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« Pause numérique », le téléphone interdit d’entrer au collège et à l’école en 2025 ?

C’est un sujet qui revient régulièrement sur la table des différents ministres de l’Éducation nationale. Le téléphone a-t-il encore sa place à l’école ? Ce mardi 27 août, lors d’une conférence de presse de rentrée des classes, la ministre démissionnaire, Nicole Belloubet, a promis de mettre en place cette interdiction dans un futur proche.

« Près de 200 collèges » vont expérimenter l’interdiction des téléphones portables en 2024-2025, et ce, dés la rentrée. Il s’agit de créer une « pause numérique« , déposer son téléphone à l’entrée de l’établissement dans un casier et apprendre à vivre sans pendant les heures d’école.

Actuellement, au collège, les enfants et adolescents peuvent garder leur téléphone avec eux mais sans avoir le droit de l’utiliser pendant les cours. La différence paraît donc infime.

La ministre de l’Education nationale s’appuie notamment sur un rapport d’experts remis à Emmanuel Macron. Sur l’impact de l’exposition des jeunes aux écrans, ces experts préconisent notamment de n’autoriser le téléphone portable qu’à partir de 11 ans. Et un téléphone avec Internet qu’à partir de 13 ans.

Difficile à tenir pour les parents, dans les faits réels de la société actuelle… D’autant plus qu’Internet regorge d’outils pédagogiques. Maîtriser les logiques d’Internet et de l’Intelligence artificielle sknt également des enjeux d’avenir pour tous les jeunes. Dilemme permanent.

Déjà la rentrée ! Arash Derambarsh, Gaël Fickou, Karl Toko-Ekambi et Sefyu distribuent 2000 cartables aux enfants de Courbevoie

Plus que quelques heures avant les grandes vacances pour les enfants de maternelle et de primaire. Mais pour d’autres, notamment à Courbevoie, ils pensent déjà à la rentrée ! Avec des sacs bleus ou rouges estampillés Paris 2024. Du plus bel effet.

Plusieurs sportifs de haut niveau, comme les rugbymen Gaël Fickou et Cameron Woki ou le footballeur Karl Toko-Ekambi (ainsi que le rappeur Sefyu) sont venus à la rencontre des écoliers de Courbevoie (Hauts-de-Seine) pour la désormais traditionnelle distribution de cartables.

De gauche à droite : Sefyu, Karl Toko-Ekambi, Arash Derambarsh et Gaël Fickou. Crédit photo : Alexandre Adibzadeh

Ce mercredi, 2000 écoliers ont pu bénéficier de cette initiative de l’adjoint au maire Arash Derambarsh, initiative entièrement financée par des partenaires extérieurs. Notamment le soutien de Dentsu.

Ce mercredi, des élus du conseil municipal des jeunes sont venus donner un coup de main. Les familles se pressent au centre événementiel de la ville. C’est la fête. À la fois grâce la présence de sportifs internationaux et d’un rappeur très connu mais aussi grâce au côté magique de recevoir ce joli cadeau d’actualité : Paris 2024 est là. C’est un Noël en plein été.

« C’est toujours une bonne cause d’être avec les enfants, de partager des photos », explique au Parisien Gaël Fickou, joueur du Racing 92. L’événement ne se limite pas à une simple distribution de cartables. C’est plus que ça. Partage et convivialité. Sur place, les familles découvrent un stand de sensibilisation au développement durable, peuvent discuter avec un coach parental. Et les petits participent à un concours de coloriage.

Neuf ans que ça dure, neuf ans qu’Arash Derambarsh tente d’améliorer le rendez-vous année après année. Ne bénéficiant d’aucune subvention publique, l’adjoint au maire Jacques Kossowski se fait aider uniquement d’entreprises et de mécènes.

Crédit photo : Alexandre Adibzadeh

Emmanuel Macron insiste pour un temps d’échanges à l’école sur le racisme et l’antisémitisme

Le viol d’une jeune fille de confession juive, samedi dernier à Courbevoie (Hauts-de-Seine) par une bande d’adolescents à peine plus âgés suscite une vague d’émotions massive dans le pays. Emmanuel Macron souhaite qu’un « temps d’échanges » sur le racisme et l’antisémitisme soit mis en place dans les écoles dés les prochains jours.

Conseil des ministres pesant ce mercredi 19 juin. Après l’annonce de la mise en examen de deux adolescents de 13 ans, mardi, pour viol en réunion, menaces de mort, injures et violences à caractère antisémite sur une jeune fille de 12 ans à Courbevoie (Hauts-de-Seine), le Président de la République tente de resserrer les rangs. Et de sensibiliser les plus jeunes à cette haine entre cultures étrangères, religions diverses ou opinions différentes.

Le chef de l’Etat souhaite organiser « un temps d’échanges » sur le racisme et l’antisémitisme dans les écoles dans les prochains jours. Une annonce forte pour éviter de nouvelles dérives, agressions ou harcèlements.

Emmanuel Macron refuse que « les discours de haine aux lourdes conséquences s’y infiltrent ». Pas sûr que cela ne soit pas déjà fait. Mais ce n’est pas une raison de ne pas combattre la haine de l’autre, devenue pour certains quotidienne.

Une heure. Une petite heure de temps d’école pour que des professeurs tentent de sensibiliser les plus jeunes. Ou au moins les faire parler. Pour mieux en raisonner certains. La ministre Nicole Belloubet est chargée d’organiser à la hâte cette demande présidentielle. Cela concerne les écoles primaires et collèges. Pour ce qu’il reste d’élèves encore scolarisés en cette toute fin d’année. Les lycéens étant déjà en période d’examens.

Jamel Debbouze-Ramzy Bedia : Dur, dur d’être darons

Ils font la tournée des médias. À l’occasion du lancement des deux premiers épisodes de « Terminal », nouvelle sitcom, sorte de revival de la mythique série « H », Jamel Debbouze et Ramzy Bedia ne se quittent plus.

Très attendus après le succès générationnel de « H », les comédiens font le show afin de faire la promotion de cette nouvelle série, diffusée depuis lundi sur Canal+. Cette fois-ci, les humoristes ont quitté hôpital mais se retrouvent au sein d’un aéroport. Leurs folles péripéties n’auront pas de quoi rassurer ceux qui ont peur en avion…

Sur le plateau de l’émission « Clique », animée par Mouloud Achour, Jamel Debbouze et Ramzy Bedia se livrent sur leur vie de famille. Jamel Debbouze, père de deux enfants, et Ramzy Bédia, père de quatre enfants, ont un grand point commun. « La chance qu’on a, c’est que nos enfants se sont retrouvés par hasard dans le même collège », explique le mari de la journaliste et productrice Mélissa Theuriau.

Les enfants de Jamel Debbouze et Ramzy Bedia « traînent ensemble depuis qu’ils sont bébés » et par un heureux hasard se retrouvent aujourd’hui « dans la même classe ».

Ramzy Bédia précise pourtant qu’ils « n’habitent pas le même coin »… Avant que Jamel n’ajoute, tout sourire : « Ils se sont retrouvés dans le même collègue et ils nous ont forcés à daroniser »

« Même si on ne voulait pas trop se voir, on est obligés », a par ailleurs expliqué Ramzy Bédia, tout en se moquant de Jamel Debbouze, qui va bientôt fêter ses 50 ans. « Ça y est, t’es un ieuv ! » 

« Vous faites des daronnades ensemble ? », questionne alors Mouloud Achour. « Ils nous ont forcé à daronniser, alors qu’on ne voulait pas trop se voir ! », rigole Jamel Debbouze.

Puis Ramzy Bédia dévoile une anecdote familiale : « Je sais qu’à l’école, on leur dit : ‘Vous êtes copains parce que vous êtes des enfants de connus, c’est pour ça que vous trainez ensemble.’ Mais pas du tout ! Depuis qu’ils sont bébés, en fait, ils traînent ensemble ».