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Le chauffeur des stars des JO (Zidane, Serena Williams, etc) est porté disparu depuis 4 jours

Mohamed El Aiyate a disparu. Après un été en grande pompe, où il véhiculait d’immenses stars pendant les Jeux Olympiques de Paris 2024, ce chauffeur est porté disparu. L’inquiétude grandit chez ses proches. Alors qu’un courrier écrit avant sa disparition interroge particulièrement…

Il faisait partie de l’équipe de chauffeurs du CIO (comité international olympique). Mohamed El Aiyate, également ex-candidat aux législatives dans l’Oise, a quitté son domicile sans laisser de trace. Comme le rapporte L’Observateur de Beauvais, « la porte de son domicile a été retrouvée ouverte, sans personne à l’intérieur« . La gendarmerie a découvert toutes ses affaires, son téléphone portable, ses papiers d’identité et ses clés de voiture. Cette dernière était garée à côté de son logement.

De même, ses proches évoquent un courrier inquiétant. Le procureur de la République a précisé que « son diabète et le mal-être exprimé par Mohamed El Aiyate avant son départ sont autant d’éléments d’inquiétudes qui vont dans le sens d’une poursuite des recherches« .

« Mon frère est diabétique, nous avions peur notamment qu’il soit parti dans le bois pour s’injecter des doses mortelles », indique son frère au Courier Picard« Il avait des problèmes personnels, comme on en a tous, mais c’est la première fois qu’il disparaît ainsi ».

À 58 ans, qu’a-t-il pu arriver à cette figure publique de la région ? Le procureur de la République de Beauvais a ouvert une enquête pour disparition inquiétante.

Fondateur du garage solidaire à Beauvais, mais aussi d’une salle de sport (Liberty Form), Mohamed El Aiyate venait de prendre la présidence de l’association Beauvélo, qui oeuvre pour les déplacements écologiques et le « réemploi » de vélos.

Avant cela, cet été, il a profité de sa licence VTC pour postuler en tant que chauffeur auprès du CIO. Après enquête sur sa personne, il a été sélectionné et a donc pu vivre au coeur de l’événement, véhiculant des stars telles que Zinedine Zidane, Serena Williams ou le prince Faycal de Jordanie, membre du CIO. Le 15 août, il écrivait sur son profil Facebook avait vécu des « moments magiques« …

Cela fait désormais 4 jours que son absence a été signalée, l’inquiétude grandit.

Suivez en direct l’attribution aux Alpes des Jeux Olympiques d’hiver 2030

Le Comité international olympique annonce ce mercredi matin lors de sa 142e session les villes hôtes des JO 2030 et 2034. Deux candidats seulement en lice. Les Alpes françaises pour 2030 et Salt Lake City (Etats-Unis) pour les Jeux d’hiver suivants.

Ces Jeux d’hiver 2030 ne seront pas ceux d’une ville mais ceux des Alpes du nord et des Alpes du sud, deux régions réunies pour l’occasion.

Les conférences des pays candidats et l’attribution de ces Jeux sont à suivre ici

Jeux d’hiver 2030 : le CIO attend toujours la lettre de Gabriel Attal…

Les sombres coulisses du monde politique. Alors que le CIO attendait la lettre de caution de l’Etat pour attribuer définitivement les Jeux Olympiques d’hiver 2030 à la France (dans les Alpes), Gabriel Attal a refusé de signer celle-ci, prétextant que ce serait à son successeur de le faire…

Le Comité Internationale Olympique (CIO) n’attend plus que la France… La 142e session du CIO doit attribuer officiellement aujourd’hui, par un double vote, les JO d’hiver 2030 aux Alpes françaises, seules en lice, et ceux de 2034 à la ville américaine de Salt Lake City. Le hic, c’est que la France n’a transmis qu’une lettre d’engagement, et n’a pas ajouté celle de caution de l’Etat.

Premier ministre démissionnaire, Gabriel Attal aurait-il pu réaliser celle-ci malgré la fin de son mandat ? La réponse est oui. Emmanuel Macron a d’ailleurs prolongé l’action de ce gouvernement jusqu’à la mi-août, hier soir, au 20 heures de France 2. Mais alors, pourquoi le premier ministre n’a-t-il toujours pas réalisé celle-ci ? Faute de garanties financières suffisantes ? On connaît la situation des finances de la France.

« La réalité, c’est qu’il aurait pu le faire avant, mais il n’a pas souhaité le faire », confie à BFM une source préfectorale, « ce n’est qu’une histoire de cornecul politique entre l’Élysée et Matignon. Attal n’a pas supporté la dissolution. »

« Et à la dissolution, il a trouvé le prétexte de dire, de manière élégante, ça sera mon successeur qui le fera. La réalité, c’est bien d’emmerder Macron qui lui mettait la pression pour signer. Ce qu’Attal aurait pu faire sans problème avant de partir », explique un élu.

Certes, Gabriel Attal joue un mauvais tour à Emmanuel Macron et se venge, en quelque sorte, de la dissolution surprise. Mais garantir le côté financier des ces Jeux-là, en l’état actuel des choses, est aussi une responsabilité que Gabriel Attal ne souhaite sûrement pas endosser. Un fiasco économique est possible, et le Premier ministre n’a peut être pas envie d’être le responsable initial de ce dossier. Son nom et sa signature referaient alors surface pendant des années.

Un rapport de l’Inspection Générale des Finances (IGF), consulté par La Lettre, estime que le budget d’1,7 milliards d’euros évalué par le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques (COJOP) sera vite dépassé…

Peu importe, les Alpes s’apprêtent aujourd’hui à fêter l’attribution des Jeux d’hiver 2030.

Les premiers JO e-sport se tiendront en Arabie Saoudite en 2025

Grande nouvelle pour l’Arabie Saoudite. Le Comité International Olympique (CIO) vient d’annoncer l’obtention des premiers Jeux Olympiques d’e-sport, de jeux vidéos, prévus à partir de 2025.

Les gamers sont heureux. Ils ont leurs premiers Jeux Olympiques. Mis de côté des traditionnelles épreuves sportives, les champions de jeu virtuel attendaient cela impatiemment. Cela fait plusieurs années que le CIO discute de Jeux Olympiques e-sport. Très engagée pour obtenir de nombreux événements mondiaux majeurs, l’Arabie Saoudite a sauté sur l’occasion.

Après l’exposition universelle 2030, les grands championnats de boxe, le Paris-Dakar, la Formule 1, la Coupe du monde de football 2034 ou encore les jeux asiatiques d’hiver 2029, voilà que le Royaume accueillera les premiers Jeux e-sport de l’histoire. L’influence de ce pays est grandissante dans tous les domaines.

Du sportif à la politique, de la diplomatie à l’économie, de l’écologie à la santé, l’Arabie Saoudite est partout et s’affirme comme LA grande nation des prochaines décennies. La métamorphose de sa société pendant les dix dernières années, sous la gouvernance du prince Mohammed ben Salmane, est impressionnante.

Déjà actionnaire de beaucoup d’éditeurs de jeux vidéos, l’Arabie Saoudite, via le PIF (le fonds souverain) ou d’autres fonds d’investissement, ambitionne de devenir le leader mondial du jeux vidéo. Cela n’est qu’une question de temps. Le Comité International Olympique a précisé que ces Jeux nouvelle formule se tiendront « régulièrement » pendant douze ans à partir de 2025. Un contrat « test », donc.

Cette décision sera approuvée lors de la 142e session du CIO, prévue les 23 et 24 juillet à Paris. Le président du CIO, Thomas Bach, a salué dans un communiqué la grande implication et la « grande expertise – pour ne pas dire unique » du comité national olympique saoudien en matière d’e-sport.

Aucune information encore sur les jeux vidéos concernés par ces Jeux Olympiques inédits. Nul doute que certains éditeurs vont jouer des coudes afin d’apparaître. Qui de EA Sports FC ou de FIFA (nouvelle formule du jeu de foot de la FIFA) sera par exemple retenu pour l’événement ? Selon le prince Abdulaziz bin Turki Al Faisal, ministre saoudien des Sports, le Royaume compte « plus de 23 millions de joueurs ».

Soucieux de répondre à tous ceux qui s’en prennent régulièrement à l’Arabie Saoudite, Thomas Bach a affirmé que le CIO veillera à ce que « les valeurs olympiques soient respectées ».

Il a notamment cité le « développement rapide » du sport féminin en Arabie Saoudite, les « réformes réglementaires » assurant une représentation féminine dans les conseils d’administration de toutes les fédérations sportives, ainsi que l’égalité de rémunération pour les athlètes hommes et femmes sélectionnés en équipe nationale. Des avancées qui ne sont pas toutes visibles chez les pays donneurs de leçons.