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Exploit monumental de Lille face au Real Madrid de Kylian Mbappé (1-0)

Quelles frissons ! Le Real Madrid n’avait plus été battu depuis 36 matchs. Le Real Madrid est champion d’Europe en titre. Le Real Madrid possède 3 des 5 meilleurs joueurs du monde. Mais le Real Madrid a été battu par des Lillois généreux et parfaitement organisés.

Bruno Genesio peut avoir le sourire. Lui, l’homme du succès lyonnais magique face au Manchester City de Pep Guardiola. Il a réédité l’exploit, cette fois face aux Galactiques de Carlo Ancelotti. C’est énorme.

Dans un match très équilibré, où Kylian Mbappé, de retour de blessure, figurait d’abord sur le banc des remplaçants, le LOSC a su gérer temps forts et temps faibles avec une aisance admirable.

Ayyoub Bouaddi, 17 ans ce mercredi, a traversé cette rencontre avec élégance et maîtrise, faisant passer parfois Eduardo Camavinga, Aurélien Tchouaméni ou Federico Valverde pour des adversaires lambda. Car les Madrilènes se sont procurés très peu d’occasions. Vinicius Jr a joué 90 minutes mais n’a pas existé.

En toute fin de première période, Jonathan David, qui avait eu la balle du 1-0 d’un tir de la tête quelques minutes avant, ouvre le score sur penalty. Consécutif à une frappe d’Edon Zeghrova, déviée de la main par Eduardo Camavinga.

Après la pause, Carlo Ancelotti change ses hommes : Fran Garcia remplace notamment Ferland Mendy. Le jeune Arda Guler et le vétéran Luka Modric entrent aussi en jeu peu après. Mais Lille ne recule pas outre mesure et sait piquer la défense du Real avec quelques percées en guise de rappels à l’ordre.

Luca Chevalier, toujours si brillant, veille au grain : sorties aériennes et maîtrise du jeu au pied, un match parfait. Oui, pendant les 5 dernières minutes du temps réglementaire, les Lillois devront batailler dans leur surface. Mais ce n’est pas le jeu collectif adverse qui les inquiétera, seulement quelques ballons mal repoussés.

L‘arbitre siffle le coup de sifflet final, 1-0. La délivrance. Le peuple lillois n’ose y croire. Quelle émotion ! 36 matchs d’affilée que le Real Madrid n’avait plus perdu. Impossible n’est pas Français !

Après deux rencontres et trois points au compteur, le LOSC retrouve le milieu de tableau, en compagnie d’équipes comme le FC Barcelone, le Real Madrid, le Bayern Munich ou le PSG !

Brest est co-leader de ce championnat si particulier, désormais, mais si haletant. Prochains rendez-vous dans 15 jours. Lille ira défier l’Atlético de Madrid, lourdement battu 4-0 par le Benfica. Paris recevra le PSG Eindhoven, Monaco au stade Louis II face à l’Etoile Rouge Belgrade. Et pour Brest, réception (à Guingamp) du formidable Bayer Leverkusen.

« Je n’ai aucune intention d’expliquer ma… » : Luis Enrique agacé par une journaliste de Canal+

Cela n’est plus une surprise, cela devient une triste habitude. Habité d’une certaine susceptibilité, l’entraîneur du Paris-Saint Germain Luis Enrique a encore une fois répondu avec mauvais esprit et malveillance à une question pourtant banale de la journaliste de Canal+, Margot Dumont, en marge de la défaite du PSG 2-0 à Arsenal, en Ligue des Champions.

Première contre-performance du Paris-SG et déjà, Luis Enrique semble sur les nerfs. Interrogé par une journaliste de Canal+ après la rencontre perdue 2-0 nettement face aux Gunners d’Arsenal, l’entraîneur espagnol de Paris n’a pas souhait répondre aux questions.

Il n’y avait pourtant aucun piège, ni moquerie. Margot Dumont ne l’a même pas titillé sur le drôle de choix de se passer de son meilleur joueur, Ousmane Dembélé, pour un tel rendez-vous.

Margot Dumont : Est-ce qu’Ousmane Dembélé va réintégrer l’équipe ?

Luis Enrique : Heu…

– On parlait en plateau de votre cadre tactique, assez rigide, peu de dépassements de fonction, est-ce vous pouvez nous expliquer votre idée tactique au PSG ?

– Je n’ai aucune intention d’expliquer ma tactique, vous ne la comprendriez pas. Il va falloir corriger beaucoup de choses.

Maghnes Akliouche interviewé par Thierry Henry : la curieuse séquence sur CBS

Quand Thierry Henry, consultant pour la chaîne anglaise CBS, interviewe son ex-joueur de l’équipe de France olympique Maghnes Akliouche, cela laisse place à une séquence entre sourires et malaises...

Remarquable buteur face au FC Barcelone, jeudi soir au stade Louis II, dans la victoire de l’AS Monaco en Ligue des Champions (2-1), le milieu offensif international espoir Maghnes Akliouche n’en finit plus d’impressionner.

Après la rencontre, où il aurait pu être l’homme du match à la place du dernier buteur George Ilenikhena, Maghnes Akliouche a répondu aux questions de CBS Sports.

Sur le plateau, en compagnie de Jamie Carragher et Micah Richard, Thierry Henry est situé juste à côté de la présentatrice Kate Abdo, qui lui confie l’interview de son ancien joueur.

On sent alors que ce n’est pas spécialement préparé : « quelles émotions as-tu ressenti quand tu as inscrit ton but ?« , « quel est l’objectif de la saison de l’AS Monaco ?« , « est-ce que tu penses que tu peux aller chercher les 10 buts cette année ?« … Thierry Henry a endossé d’un peu trop près le costume de journaliste. Et un peu moins celui de consultant spécialiste.

Des questions qui appelaient des réponses bateau. Même le joueur de 22 ans a paru un peu désabusé, rentrant dans des poncifs sans intérêt. Son langage corporel faisait office de réponse.

La seule question vraiment intéressante est finalement venue de Kate Abdo : « comment était Thierry Henry comme entraîneur ?« . De quoi faire sourire le plateau.

PSG 1-0 Gérone : Paris dominateur et vainqueur in extremis (Ligue des Champions)

Cette deuxième soirée de Ligue des Champions de la semaine a réservé quelques surprises. Le Paris-Saint Germain a eu toutes les peines du monde à inscrire un petit but au Parc des Princes pour vaincre l’équipe espagnole surprise de la saison dernière, Gérone. Alors que Manchester City a été accroché sur son terrain par l’Inter Milan (0-0). Le Borussia Dortmund s’en sort facilement à Bruges (0-3).

Certains pourront parler de victoire miraculeuse tant elle s’est dessinée en toute fin de match, d’autres estimeront que Paris a largement mérité ses 3 points. Deux lectures possibles de ce premier match de Ligue des Champions nouvelle formule.

Largement dominateurs en termes d’occasions de buts, 22 contre 3 pour les Espagnols, les Parisiens de Luis Enrique ont manqué parfois de rythme, parfois de réussite (à l’image de Bradley Barcola et Ousmane Dembélé), parfois d’un attaquant de surface (Asensio est d’ailleurs sorti sur blessure avant la pause).

Quand on possède de fantastiques dribbleurs, que ce sont les ailiers du Paris-SG, on sait que les trouver dans un mauvais soir est une possibilité. Le dribble n’est pas une science exacte. Rien n’allait vraiment pour les deux compères mercredi soir face à Gérone. Dribbles manqués, tirs arrêtés par le portier adverse ou par la barre transversale, contre-attaque très mal gérée à la 54e minute de jeu…

Au lieu de s’excentrer légèrement pour décaler ensuite son coéquipier, Ousmane Dembélé fonce dans l’axe et s’emmêle les pinceaux pour finalement être repris sans même avoir tiré au but… Rageant.

Dans le jeu, Paris continue de montrer un visage intéressant, même si l’opposition Ligue des Champions lui montre que la Ligue 1, encore une fois, ne l’aide pas à s’étalonner chaque week-end.

Alors que l’on entamait les arrêts de jeu, il a fallu finalement une grossière faute de main de Gazzaniga, le gardien argentin de Gérone, consécutive à un centre tendu de Nuno Mendes pour délivrer le Parc des Princes (1-0, 90e). Paris prend les trois points. C’est l’essentiel dans ce nouveau championnat européen où les places qualificatives directement pour les 8e de finale seront chères.

Après Lille, battu par le Sporting Portugal (2-0) mardi, et le PSG mercredi soir, c’est au tour de Monaco, face au FC Barcelone (jeudi, 21h) et à Brest, à Guingamp face à Sturm Graz (18h45) d’entrer en lice, ce soir.

Ligue des Champions, J1 : Lille battu logiquement, Mike Maignan blessé, Kylian Mbappé et Michael Olise buteurs et vainqueurs

Drôle de première soirée de Ligue des Champions pour les Français. Si Lille a perdu sur la pelouse du Sporting Lisbonne (Portugal), après avoir été réduit à 10 en première période, Michael Olise et Kylian Mbappé ont marqué. Mike Maignan, lui, s’est blessé.

La blessure du capitaine du Milan et taulier de l’équipe de France de football inquiète. Sorti en mettant sa tête dans son maillot, le portier français avait la mine des mauvais jours. Si rarement fautif, il l’a été sur les deux buts adverses.

Touché dans un duel maladroit avec son défenseur (Tomori), le gardien semblait vraiment souffrir au moment de sortir de la pelouse à la 51e minute de jeu. Et pour couronner le tout, son Milan a été battu sur sa pelouse de San Siro (1-3) par Liverpool. Mauvais départ.

Du côté de Santiago Bernabeu, le Real Madrid s’est fait peur. Accroché longtemps par les Allemands de Stuttgart, ils s’en sont remis à une magnifique passe en profondeur d’Aurélien Tchouaméni pour le Brésilien Rodrygo. Ce dernier a offert le but sur un plateau à Kylian Mbappé, qui marque là son premier but en Champions League avec le club merengue.

Entré en jeu quelques minutes seulement, le Brésilien Endrick s’est encore illustré, remontant tout le terrain et inscrivant son premier but en Ligue des Champions pour sceller la victoire, 3-1.

À noter l’exploit d’Harry Kane en cette première journée de Ligue des Champions nouvelle formule, auteur d’un quadruplé avec le Bayern. Le Français Michael Olise a brillé lui-aussi, marquant ses deux premiers dans cette compétition qu’il découvrait ce soir. Le Bayern Munich a étrillé Zagreb 9 buts à 2 !

Comme attendu, Lille n’a rien pu faire sur la pelouse du Sporting (2-0), équipe en forme de ce début de saison, menée par le Suédois Gyokeres, un des meilleurs attaquants actuels. Ce dernier n’a pas manqué de se faire remarquer, ouvrant le score avec malice au coeur d’une défense bien naïve. C’est déjà son 9e but de la saison…

Suite de cette première journée de Ligue des Champions ce mercredi soir, avec notamment PSG-Gérone au Parc des Princes, et Manchester City-Inter Milan à l’Etihad Stadium.

INTERVIEW – Malgré la mauvaise saison de l’OM, Redouane Bougheraba aura sa « finale » au stade Vélodrome

Ça passe ou ça clash. Avec Redouane Bougheraba, il faut suivre le rythme. Un rythme d’humoriste actuellement numéro 1 en France. Plus de 1,4 millions d’abonnés sur Instagram, des vidéos qui totalisent plusieurs millions de vues, des salles pleines… Un engouement rare pour un artiste français. Pour Entrevue, le Marseillais revendiqué se livre, quelques minutes après être sorti de scène. À retrouver en intégralité dans le nouveau numéro d’Entrevue, actuellement en vente.

Thibaud Vézirian : Redouane, tu seras le samedi 22 juin au milieu de l’Orange Vélodrome, pour une représentation unique de ton spectacle. Un rêve de gosse ?

Redouane Bougheraba : C’est exceptionnel ! À Marseille, ma ville, réunir tous ces gens… J’ai fait une réunion aujourd’hui avec la production, on a 27 000 billets vendus. On devrait être à plus de 30 000 quand le magazine va sortir. Et on table sur 40 à 50 000 spectateurs. Je pensais pouvoir faire venir tous ces gens en deux ou trois ans de spectacle mais pas en un soir.

Beaucoup t’ont déjà vu en tournée, sachant qu’avant l’Orange Vélodrome, tu auras déjà rempli l’Accor Arena (Paris) deux fois et la LDLC Arena (Lyon). Marseille sera un show unique ?

Plus de 350 000 spectateurs sont déjà venus sur la tournée. Donc oui, à Marseille, ce sera un nouveau spectacle. Il va y avoir des guests (NDLR : des invités), ça va être un événement unique et historique. Pour faire un stade, tenir les gens, il faut vraiment réaliser un spectacle visuel. Avec beaucoup d’émotions. Il y aura toute ma famille et aussi toute la famille artistique. On va faire un truc de malade ! De grande envergure. À la maison, avec des invités marseillais, voire internationaux. Je ne peux pas en dire plus mais il va y avoir de la musique aussi. On va essayer de choquer les gens ! Coachella, tu connais ? Mais à Marseille !

Thibaud Vézirian : Tu as pris une ampleur énorme sur les réseaux sociaux et dans l’univers médiatique. Sur scène, ça paraît très sportif. Tu as une préparation spécifique ? Tu as embauché un staff ? Préparateur physique, mental ? Comme un footballeur…

Redouane Bougheraba : Je reviens d’Inde, pour le tournage d’un film. J’allais tous les jours à la salle de sport. Je fais attention à la nutrition. J’ai perdu 8 kilos ! J’essaie d’arriver fit pour cet événement, comme un grand match. Je me prépare comme une finale de la Champions League ou un match de la Coupe du Monde. Je te jure, je me dis qu’il faut que je sois au top physiquement et psychologiquement. Mais ça va, j’ai plein de potes coachs, je connais plein d’anciens pros, plein de gars qui me suivent et m’envoient de la force, des conseils. L’Orange Vélodrome, c’est un gros événement, on ne va pas se rater. Tu ne peux pas arriver en surpoids. C’est une finale.

Une finale, ça se gagne…

Il faut qu’on mette l’impact physique. Après, je sais que les blagues seront là, le spectacle va être rôdé, il va être exceptionnel. Mais on ne laisse rien au hasard. On ne laisse rien passer. Je dois arriver physiquement au top.

Interview à retrouver en intégralité dans le nouveau numéro d’Entrevue, actuellement en vente.

Ligue des Champions : Paris rentre bredouille d’Allemagne…

C’est un échec cuisant pour le Paris-Saint Germain de Luis Enrique, décidément en difficultés lors des matchs aller, comme face à Barcelone. Dans cette demi-finale de Ligue des Champions, jouée sur la pelouse de Dortmund, les Parisiens n’ont pas réussi à marquer. Et ont craqué (1-0).

Le match retour, mardi prochain au Parc des Princes, s’annonce palpitant. Mais après cette première confrontation, Paris inquiète ses supporters ainsi que les suiveurs. Car le Borussia Dortmund n’a rien d’un ogre. Il suffit de regarder les deux demi-finales de Ligue des Champions pour se faire une idée. Celle du Bayern face au Real Madrid (2-2), mardi soir, était d’une toute autre intensité.

Paris a déjoué. Paris ne s’est procuré aucune occasion nette. C’est le résumé de la première période parisienne à Dortmund. Luis Enrique a eu tout faux dans son système mis en place pour gêner les Allemands, même si Paris a eu, comme à son habitude, plutôt la maîtrise du jeu. Un pressing intéressant, certes, des récupérations de balle hautes. Mais ensuite ? Une utilisation stérile, comme souvent face à des blocs regroupés et avec de l’engagement physique.

Pas aidés par la sortie prématurée de Lucas Hernandez, les Parisiens ont notamment pris l’eau sur les côtés. Où Hakimi et Mendes ont vécu une sale soirée face à Adeyemi, dans tous les bons coups, et Sancho, si facile.

C’est sur l’action de l’unique but de la soirée, signé Fullkrug (1-0, 35e), pas élégant pour un sou mais diablement efficace, que Lucas Hernandez va d’ailleurs se blesser au genou. Les supporters du PSG et de l’équipe de France espèrent que les examens ne révèleront pas une nouvelle rupture des ligaments croisés, comme il y a deux ans.

Mené au score, le Paris-SG sort alors un peu la tête de l’eau. Quelques ajustements tactiques de Luis Enrique permettent à son équipe de retrouver de l’allant. Dembélé retrouve l’aile droite, Mbappé dézone sur son côté gauche préféré. D’ailleurs, c’est là qu’il se procure sa première occasion : son tir est repoussé par le poteau gauche du portier allemand ! Dans la foulée, Hakimi touche l’autre montant ! Quand ça ne veut pas…

Paris n’a rien à envier au Borussia, dont presque aucun joueur n’aurait une place de titulaire assurée au PSG si l’on compare les effectifs. Mais c’est bien le Borussia qui fait la bonne opération de ce match aller. Si l’arbitre n’avait pas fermé les yeux sur une poussette de Mendes sur Fullkrug en seconde période, Dortmund aurait même pu bénéficier d’un penalty.

Rendez-vous mardi soir, 21h, pour découvrir un autre PSG. Revanchard, sans doute, et poussé par son public. De quoi remonter ce but de retard et envisager une qualification historique en finale de Ligue des Champions.

Barcelone-PSG (1-4) : La grosse gaffe de Nasser Al Khelaifi

98e minute de jeu. Coup de sifflet final de ce quart de finale retour de Ligue des Champions. Paris est qualifié ! La joie s’empare du camp parisien. L’entraîneur Luis Enrique exulte, son staff aussi. Mal en point après son match aller raté (2-3), au Parc des Princes, 8 jours avant, le PSG a profité d’un carton rouge pour refaire surface. Et surclassé petit à petit un FC Barcelone en grandes difficultés.

Si Ousmane Dembélé a été élu homme du match, si Kylian Mbappé a inscrit un doublé salvateur, si Luis Enrique a réalisé de bien meilleurs choix qu’à l’aller, c’est bien le président Nasser Al Khelaifi qui s’est fait remarquer. Après la rencontre, alors qu’il répondait au micro de RMC, le Qatari n’a pas forcément compris où la journaliste voulait en venir…

Alors que Sonia Carneiro lui demandait de taire le nom du prochain adversaire du Paris-Saint Germain, « on ne sait pas encore qui sera l’adversaire, on ne dit rien, on ne dit rien », le président parisien s’est empressé d’annoncer : « Dortmund, Dortmund, Dortmund ! » Ne comprenant pas qu’il fallait garder la surprise aux téléspectateurs.

La journaliste voulait préserver le suspense pour proposer le résumé du match Dortmund-Atlético de Madrid aux abonnés RMC. Dommage, Nasser Al Khelaifi ne l’a pas entendu de cette oreille ! Peu soucieux des logiques télévisuelles, il a tout sourire dévoilé l’affiche Borussia Dortmund-PSG. Oui, ce sont bien les Allemands du Borussia qui ont éliminé l’Atletico d’Antoine Griezmann 4 buts à 2.

Mais à l’heure des réseaux sociaux et des notifications sur smartphones, rares sont les fans de foot qui ne devaient pas être au courant du résultat de l’autre quart de finale jouer en même temps que cet historique Barcelone-PSG…