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« Pas de commentaire… » Marquinhos gêné par l’arrivée de Rabiot à l’OM

À 24 heures des débuts du Paris-Saint Germain en Ligue des Champions cette saison, au Parc des Princes face à Gérone (Espagne), le capitaine et défenseur central Marquinhos s’est présenté en conférence de presse.

Comme à l’accoutumée, si la majorité des questions des journalistes concernent le match du lendemain, certaines se sont cette fois tournées vers le transfert surprise du mois de septembre. L’arrivée officielle ce mardi d’Adrien Rabiot en terres ennemies, à l’Olympique de Marseille.

Un ancien titi-parisien, formé au club, qui avait juré fidélité devant les supporters, va donc revêtir le maillot olympien. Qu’en pense l’international brésilien Marquinhos ?

-Est-ce que ça te fait quelque chose qu’un de tes anciens coéquipiers au Paris-Saint Germain signe pour le grand rival ?

-Pas de commentaire.

Tension, regard fixe, trois mots et rien d’autre. Ça a le mérite d’être clair. Le prochain contact entre Adrien Rabiot et ses anciens coéquipiers devrait être le dimanche 27 octobre prochain pour OM-PSG.

Le réseau X suspendu au Brésil : fin du harcèlement, diffamation et propagation de fake news ?

La Cour Suprême valide la décision d’un de ses juges. X, c’est fini. Au Brésil, tout du moins. Acte « criminel », selon les pro-Bolsonaro. Environ 45 000 personnes ont manifesté pour la liberté d’expression à Sao Paolo.

Personnage central de la lutte contre la désinformation, Alexandre de Moraes, est devenu la bête noire d’Elon Musk. C’est lui qui est à l’origine de la suspension du réseau social X au Brésil. Il a aussi mené les enquêtes contre l’ex-président Jaïr Bolsonaro.

Pétitions contre le juge d’un côté, soulagement de l’autre face à ce qu’est devenu le réseau social, le Brésil est divisé.

Le juge Alexandre de Moraes est désormais considéré comme l’homme le plus puissant du Brésil, capable de sortir Jaïr Bolsonaro de la vie politique. La suspension de X intervient suite au refus d’Elon Musk de se conformer à ses obligations juridiques au Brésil. X pèse environ 22 millions d’utilisateurs dans le plus grand pays d’Amérique du Sud.

Elon Musk avait fermé à la mi-août les bureaux brésiliens de X et avait été sommé de payer plusieurs amendes non régularisées. Suite à cela, le juge lui avait demandé de nommer des représentants légaux à la plateforme.

Suite à la décision de fermeture du réseau social à l’ambiance décadente, le Brésil applique des amendes strictes à tous ceux qui voudraient continuer de s’en servir : via des amendes journalières de 50.000 reais (environ 8 000 euros).

L’Etat a demandé aux banques de procéder aux gel des actifs associés à X (et à Starlink) pour recouvrer les sommes dues. Le juge brésilien reproche à X des « entraves à la justice« .

Si on se réfère à la décision de justice, X aurait joué un rôle déterminant dans la diffusion « de données personnelles, de photographies, de menaces et d’appels à la violence » à l’encontre des forces de l’ordre, de personnalités publiques ou de leurs familles. Puis le réseau social n’a pas procédé à la suspension, ni à la démonétisation des comptes visés.

Que ce soit au Brésil ou en France, d’ailleurs, X tolère en effet diffamations, insultes et propagation de fake news sans procéder à quelconque modération, malgré les demandes répétées de comptes harcelés quotidiennement. Un laisser-aller au nom de la liberté d’expression. L’anonymat fait des dégâts.

Échec retentissant pour les Bleues d’Hervé Renard, éliminées par le Brésil en quart de finale (0-1) (Paris 2024)

Elles espéraient beaucoup plus. Et tous les supporters des Bleues aussi. L’équipe de France féminine de football n’a pas brillé lors de ces Jeux Olympique à domicile. Jamais dans le rythme du tournoi, les joueuses d’Hervé Renard sont éliminées par le Brésil (0-1), en quart de finale. Par ici la sortie.

Quelle tristesse. Et quelle désillusion. Des années de travail, l’arrivée du spécialiste des épopées fantastiques Hervé Renard, des Jeux à domicile faits pour briller… Et rien. Ou presque. De fades prestations et une élimination en quart de finale de la compétition. Le Brésil n’avait jamais battu la France…

Forcément, le penalty mal tiré par Sakina Karchaoui et arrêté par la gardienne brésilienne en première pèse lourd dans la balance. Tout comme cette occasion de Marie-Antoinette Katoto sur la barre transversale. L’efficacité est le maître mot lors des grands événements. Les Bleues ont faillI.

Ce match aura eu franchement du mal à nous emballer. Un France-Brésil, certes, mais une grande affiche qui n’en a eu que le nom. Des erreurs grossières, peu d’occasions, un manque de sérénité et de concentration. Rien de fait pour emballer le public de la Beaujoire à Nantes.

Portilho fausse comagnie à la défense française et ouvre le score à la 82e minute de jeu pour le Brésil : ni un scandale, ni un avantage mérité. Les deux équipes semblaient tétanisées par l’enjeu. Ou se craignaient trop.

Au petit jeu de celles qui en montreraient le moins, les Françaises l’ont emporté, ça c’est sûr. Malgré 16 minutes de temps additionnel, elles ne reviendront pas. Sans panache, sans pouvoir la pression dans la surface adverse. Aucun regret, finalement.

En manque de réalisme pendant tout le tournoi, elles prennent la porte. Et ça fait mal. Les ambitions étaient toute autre. Il faudra une grande prise de conscience après ce nouvel échec du football féminin français. On sait déjà qu’Hervé Renard ne sera plus le coach de cette équipe. La reconstruction totale s’impose.

INFO MERCATO – Conquis par les supporters, Andreas Pereira veut jouer à l’OM, Fulham demande (trop) cher

Il est l’une des révélations du dernier championnat de Premier League, avec Fulham. Le milieu international brésilien Andreas Pereira serait, d’après L’Equipe, dans le viseur de l’Olympique de Marseille, très actif cet été. Des informations confirmées de source proche du joueur. Mais le club anglais en demande pour l’instant beaucoup trop cher… Les détails et révélations.

Un temps annoncé au Paris-Saint Germain, Andreas Pereira pourrait découvrir la Ligue 1 à… Marseille ! Échaudé par l’expérience de son ami Neymar à Paris, Andreas Pereira s’est renseigné sur la situation de l’OM avant de donner son accord à un tel transfert.

D’après nos informations, l’international brésilien de 28 ans, capable d’évoluer en relayeur ou en numéro 10, se montrerait particulièrement enthousiaste à l’idée de découvrir les supporters marseillais. Son entourage ne lui en ayant dit que du bien…

Souvent passeur clé la saison dernière avec Fulham, titulaire inamovible, il s’est aussi fait remarquer avec la Seleçao pour sa technique, son sens du pressing ou même en tant que buteur face au Mexique.

En plus de la chaleur (parfois étouffante) du public, la présence du nouveau coach italien, Roberto De Zerbi, serait l’autre argument qui ferait pencher la balance du côté du club phocéen. Quel joueur n’a pas envie de participer à un tel projet de jeu ? Selon nos confirmations obtenues, l’entraîneur a par ailleurs déjà validé l’idée de la venue de ce milieu de terrain.

Si le montant demandé par Fulham à deux ans de la fin de son contrat paraît exorbitant, environ 40-50M€ d’après certaines médias, le tarif pourrait vite baisser face à l’insistance du joueur. Un accord autour de 25-30M€ semblerait plus juste.

Présent au Portugal avec son club pour un match amical, Andreas Pereira est focalisé sur son possible avenir à l’OM. S’il a beaucoup vadrouillé, de l’Angleterre à l’Espagne (Grenade, Valence) en passant par l’Italie (Lazio de Rome) avant de retourner gagner des titres à Flamengo (Brésil), le joueur semble aujourd’hui arriver à maturité.

Pour Marseille, sa venue serait une belle opportunité : le Brésilien est né en Belgique, il ne fait donc pas partie des joueurs extra-communautaires, sujet épineux au club cet été puisque Luis Henrique, Amir Murillo et Mason Greenwood prennent déjà trois places sur quatre possibles. Chaque club peut compter un maximum de quatre joueurs n’étant pas ressortissants de l’Union européenne, de l’Espace économique européen (EEE) ou de pays n’ayant pas d’accord d’association ou de coopération avec l’UE, dits extra-communautaires.

Enfin, autre élément intéressant pour cet Olympique de Marseille (encore) en reconstruction : formé au PSV Eindhoven puis à Manchester United, où il s’est rapidement lié d’amitié avec Paul Pogba, Andreas Pereira parle déjà un peu le Français. L’adaptation, et à l’ambiance volcanique de l’Orange Vélodrome et à la France, ne devrait pas être un souci. L’ancien mancunien et néo-marseillais Mason Greenwood l’a d’ailleurs appelé pour lui demander de le rejoindre au plus vite dans le sud de la France…

Diamants, Rolex, billets… L’ancienne gloire du football brésilien, Zico, victime d’un car-jacking à Paris

500 000 euros, ce serait le montant des biens dérobés à la légende du football brésilien, Zico, hier soir, à Paris. Invité par la délégation brésilienne aux JO, l’ex milieu de terrain était dans un taxi quand sa mallette a été volée.

Nouvelle mauvaise publicité pour les Jeux Olympiques de Paris 2024. Après les galères du sportif australien de BMX, les soucis alimentaires de la délégation britannique au village olympique ou encore la pluie qui devrait perturber la cérémonie d’ouverture, voilà un vol qui va faire grand bruit.

D’après les informations du Parisien, l’ancien footballeur brésilien, Zico, 71 ans, a eu une très mauvaise surprise, hier soir, à Paris. Lui qui logeait dans un hôtel du XIXe arrondissement de la capitale a pris un taxi… Dedans, il laisse à ses côtés une mallette. Bien renseigné sur la valeur de la mallette, un individu arrive au contact du chauffeur, détourne son attention et rapidement, un complice subtilise la mallette. Ni arme, ni violence et aucun témoin.

Cette dernière comprenait apparemment une montre Rolex, une rivière de diamants, et des billets de banque (2 000 euros et 2 000 dollars), le tout pour environ 500 000 euros de butin ! Du travail de professionnels. Une enquête a été ouverte et confiée à la BRB (Brigade de répression du banditisme).

A-t-il été suivi ? Pourquoi se baladait-il dans Paris avec une mallette d’une telle valeur sans sécurité ? À qui appartenait ces objets et à qui allait-il les remettre ? Autant de questions qui agitent les réseaux sociaux et donnent du travail aux enquêteurs.

Scandale au Brésil, un policier tire sur un joueur de football

Des images terribles et scandaleuses. Les médias brésiliens relayent les images en boucle. Un policier tire à bout portant sur un gardien de but de l’équipe brésilienne du Grêmio Anapolis (2e division régionale). Un tir de flash-ball qui frappe directement la cuisse du joueur.

C’est la stupeur. Hier soir, au Brésil, après la défaite de son équipe contre le club de Centre Oeste (1-2), le gardien de but Ramon Souza a reçu un tir de flash-ball, quasiment à bout portant. Une scène qui aurait pu être sortie tout droit du tournage d’une série télé. Mais pas du tout, c’est bien la réalité. Le joueur a été immédiatement pris en charge par une équipe médicale, avant d’être transféré sain et sauf à l’hôpital en ambulance. Son club a dénoncé un acte « horrible, incroyable et criminel ».

À la fin du match, des heurts entre supporters avaient éclaté. Le policier fautif, que l’on identifie clairement sur les images, semble menaçant : il pousse d’abord un autre joueur, arme son fusil puis tire. Et ce, alors qu’aucun joueur ne se dirige vers lui violemment. 

Le club de Grêmio Anapolis a rapidement donné des nouvelles de son gardien : « Après avoir reçu des soins, le gardien de but Ramon Souza ne risque pas de perdre la vie ou sa jambe ». L’acte a été qualifié de « criminel », ainsi, le club souhaite que « le responsable soit puni et que justice soit rendue, afin que cet acte criminel ne reste pas impuni ».

Forcément, ce jeudi, l’affaire, relayée par tous les médias nationaux, a pris une envergure politique. Le ministère des Sports a apporté son soutien à Ramon Souza : « Il est impératif de rétablir la confiance dans l’action de la police, afin de garantir que les épisodes de violence ne deviennent pas monnaie courante sur les terrains de football ». La défiance est totale entre les citoyens et la police actuellement au Brésil.

Ce joueur a enlevé sa teinture pour pouvoir jouer avec sa sélection

Les sélections nationales se mettent à dicter à leurs joueurs leur couleur de cheveux ? C’est ce qui semble se passer pour Yan Couto. Le latéral droit de Gérone, choisi pour représenter le Brésil à la Copa America dans une semaine, a accepté d’éviter le rose.

Toute la saison, Yan Couto s’est fait remarquer pour son activité sur son côté droit, au FC Gérone, le club surprise de la Liga espagnole. Mais aussi pour autre chose. Sa couleur de cheveux. Rose pétante ! Un joueur qui se fait doublement remarquer.

Mais ça ne semble pas être apprécié du côté de sa sélection nationale. Yan Couto assure avoir reçu pour demande de ne pas se teindre les cheveux en rose avec le Brésil... Soucieuse de ne pas polémiquer, la Fédération brésilienne (CBF) dément l’existence d’un veto. Elle dément aussi l’existence de discussions autour des couleurs de cheveux.

Pour autant, la CBF reconnaît avoir des conversations sur l’image des athlètes autour des horaires, de la nourriture ou du comportement pendant les pauses. Chose tout à fait normale. De là à conseiller à ses joueurs d’éviter le rose ?

Yann Couto s’est en tout cas plié au désidérata de la Seleção puisqu’il arbore depuis peu à nouveau sa couleur de cheveux initial. Le brun. Rendez-vous sur les terrains à partir du 20 juin pour la Copa America. Le Brésil démarrera face au Costa Rica à partir du mardi 25 juin. La compétition se déroule cette année aux Etats-Unis.

Paris sportifs : Lucas Paqueta visé par une enquête, les images qui font mal

Attention les secousses. C’est une affaire qui tourmente le Royaume Uni. Lucas Paqueta, international brésilien de West Ham, est dans le viseur de la Fédération anglaise. L’ex-joueur de l’Olympique lyonnais risque très gros après son implication dans une affaire de paris sportifs.

Les joueurs de football professionnel, ainsi que leur entourage proche, sont interdits de paris sportifs. Trop de conflits d’intérêts possibles. Visiblement, certains joueurs ne sont pas au courant ou en font fi.

Depuis ce jeudi, Lucas Paqueta, 26 ans, est accusé d’avoir truqué plusieurs matchs de Premier League en 2022 et 2023. Quatre matchs sont particulièrement soupçonnés. Avec des actions de jeu où le joueur aurait « intentionnellement cherché à recevoir un carton de l’arbitre ». Le but ? Faire gagner beaucoup d’argent à des proches. Un curieux intérêt quand on connaît les émoluments énormes que touchent l’ex-Lyonnais.

Comme d’habitude désormais, le tribunal populaire est à pied d’oeuvre sur les réseaux sociaux. Les internautes mènent l’enquête de leur côté et ont retrouvé certaines séquences qui prêtent à confusion. On y voit Lucas Paqueta commettre de curieuses fautes, qui peuvent paraître intentionnelles à la lumière de l’affaire. La justice fera son travail.

Sa carrière est donc sérieusement en suspens. Selon le Daily Mail, Lucas Paqueta risquerait une suspension de 10 ans ! Le média anglais se base sur la jurisprudence de l’affaire d’un autre joueur anglais tombé pour avoir truqué des matchs.

Dans le cas d’une telle sanction, oui, ce sera la fin définitive de sa carrière. Un artiste du ballon rond qui mettrait fin à sa carrière pour cette raison, ce serait du jamais-vu. Même si en handball, l’affaire Nikola Karabatic avait bien sûr fait énormément de remous.

Reste à savoir ce que sera la défense du joueur brésilien, plutôt habitué à l’attaque sur les terrains. Dans un post Instagram, il clame son innocence. Il a aussi reçu le soutien de son club. Lucas Paqueta a jusqu’au 3 juin pour répondre organiser sa défense et apporter ses éléments à la Fédération anglaise.