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Léo Messi a un goût amer de son passage au PSG : « la mierda » !

On le savait déjà. Ses derniers mots le confirment encore. Lionel Messi ne gardera pas un souvenir impérissable de ses deux saisons au Paris-Saint Germain.

Le champion du monde argentin est parti s’amuser sur les terrains plus paisibles de Major League Soccer (MLS) aux Etats-Unis. Paris et la Ligue 1 lui ont semble-t-il laissé un goût amer. Depuis Miami, il n’a pas arrêté d’évoquer son passage (à moitié) raté au PSG.

Lors d’un match de l’Inter Miami, la Pulga a confié à Brecht Dejaegere, joueur belge du Charlotte FC, que son passage au Paris-SG était « de la mierda« . Le Belge s’en est empêché à la RTBF.

« Il m’a dit que, pour lui, au PSG, c’était ‘la mierda’. » Pas besoin de traduction.

Brecht Dejaegere, ancien joueur du TéFéCé, poursuit : « Il en avait marre de se faire siffler. Je lui ai dis que j’avais joué contre lui avec Toulouse au Parc des Princes. Il ne se souvenait pas de moi…« 

Manque de respect, entraînements calvaires, ambiance délétère : Luis Suarez se paye Marcelo Bielsa violemment !

Il a attendu de ne plus jouer en sélection nationale pour tout balancer. L’iconique entraîneur Marcelo Bielsa ne serait pas aussi respecté que ça, notamment à cause de son attitude générale. L’ex-joueur du FC Barcelone, désormais en MLS à Miami, Luis Suarez balance.

Alors qu’il vient à 37 ans de mettre un terme à sa carrière internationale avec l’équipe d’Uruguay (143 sélections, 69 buts), la légende Luis Suarez s’est confiée à DSports Uruguay. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’est pas tendre avec Marcelo Bielsa, coach adulé et respecté. Jusque-là.

Dans cette interview, il charge fort le sélectionneur de l’Uruguay actuel. El Pistolera dans le texte : « Il y a eu des situations qui se sont produites à la Copa América et qui m’ont fait mal, et dont je n’ai pas parlé pour le bien du groupe. Cela va continuer à se produire. Les joueurs vont atteindre une limite et exploser. À la Copa América, certains joueurs m’ont dit : ‘Luis, je vais jouer la Copa América et ensuite, je ne jouerai plus.’ Cela signifie que nous nous approchons d’une situation difficile. Puis, on s’en remet et on revient parce qu’on aime son pays. Nous aimons tous représenter notre pays.« 

C’est un message d’alerte vis-à-vis de l’attitude de Marcelo Bielsa que Luis Suárez délivre au monde : « Lors de ma dernière convocation, certains d’entre nous jouaient aux cartes et le staff de Bielsa se promenait autour de nous et nous regardait comme pour repérer quelqu’un qui jouait aux cartes. Je ne sais pas. Il y avait beaucoup de choses qui ont attiré mon attention. » Selon lui, l’atmosphère est délétère, un flicage permanent et un manque d’humanité.

« Beaucoup de joueurs ont organisé une réunion pour demander à l’entraîneur de nous saluer au moins avec un bonjour. Il n’a même pas dit bonjour. J’ai eu une réunion de cinq minutes avec lui en tant que leader de l’équipe et à la fin, il n’a répondu que par un ‘merci beaucoup’. » Des moments gênants qui montrent toutes les difficultés de Marcelo Bielsa à se comporter avec les autres. Les journalistes en ont régulièrement fait les frais. Un personnage atypique.

Luis Suarez ajoute au sujet du mauvais traitement subi par un coéquipier à l’entraînement : « C’est un manque total de respect. Cela me met en colère. » Poursuivant : « L’harmonie du groupe et l’énergie positive, une bonne séance d’entraînement, conduisent à de bonnes performances. »

Autre épisode très symbolique, Marcelo Bielsa ne souhaitait pas que les joueurs aillent à la rencontre des supporters, en marge d’un déplacement : « Je me suis levé et j’ai dit à l’entraîneur que je respectais cela, mais qu’en tant que capitaine et pour respecter et apprécier les fans, ce que j’ai toujours fait, nous, les joueurs, décidions de nous arrêter et de saluer les fans. Nous sommes descendus du bus, nous nous sommes séparés et avons passé du temps avec les fans. » Curieuse situation.

D’autant que Luis Suarez ajoute la discussion du lendemain, pour finir du contexte : « Le lendemain, nous avons eu une discussion d’équipe et (Bielsa) a commencé à dire des choses sur les Uruguayens qui font ceci et cela. Et puis il a dit : ‘Pour qui joue l’Uruguayen ? Pour le peuple.’ Et je jure que nous avons tous commencé à nous regarder comme pour dire : ‘Pour le peuple ? Hier, vous nous avez demandé de ne pas leur parler. »

Les mots forts de Luis Suarez interviennent un mois après l’annonce officielle de sa retraite internationale. De quoi faire réagir prochainement l’entraîneur de la Celeste ? Certainement. Il sera forcément interrogé à ce sujet dans une prochaine conférence de presse.

Dans ces éliminatoires de la Coupe du monde 2026, l’Uruguay est pour le moment 3e, derrière la Colombie et l’Argentine.

« Absolument aucune classe » : guerre ouverte entre le PSG et Mbappé

Il ne sont pas près de passer leurs vacances ensemble. Kylian Mbappé n’a pas aimé sa dernière saison (forcée ?) au Paris-Saint Germain, le PSG n’a pas aimé ses dernières déclarations. Et ils le font savoir par presse interposée.

Le Paris-SG a décidément du mal avec la fin de parcours de ses stars. Après les départs ratés d’Edinson Cavani, Thiago Silva, Léo Messi ou Neymar Jr., c’est au tour de Kylian Mbappé de quitter le club déçu de leur façon de faire.

Interrogé à ce sujet avant France-Luxembourg, dimanche, match de préparation à l’Euro 2024, le capitaine de l’Equipe de France s’est montré souriant mais tout à fait explicite.

« On me l’a dit en pleine face, on m’a parlé violemment, on me l’a dit », qu’il ne rejouerait plus de la saison 2023-24 tant qu’il ne re-signerait pas au club. Il poursuit : « Luis Enrique et Luis Campos m’ont sauvé. Je naurais pas remis un pied sur le terrain sans eux. C’est la vérité, c’est pour ça que j’ai toujours eu cette reconnaissance par rapport au coach et au directeur sportif. »

Il ne veut pas cependant passer pour quelqu’un qui se moque des réalités : « Au PSG, je n’étais pas malheureux, cela serait comme cracher dans la soupe et au visage des gens qui m’ont défendu. J’ai toujours été heureux. Mais des choses et des gens me rendaient malheureux. »

Pour rappel, d’après nos informations, Kylian Mbappé avait toujours prévu de rester trois à quatre saisons maximum au Paris-Saint Germain. Et non sept. Il se voyait bien plus tôt au Real Madrid. Mais le forcing politique et financier a eu raison de ses choix initiaux. Ainsi, il ne comptait absolument pas prolonger encore au club. Chose insupportable pour la direction parisienne.

Nasser Al Khelaifi déclarait déjà en 2021 : « Mbappé ne partira jamais libre et ne sera jamais vendu. » Agacé par les avances du Real Madrid, le PSG avait même été s’offrir Léo Messi, contre tout bon sens collectif. Un choix qui n’a jamais convaincu plus que ça le Français, même s’il a beaucoup d’estime pour l’Argentin.

Ce mardi soir, les déclarations de Kylian Mbappé sont une goutte d’eau qui fait déborder le vase du côté de la capitale. Dans Le Parisien, on apprend d’une source proche du club que le PSG estime que le joueur « n’a absolument aucune classe ».

« Nasser Al Khelaïfi n’a jamais dicté la moindre décision à l’équipe. Luis Enrique l’a même dit lui-même mais malgré tout, Mbappé dit quelque chose et tout le monde imprime comme si c’était la vérité. »

Guerre de communication. À chacun sa vérité. Même s’il est curieux de s’appuyer sur les propos de Luis Enrique comme vérité quand on connaît le degré logique de loyauté que doit l’entraîneur parisien à son employeur. Mais dans ce clash par médias interposés, impossible de trouver un juste milieu tant les deux camps semblent irrémédiablement opposés.

« Danse avec les Stars » : Inès Reg règle ses comptes avec Natasha St-Pier

La scène aurait pu passer sous les radars. Lors d’une répétition de Danse avec les stars le 31 janvier dernier, Natasha St-Pier aurait insulté l’humoriste Inès Reg. La chanteuse canadienne a déposé une main courante contre la jeune femme pour « menaces de mort », mais elle a aussi été mise en demeure par TF1 Production. Dans un long message d’explication sur Instagram, Inès Reg régle ses comptes.

« Maintenant, je vais vous raconter ma journée du 31 janvier dernier… » L’humoriste Inès Reg publie sa vérité concernant « l’affaire Natasha Saint Pier ». Parfois les larmes aux yeux, parfois en cherchant ses mots, la voix tremblante, elle revient sur cette sombre histoire d’artistes qui « souhaitent faire baisser la musique du danseur de la salle d’à-côté »… Digne de la cour de récréation.

« Je suis désolée, j’ai tellement honte de raconter tout ça tellement c’est ridicule, mais je vais le faire », poursuit Inès Reg.

Le moment en question, le voici, résumé par l’humoriste : « Donc, ce 31 janvier, Natasha vient souvent toquer à la porte pour demander à baisser la musique. On s’adapte, on le fait, je baisse la musique. Sauf qu’à ce moment-là, elle met sa musique encore plus fort. Mon journaliste et mon cadreur s’en plaignent, Christophe Licata (le danseur) aussi. »

Inès Reg va elle-même demander à faire baisser la musique. Accompagnée de son cadreur et de son journaliste. Elle est dans l’émission depuis une semaine, sans souci particulier avec les autres « collèges de travail ». La musique est à fond : le danseur de Natasha St-Pier coupe la musique. Inès lui explique calmement qu’« on ne s’entend pas » dans la pièce d’à-côté. Réponse choc : « Ça ne vous fera pas de mal ! ».

Inès Reg lui explique alors qu’elle « pense qu’il doit y avoir une fenêtre entre les studios ouvertes ». D’après l’humoriste, il lui répond « un truc piquant ». « Je me souviens rire », un rire nerveux. « Ça te fait rire ? Tu pourras la mettre dans un prochain spectacle », lance le danseur.

Estomaquée, Inès Reg tente une réplique : « Dans le couple, toi t’es le mec piquant et Natasha, la nana mignonne ? ». C’est là que Natasha St-Pier s’avance et, toujours selon Inès, lui assène un « écoute moi bien petite sal***, les ennemis de mes amis sont mes ennemis ».

L’humoriste peine à raconter cette scène du 31 janvier : « J’ai vu un éclair, c’est devenu tout blanc, le seul truc que je me suis dit, c’est ne pleure pas, ne dis rien. Qu’on y croit ou qu’on n’y croit pas, j’ai 31 ans, j’ai du respect pour tous… Là, ça m’a fait tellement mal. Je suis une enfant, j’ai vu Natasha à la télé, je n’y crois même pas tellement c’est trop violent. J’ai regardé le caméraman et le journaliste, je ne comprenais si ça c’était vraiment passé. Les deux étaient outrés, affolés. Je retiens mes larmes, et ‘wow’ sort seulement de ma bouche. »

Inès Reg raconte alors que Natasha St-Pier « met son bras en-dessous du (sien) et (lui) dit ‘maintenant tu sors’ ».

Pendant près de 50 minutes, l’humoriste multiplie les détails et livre ses analyses de la situation. Car jusque-là, d’autres versions avaient fuité, laissant place à toutes les interprétations. Il n’y a eu « aucune menace de mort », dit-elle en pleurs, rien d’autre. « Rien dont on m’accable. Ça s’est juste passé comme ça, cette scène est filmée. J’ai pris mes affaires et j’ai juste voulu partir. Quand je prends mes affaires, mon cadreur m’arrête, tente de me consoler, je sais que je vais pleurer, je ne veux pas montrer ma faiblesse alors je pars pleurer dans la salle de repos, mais pas devant les gens. »

Plus tard, son danseur Christophe Licata la rejoint, les journalistes aussi. Natasha descend à son tour. « Je suis désolée, je pensais qu’on jouait une petite scénette où j’avais le rôle de la méchante, t’as ce côté hyper friendly, amicale, je suis désolée… », se serait excusée la Canadienne. « On ne m’avait jamais insultée de sal*** de ma vie », tranche Inès Reg. Les deux sont reparties chacune dans leur salle de danse.

L’effervescence au sein de la production, les fake news, la folie sur les réseaux sociaux, Inès Reg en a marre de tout ça. « Si, moi, nana du 93, d’origine algérienne, j’avais dit à une maman de 43 ans qu’elle était une sal***, je vous laisse imaginer ce qu’on aurait pu dire de moi. Alors que je n’ai été que victime dans l’histoire. » 

Tout cela n’a pas empêché les deux candidates de Danse avec les stars de publier le 21 mars une vidéo Instagram dans laquelle elles s’affichent ensemble, dansant avec leur camarade Keiona. Hypocrisie ou retour à la normale ?