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Chili-Bolivie (1-2) : L’attaquant chilien devait-il marquer ou s’arrêter après la blessure soudaine du gardien adverse ?

C’est la polémique qui enfle sur les réseaux sociaux et dans les médias sud-américains. Lors de la rencontre de qualification à la Coupe du monde 2026 entre le Chili et la Bolivie (1-2), l’attaquant Eduardo Vargas intercepte un ballon et file marquer… Alors que le gardien bolivien venait de s’écrouler, sur blessure.

Devait-il marquer (ce qu’il a fait) ou s’arrêter ? 39e minute de jeu, Eduardo Vargas récupère le ballon devant Carlos Lampe, le gardien de la sélection bolivienne, pourtant pas sous pression, et file égaliser. Carlos Lampe perd le ballon en s’écroulant net, tout seul. Il vient de subir une rupture du tendon d’Achille. Il sera tenu hors des terrains pendant 8 à 12 mois…

Manque de fair-play ou manque de lucidité sur l’action ? Le Chilien de l’Atlético Mineiro a bien jeté un oeil derrière lui juste avant de marquer. Mais rien ne l’a arrêté. Sur les réseaux sociaux, le joueur se fait violemment reprendre pour son attitude inadmissible.

Il y a une justice dans le football puisque la Bolivie marquera un nouveau but en toute fin de première période. Et le Chili sera battu (1-2). La Roja reste 9e sur 10 au classement de ces qualifications.

INSOLITE – L’entraîneur stoppe une contre-attaque et se fait exclure !

Cela n’arrive pas tous les jours. Et heureusement. En football, les divisions amateurs nous offrent parfois de drôles d’images. Direction l’Italie, pour un match de 6e division, l’équivalent en France la Régionale 1 (R1).

Pontassieve, près de Florence, reçoit Subbiano (province d’Arezzo, en Toscane). Cette scène donne soit envie de rire, soit de pleurer. C’est le foot en folie (pour ceux qui ont connu).

Alors que l’équipe adverse part en contre-attaque, il reste encore deux défenseurs pour deux attaquants… Mais sur ce long ballon en profondeur, l’entraîneur de Subbiano, Alessio Guidotti, a décidé que c’était à lui de stopper l’occasion de but ! Complètement dingue. Et hors la loi.

Son tacle est aussi maladroit qu’idiot. Il lève les mains comme s’il n’avait pas exprès… Ou pour s’excuser d’un geste bien intentionnel.

Forcément, c’est carton rouge. Et un habituel chahut, logique après une scène aussi surréaliste.

La rencontre s’est terminée sur le score de 0-0. Pas de justice mais certainement plusieurs mois de suspension.

Se relever ou plonger ? Le défi des Bleus face à la Belgique ce soir, les compos probables

Ce n’est que la Ligue des Nations, mais quand même. L’équipe de France de Didier Deschamps ne nous a jamais habitué à ça. Deux défaites de suite ? Inconcevable. Alors les Bleus doivent se retrousser les manches ce soir, face à la Belgique, pour ce deuxième match de poules.

Le Groupama Stadium (Décines) et tous les supporters des Bleus seront très attentifs à la performance de l’équipe de France ce soir, face à la Belgique. Ligue des Nations ou pas, la claque reçue vendredi (1-3) face à l’Italie doit bien vite faire partie du passé.

Après les forfaits de Warren Zaïre-Emery, Loïc Badé, Aurélien Tchouaméni ou Wesley Fofana, Didier Deschamps cherche à reconstruire son collectif. Tout en gardant l’assise défensive des Bleus, qui avait tant fait leur force. Aujourd’hui, plus rien ne semble tourner rond : ni devant, ni derrière. Malgré la présence de stars mondiales (Mbappé, Griezmann) ou de références à leur poste (Saliba, Maignan).

Mais dans le football, le talent individuel ne suffit pas. Ainsi, malgré les fulgurances de Bradley Barcola, promis à un brillant avenir, les Italiens ont totalement déjoué les plans français.

Ce lundi soir, quelques heures avant de retrouver leurs clubs respectifs, les Bleus vont tomber sur une équipe revancharde, à nouveau éliminée par la France à l’Euro 2024, cette fois en quarts de finale.

Avec le dynamique Loïs Openda (RB Leipzig), et des ailes surpuissantes -Johan Bakayoko (PSV Eindhoven) et Jérémy Doku (Manchester City)-, la Belgique a de quoi faire reculer les Bleus. Didier Deschamps pourrait ainsi se passer de Théo Hernandez, pas dans son assiette face à l’Italie, et d’Ibrahima Konaté.

Au sein de ce turnover obligatoire, vu l’enchaînement des matchs tous les trois jours, d’autres nouvelles têtes pourraient être titulaires ce soir à Décines. Sur demande de Carlo Ancelotti (Real Madrid), le capitaine Kylian Mbappé pourrait être laissé au repos. Ce qui ravivera encore les débats si jamais les Bleus venaient à réussir une belle prestation…

Ainsi, le brillant Michael Olise pourrait conserver une place de titulaire, en soutien de Marcus Thuram, toujours utile pour offrir des appels et créer des espaces aux coéquipiers. Sur les ailes, beaucoup d’interrogations dans ce 4-2-3-1 : les Parisiens Ousmane Dembélé et Randal Kolo Muani seront-ils en charge d’animer les couloirs ?

Le double pivot défensif du milieu pourrait être confié à Manu Koné, puissant et mobile, et à Youssouf Fofana, au détriment de N’Golo Kanté.

(revue de presse : L’Equipe du lundi 9 septembre)

Les Bleus manquent leur rentrée, faut-il s’inquiéter ?

L’équipe de France de Didier Deschamps avait rendez-vous avec l’Italie, ce vendredi soir, au Parc des Princes, pour leur premier match de Ligue des Nations, compétition sans saveur mais obligatoire… Et tout ne s’est pas déroulé comme prévu. Analyse et récap.

Les Bleus sont-ils rassasiés ? On serait en droit de le penser après la terne prestation de l’équipe de France de football face à l’Italie (1-3). Face à une équipe en difficultés depuis des années, même si la squadra azzura a remporté l’Euro 2021, les hommes de Didier Deschamps voulait repartir fort, après l’échec en demi-finale de l’Euro 2024.

D’entrée de jeu, ils profitent d’une mauvaise passe en retrait italienne pour ouvrir le score. Très exactement après 12 secondes ! Bradley Barcola surfe sur ses derniers mois fantastiques pour permettre à son équipe de mener au score. Malheureusement, ce fut le seul et unique pressing réussi de l’équipe de France ce soir…

Si le match ne pouvait pas mieux commencer, les supporters avaient hâte de voir le nouveau système et les essais de Didier Deschamps. Jonathan Clauss latéral droit et Théo Hernandez à gauche, deux latéraux offensifs, pas dans les habitudes du sélectionneur. Une défense centrale William Saliba-Ibrahima Konaté, laissée à l’abandon, impossible de leur en tenir rigueur. Un milieu à deux, N’Golo Kanté et Youssouf Fofana, loin d’être impérial. Trois éléments offensifs : Bradley Barcola, Antoine Griezmann et la nouvellé pépite Michael Olise. Pour épauler Kylian Mbappé en pointe.

Face à une opposition correcte, sans être géniale, qui enregistrait notamment le retour de suspension longue durée de Sandro Tonali, la France a vite pris l’eau.

Jonathan Clauss a sombré, alors que les ailes italiennes ne sont pas vraiment leur point fort. N’Golo Kanté a été l’ombre de lui-même, tandis que Youssouf Fofana est clairement fautif sur le troisième but italien. Mettre en valeur les qualités de Kylian Mbappé en le laissant dans l’entonnoir adverse, seul en pointe, reste une interrogation. Et un défi.

Devant, si Michael Olise possède un talent fou et un vrai toucher de balle, sa relation avec Kylian Mbappé n’a pas été flagrante. Et l’attaquant du Real Madrid, dans un rôle d’avant-centre, reste une énigme.

Les entrées en jeu de Manu Koné, nouveau venu lui-aussi, Marcus Thuram, Ousmane Dembélé ou Warren Zaïre-Emery n’ont pas changé la donne. Incapables de défendre ensemble en bloc, les Bleus se sont fait transpercer trop souvent.

Si elle ne pouvait pas grand chose sur l’égalisation fantastique de Di Marco, après un une-deux splendide avec Tonali, l’équipe n’a pas montré d’adaptation tactique aux problèmes du soir. Et une incapacité folle à se transcender pour remonter la pente.

Est-ce un problème physique, puisque la saison vient tout juste de recommencer ? On connaît l’importance du niveau physique optimal des Bleus dans leurs bons résultats.

À venir sur Entrevue, les réactions de Didier Deschamps et de plusieurs joueurs.

900e but de Cristiano Ronaldo : les larmes de joie (vidéo)

Cristiano Ronaldo est un monstre sacré du sport mondial. Hier, face à la Croate en Ligue des Nations, le Portugais a inscrit son 900e but en compétition officielle. De quoi lui déclencher instantanément une forte vague d’émotions. CR7 est unique.

34e minute de jeu, jeudi soir, à Lisbonne. Cristiano Ronaldo, en bon renard des surfaces qu’il est devenu, est à la réception d’un centre tendu de Nuno Mendes, le Parisien. Le Portugal prend l’avantage (2-0, à ce moment-là). CR7 vient d’inscrire son 900e but en carrière.

La mégastar de 39 ans se prend le visage entre les mains et tombe au sol. L’émotion est trop forte. Nouveau record pour cet homme à la longévité folle. Un mental d’acier qui lui a fait réaliser une carrière exceptionnelle. Unique.

Cristiano Ronaldo compte 5 buts avec le Sporting Portugal à ses débuts, puis 145 avec Manchester United (Angleterre), 450 avec le Real Madrid (Espagne), 101 avec la Juventus Turin (Italie), 68 avec son équipe actuelle d’Al-Nassr (Arabie Saoudite) et désormais 131 avec sa sélection.

« Je veux toujours marquer des buts. Que ce soit contre la France ou contre Al-Ettifaq, ça ne change rien pour moi« , a-t-il expliqué récemment sur sa chaîne Youtube. Objectif 1000 ? Évidemment.

Découvrez quelle équipe a remporté son premier match depuis 20 ans

Ils sont derniers au classement FIFA. Alors forcément, c’est l’explosion de joie, jeudi soir, au moment de remporter leur premier match depuis 2004. 20 ans sans connaître la joie du succès. Il a fallu 171 défaite et 5 matchs nuls…

La série noire est terminée. Enfin ! Première victoire de l’histoire de Saint-Marin. L’équipe de Roberto Cevoli était opposée au Liechtenstein, jeudi soir, en Ligue des Nations. Quand le jeune Nicko Sensoli inscrit le seul et unique but de la rencontre à la 53e minute de jeu, c’est tout un pays qui commence à y croire (1-0).

Dans ce duel du fin fond du classement FIFA, le Liechtenstein devient donc détenteur de la plus grande série de matchs sans gagner au monde : 38 matchs, série en cours.

Pour l’anecdote, le 28 août 2004, c’était déjà face au Liechtenstein que Saint-Marin avait obtenu sa dernière victoire. Décidément…

Les images du doublé de Kylian Mbappé, sa saison au Real Madrid est lancée

Épié par les médias espagnols en permanence, critiqué pour ses débuts au Real Madrid, Kylian Mbappé a remis les pendules à l’heure ce dimanche soir, juste avant la trêve internationale. Auteur de son premier doublé au stade Santiago Bernabeu, et donc de ses premiers buts en Liga avec Madrid, Kylian Mbappé peut souffler.

Il a fallu l’entrée en jeu de Brahim Diaz, vrai créateur, et la fatigue physique du Betis Séville pour que le chemin du but s’ouvre un peu plus pour le Real Madrid. Avant cela, les hommes de Carlo Ancelotti ont buté sur la défense adverse regroupée. Un classique face au Real. Kylian Mbappé, Vinicius Jr. et Rodrygo ont souvent permuté, se sont cherchés. En vain.

Mais le Real Madrid n’est pas une équipe qui abdique. Avec ses immenses joueurs, ils savaient que cela allait finir par tourner en leur faveur, après ce début de saison poussif.

Il a fallu un geste magique de l’Uruguayen Federico Valverde, qui d’une talonnade à envoyer Kylian Mbappé en face-à-face, pour que le score bouge au tableau d’affichage. En une touche, du pied gauche, le capitaine de l’équipe de France glisse le ballon au fond des filets. Le public madrilène exulte (1-0, 67e).

Kylian Mbappé libéré, Kylian Mbappé délivré. Et tout le Real Madrid se met à mieux jouer. Vinicius Jr. fausse compagnie à son tour à la défense adverse et obtient un penalty. C’est le Français qui s’en charge, froidement (0-2, 75e). Le voilà avec le sourire.

Après une période difficile pour s’acclimater au jeu madrilène, aux adversaires de LaLiga aussi, Kylian Mbappé franchit un cap important, ce dimanche soir, en inscrivant ce doublé. De quoi aborder la trêve internationale avec un peu plus de légèreté.

Le Real Madrid, 2e, revient à quatre longueurs du leader, le FC Barcelone.

Place à la Ligue des Nations, avec France-Italie (le 6 septembre au Parc des princes) et France-Belgique (le 9 septembre au Groupama Stadium de Lyon)

Le LOSC retrouve les étoiles de la Ligue des Champions, les buts de la soirée en images

Après une soirée compliquée et un parcours difficile (face au Fenerbahce puis le Slavia Prague), les Lillois s’en sortent et filent en Ligue des Champions. Les hommes de Bruno Genesio avaient deux buts d’avance à défendre, ce soir en République Tchèque, mais se sont bien vite compliqués la tâche.

La soirée aurait pu être paisible, elle fut crispante jusqu’au bout. En encaissant un but après seulement 5 minutes de jeu, au terme d’un petit festival collectif, le LOSC s’est mis dans une position délicate. Celle du club qui ne sait plus trop s’il doit attaquer ou défendre. Alors forcément, à domicile, le Slavia Prague en a fait voir de toutes les couleurs aux Lillois.

Après cette ouverture du score, c’est chaud : Lille fait le dos rond. Pendant plus de 70 minutes, Lille hésite. Bien défendre jusqu’au bout ? Attaquer pour repousser définitivement l’idée d’un retour des Tchèques ? Comme souvent, Edon Zhegrova apparaît comme le détonateur et le sauveur. Les grands joueurs se révèlent dans les grands moments. Un ballon reçu plein axe, un adversaire à effacer, l’international kosovar se décale sur son pied gauche et arme un tir tendu. Ça fait mouche (1-1, 76e) !

Lille reprend alors deux buts d’avance, de quoi terminer le dernier quart d’heure avec sérénité. Pas du tout. Le Slavia Prague marquera encore un but, à cinq minutes de la fin du temps réglementaire. Histoire de remettre un coup de chaud dans les rangs lillois. Les hommes de Bruno Genesio tiendront bon.

La Ligue des Champions s’offre enfin à eux, après un mois d’août dantesque mais brillant. Une expérience intéressante avant les difficiles joutes européennes qui les attendent.

Le tirage au sort de la Ligue des Champions, nouvelle version, aura lieu ce jeudi, 18h, en direct sur Canal+.