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OM-PSG (0-3) : Letexier sort le rouge, Sinama-Pongolle et Aubameyang n’apprécient pas du tout

Ce n’est pas compliqué, Monsieur Letexier, l’arbitre du classico OM-PSG a mis fin à tout suspense dés la 20e minute de jeu en sortant un carton rouge improbable à Amine Harit, coupable d’un pied haut involontaire (et non dangereux) sur Marquinhos.

L’OM n’avait pas besoin de ça pour ne pas être au niveau et éprouvé de grandes difficultés face au PSG. Cette action de jeu les a encore enfoncé un peu plus…

Forcément, pluie de réactions sur les réseaux sociaux et dans les tribunes. Notamment Florent Sinama-Pongolle, l’ex-joueur de Liverpool, désormais consultant pour Canal+. Ce dernier s’est lâché sur X.

« Rouge scandaleux« , écrit-il dans la foulée de l’action ultra-litigieuse. Ce à quoi lui répond l’ex-attaquant marseille Pierre-Emerick Aubameyang, « il a niq** le match, c’est une dinguerie« .

Cet échange illustre bien l’avis de milliers de supporters, déçus par le scénario bien fade de ce classico OM-PSG (0-3).

Pour revoir l’action du carton rouge ultra-sévère, c’est ici sur DAZN.

Le résumé du match, vu par Thibaud Vézirian.

INSOLITE – L’entraîneur stoppe une contre-attaque et se fait exclure !

Cela n’arrive pas tous les jours. Et heureusement. En football, les divisions amateurs nous offrent parfois de drôles d’images. Direction l’Italie, pour un match de 6e division, l’équivalent en France la Régionale 1 (R1).

Pontassieve, près de Florence, reçoit Subbiano (province d’Arezzo, en Toscane). Cette scène donne soit envie de rire, soit de pleurer. C’est le foot en folie (pour ceux qui ont connu).

Alors que l’équipe adverse part en contre-attaque, il reste encore deux défenseurs pour deux attaquants… Mais sur ce long ballon en profondeur, l’entraîneur de Subbiano, Alessio Guidotti, a décidé que c’était à lui de stopper l’occasion de but ! Complètement dingue. Et hors la loi.

Son tacle est aussi maladroit qu’idiot. Il lève les mains comme s’il n’avait pas exprès… Ou pour s’excuser d’un geste bien intentionnel.

Forcément, c’est carton rouge. Et un habituel chahut, logique après une scène aussi surréaliste.

La rencontre s’est terminée sur le score de 0-0. Pas de justice mais certainement plusieurs mois de suspension.

Grèce : Stéphanie Frappart évacuée après avoir distribué 3 cartons rouges

Des images détestables. Arbitre de la finale de coupe de Grèce, la Française Stéphanie Frappart a dû être escortées par la police pour sortir du terrain. Coupable selon l’Aris Salonique d’avoir sorti 3 cartons rouges, l’arbitre a subi les foudres des joueurs et du président de l’équipe vaincue dans le temps additionnel.

Trois cartons rouges qui ne passent pas. Les Grecs sont furieux. Stéphanie Frappart a dû être évacuée par les forces de l’ordre à la fin du match. Les joueurs, le staff et le président de l’Aris Salonique sont fous de rage à la fin du match remporté par le Panathinaikos. Ils perdent sévèrement leurs nerfs.

« Pour la première fois dans l’Histoire de la Coupe de Grèce, une femme arbitrera le dernier match de la compétition », s’était pourtant félicitée la Fédération grecque dans un communiqué.

La Française a pourtant sorti un match tout à fait correct. Les cartons rouges n’étant pas spécialement injustifiés. Mais les Grecs sont coutumiers du fait : incapables de se contenir.

En distribuant trois cartons rouges en seconde mi-temps (51e, 65e et 71e), dont deux pour l’Aris, battu sur un but au bout du temps additionnel (90e+7), Stéphanie Frappart ne s’attendait pas à de tels comportements.

Le président de l’Aris Salonique est même venu violemment se rapprocher de l’arbitre après la rencontre. Ce sont les forces de l’ordre qui ont maintenu un cordon de sécurité autour de la Française. Inadmissible ! L’UEFA devra prendre des sanctions fermes rapidement.

D’autant que la Grèce est déjà sujette à des actes insupportables de violence dans le football. Cette finale était d’ailleurs organisée à huis clos afin d’éviter les confrontations entre supporters…

Sa présence en tant que femme arbitre d’une telle finale marquait pourtant l’histoire… On s’en souviendrait finalement dans le mauvais sens. Triste image pour le football grec. La victoire du Panathinaïkos restera anecdotique.