tactiques de Luis Enrique permettent à son équipe de retrouver de l’allant. Dembélé retrouve l’aile droite, Mbappé dézone sur son côté gauche préféré. D’ailleurs, c’est là qu’il se procure sa première occasion : son tir est repoussé par le poteau gauche du portier allemand ! Dans la foulée, Hakimi touche l’autre montant ! Quand ça ne veut pas…

Paris n’a rien à envier au Borussia, dont presque aucun joueur n’aurait une place de titulaire assurée au PSG si l’on compare les effectifs. Mais c’est bien le Borussia qui fait la bonne opération de ce match aller. Si l’arbitre n’avait pas fermé les yeux sur une poussette de Mendes sur Fullkrug en seconde période, Dortmund aurait même pu bénéficier d’un penalty.

Rendez-vous mardi soir, 21h, pour découvrir un autre PSG. Revanchard, sans doute, et poussé par son public. De quoi remonter ce but de retard et envisager une qualification historique en finale de Ligue des Champions.

Barcelone-PSG (1-4) : La grosse gaffe de Nasser Al Khelaifi

98e minute de jeu. Coup de sifflet final de ce quart de finale retour de Ligue des Champions. Paris est qualifié ! La joie s’empare du camp parisien. L’entraîneur Luis Enrique exulte, son staff aussi. Mal en point après son match aller raté (2-3), au Parc des Princes, 8 jours avant, le PSG a profité d’un carton rouge pour refaire surface. Et surclassé petit à petit un FC Barcelone en grandes difficultés.

Si Ousmane Dembélé a été élu homme du match, si Kylian Mbappé a inscrit un doublé salvateur, si Luis Enrique a réalisé de bien meilleurs choix qu’à l’aller, c’est bien le président Nasser Al Khelaifi qui s’est fait remarquer. Après la rencontre, alors qu’il répondait au micro de RMC, le Qatari n’a pas forcément compris où la journaliste voulait en venir…

Alors que Sonia Carneiro lui demandait de taire le nom du prochain adversaire du Paris-Saint Germain, « on ne sait pas encore qui sera l’adversaire, on ne dit rien, on ne dit rien », le président parisien s’est empressé d’annoncer : « Dortmund, Dortmund, Dortmund ! » Ne comprenant pas qu’il fallait garder la surprise aux téléspectateurs.

La journaliste voulait préserver le suspense pour proposer le résumé du match Dortmund-Atlético de Madrid aux abonnés RMC. Dommage, Nasser Al Khelaifi ne l’a pas entendu de cette oreille ! Peu soucieux des logiques télévisuelles, il a tout sourire dévoilé l’affiche Borussia Dortmund-PSG. Oui, ce sont bien les Allemands du Borussia qui ont éliminé l’Atletico d’Antoine Griezmann 4 buts à 2.

Mais à l’heure des réseaux sociaux et des notifications sur smartphones, rares sont les fans de foot qui ne devaient pas être au courant du résultat de l’autre quart de finale jouer en même temps que cet historique Barcelone-PSG…