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« Deux boutons sur le cul et puis voilà », Philippe Lucas assure le show (et la qualité de l’eau de la Seine)

Tout en délicatesse. Comme toujours. Philippe Lucas est un orateur hors pair. Alors quand on lui demande son avis sur la qualité de l’eau de la Seine, quelques heures après la baignade de la maire de Paris, Anne Hidalgo, il répond du tac au tac.

« Deux boutons sur le cul et puis voilà », Philippe Lucas se moque de la polémique sur la qualité de l’eau de la Seine. Et il garantit par ailleurs le succès des futurs Jeux Olympiques de Paris 2024. L’entraîneur star de la natation française, et notamment ex-coach de Laure Manaudou, n’a pas sa langue dans sa poche.

Il ironise. Et il le fait bien. Très convaincant, Philippe Lucas, une nouvelle fois. Alors que ses deux nageurs, Pacôme Bricout et Logan Fontaine, prendront part aux épreuves en eau libre des JO de Paris 2024, l’entraîneur évacue les polémiques d’un revers de main, devant les micros de la presse.

Le départ des épreuves en eau libre depuis le Pont Alexandre III, il adore. « Les Jeux, c’est toujours comme ça, et au final vous allez avoir des Jeux exceptionnels. Même les chefs de délégations étrangères qui sont venus visiter les sites ont dit que c’est magnifique. Donc à un moment, il faut profiter de l’événement parce que c’est une fois tous les cent ans. Ca sera quelque chose d’exceptionnel, j’en suis persuadé. »

Concernant la qualité de l’eau, il poursuit : « Ça me fait rire parce qu’à Rio, c’était le même problème, à Tokyo, c’était le même problème. A Paris, c’est pareil, mais ils vont nager et puis c’est tout ».

Fidèle à sa marionnette des Guignols, il lance alors la punchline du jour : « Ils auront deux boutons sur le cul et puis voilà, point à la ligne, et tout ira bien. Ils n’auront même rien du tout, c’est des conneries ça. Des fois, ils font des courses dans des trucs… Il n’y aura pas de problème. De toute manière, tout est fait pour que ce soit correct. »

Après sa baignade, mercredi matin, Anne Hidalgo a trouvé un formidable relai de communication.


Plus d’infos :

Les réseaux sociaux se moquent de la baignade d’Anne Hidalgo

Déclaration d’impôts : top départ et mode d’emploi

C’est le lancement de la campagne de déclaration des revenus acquis en 2023. Depuis ce jeudi 11 avril, les contribuables français peuvent se connecter sur le site des impôts ou l’application mobile.

Selon les régions, vous avez jusqu’au 23 mai, 30 mai ou 6 juin pour finaliser votre déclaration. Pour les moins connectés, la date limite de la version papier a été avancée de quelques jours : délai maximum 21 mai. Le cachet de La Poste faisant foi.

Plus précisément, les départements 1 à 19 ont jusqu’au jeudi 23 mai, les départements 2A à 54 ont jusqu’au jeudi 30 mai, et les départements 55 à 95 et les DOM jusqu’au 6 juin.

Avec le prélèvement à la source, les contribuables ont normalement déjà payé une partie ou la totalité de la somme due aux Finances publiques. Lorsque le prélèvement à la source s’avère insuffisant, l’administration fiscale propose deux solutions. Si la somme manquante est inférieure à 300 euros, elle vous sera prélevée en une fois. Si elle est supérieure à 300 euros, le prélèvement s’étalera entre septembre et décembre 2024.

Grande nouveauté de l’an dernier, la déclaration des biens immobiliers doit attirer votre attention. Selon les services de l’État, seuls 82% des propriétaires ont pensé à la remplir en 2023. Le gouvernement a annoncé rester attentif mais ne pas encore mettre d’amende à ceux qui oublieraient de régulariser ce feuillet.

Information pour les étudiants, ainsi que les moins de 25 ans : les indemnités de stages obligatoires de moins de 3 moins sont exonérées, tout comme les salaires perçus lors d’un apprentissage dans la limite de 20 815 euros, les APL, ou les bourses.

Nouveauté 2024, les parents d’enfants rattachés à votre foyer fiscal mais dont l’adresse est différente de la vôtre doivent désormais le préciser. C’est souvent l’exemple des étudiants. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a précisé que l’année dernière, la direction générale des Finances publiques (DGFiP) avait confondu des logements étudiants avec des résidences secondaires et envoyer, par erreur, une demande de taxe d’habitation…