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Les émotions fortes de Florian Genton (beIN sports) au moment de féliciter Enzo Genton

Un but qui lance une carrière. Entré en cours de jeu face à Ajaccio (3-0), vendredi soir, le numéro 60 Enzo Genton a inscrit le dernier but du match dans les arrêts de jeu. De quoi rendre très fier, son oncle, Florian Genton, présentateur sur beIN sports, diffuseur de la Ligue 2.

Séquence émotions. Florian Genton n’avait « plus les mots« , comme il l’écrit lui-même sur X. Un oncle très fier de son neveu, jeune joueur professionnel du FC Lorient.

« Franchement, Enzo, je te le dis, mille mercis ! T’es un exemple pour tous tes cousins, t’es poli, t’es carré, t’es droit, t’es travailleur, t’as une passion c’est le foot, t’as eu ton BAC sans difficultés il y a quelques semaines… T’es une vraie locomotive pour tous tes cousins, t’es un exemple extraordinaire à suivre.« 

Puis il ajoute : « C’est très familial, mais c’est entre nous, une pensée pour papou, mon père, ton grand-père… On t’a vu les doigts levés, on sait que tu y penses très fort ce soir. » Un bel hommage.

Le club breton a réalisé la bonne opération de cette 7e journée de L2, en battant un adversaire pour la montée, l’AC Ajaccio (3-0). Le FC Lorient remonte à la 3e place du classement.

Omar Da Fonseca se met à la chanson, en hommage à Didier Roustan

La vague d’émotions suscitée par le décès des suites d’une maladie du journaliste sportif Didier Roustan à l’âge de 66 ans a généré une pluie de réactions et d’hommages. Le dernier en date est celui du commentateur de beIN Sports, Omar Da Fonseca.

Nouvelle envolée lyrique pour Omar Da Fonseca. Cette fois, pas pour commenter un match de football. Un fond sonore, un prompteur lu à la lettre et le voilà parti pour cette séquence hommage à Didier Roustan.

Sur beIN Sports, l’ex-international argentin (années 80) commence par un « il y a des prénoms qui sont des signatures : Didier est de ceux-là« .

Il poursuit : « On peut le traduire par celui qui est désiré, aimé, donc aimable (…) 66 ans d’éternité à jamais gravé dans chaque brin d’herbes où un ballon peut rouler, raconter, espérer, rassembler. 66 ans de rêveries, d’utopie, de générosité, d’humilité, de douce révolte. Dans la symbolique des nombres, 66 est le chiffre de l’harmonie, du dévouement, de l’amour inconditionnel. Pour cette raison, s’il en fallait juste une, tu ne pourras jamais mourir Didier. Jamais.« 

Avant de pousser la chansonnette en espagnol… Magnifique.


Pour revoir l’hommage du journaliste d’Entrevue à son confrère Didier Roustan dans l’émission Le Dèj Foot (Twitch/Kick/X/TikTok), cliquez ci-dessous :

« beIN tue la L2 », match arrêté, balles de tennis : la Ligue 2 va-t-elle perdre son diffuseur ?

Les supporters de clubs de Ligue 2 sont fous de rage depuis le changement de programmation des matchs de 2e division de football, avec un multiplex le vendredi soir. Grève des chants, banderoles hostiles à beIN Sports, tags des cars de production AMP Visual TV, actes de violence, nouveau week-end tristement animé sur les pelouses de L2.

26 minutes d’arrêts de jeu lors de Lorient-Grenoble, ce samedi après-midi… Les téléspectateurs qui se connectaient furtivement sur beIN Sport à cette heure-là n’ont pas dû bien comprendre le pourquoi du comment d’autant de minutes supplémentaires.

Alors que le coup d’envoi du match Lorient-Grenoble devait avoir lieu à 14h30, ce samedi, deux cars de production audiovisuelle aux abords du stade ont été pris pour cible : actes de violence, tags et injures. Le prestataire a donc décidé de réduire la production à la portion congrue, 2 caméras sur 8 et pas de direct d’avant-match.

Par la suite, de façon coordonnée, les supporters des deux clubs se sont mis à jeter des balles de tennis sur la pelouse. Des actes identiques à ceux de la 1ère journée de championnat, comme ici lors de Metz-Bastia.

Déjà vu sur d’autres matchs, des banderoles demandent « le foot, le week-end, à des horaires décents« . Certains supporters ont aussi utilisé des lasers pour viser en permanence les caméras de beIN. La guerre est déclarée entre les supporters des clubs et le duo LFP+beIN.

Mais on se demande aussi comment autant de balles de tennis ont pu passer le seuil des fouilles de sécurité à l’entrée du stade… Le match a donc été arrêté momentanément à la 25e minute de jeu. Triste spectacle.

La LFP et beIN Sports ont rapidement communiqué au sujet de ces incidents. « Bein Sports condamne avec la plus grande fermeté les actes de violence perpétrées ce matin à Lorient , dont ont été victimes notre partenaire de production et nos collaborateurs et qui n’ont aucune place dans le football et dans une société civilisée. beIN Sports soutient les clubs et les communautés à toutes les échelles du football français depuis plus d’une décennie, en fournissant une qualité de diffusion de premier plan et des investissements considérables pour aider à promouvoir et à développer les ligues françaises – souvent lorsqu’il n’y avait aucun autre soutien », estime le diffuseur qatari, qui a investi 40M€ annuels pour toute la L2 (contre 30M€ pour les deux premiers choix précédemment), un montant bien supérieur au dernier appel d’offres.

BeIN poursuit avec une importante mise en garde« belN SPORTS travaille avec les autorités compétentes pour s’assurer que des mesures appropriées seront prises à la suite de ces attaques, tout en étudiant pleinement sa position en ce qui concerne son partenariat de diffusion en cours ».

De son côté, la Ligue a axé sa communication sur la nécessaire sécurité aux abords des stades : « La LFP et Bein Sports ont confirmé vendredi la tenue d’une réunion avec les représentants de l’ANS pour faire le point de la situation. La LFP et Bein Sports sont convaincus que les clubs font le maximum pour veiller à la sécurisation des personnes et des biens afin que les équipes de production puissent travailler dans de bonnes conditions ».

La Ligue 1 pour 11,80€ par mois, c’est possible !

Stupeur pour les fans de football en France. Après le fiasco des droits TV, après le prix choc de DAZN (29,99€) par mois sur un an pour visionner 8 matchs de L1 sur 9 chaque week-end, ils apprennent aujourd’hui qu’il est possible de voir tout le championnat français pour seulement 11,80€ par mois. Explications.

Un épisode de plus dans l’interminable feuilleton des droits TV : « The Ligue 1 Pass« . Vous l’avez compris, cet abonnement et ce tarif avantageux ne concernent évidemment pas les Français.

La Ligue 1 s’exporte et se propose au public britannique, anglais et irlandais plus précisément. Avec ce pass L1, ils pourront bénéficier de la totalité des matchs de première division française contre « seulement » 11,80€. De quoi faire rêver les téléspectateurs français… Contraints de payer au minimum 29,99€ pendant 12 mois pour DAZN, pour 8 matchs sur 9 de L1, la Betclic Elite (basket) et des sports de combat. La note a toujours dû mal à passer… Et le faible nombre d’abonnés estimé pour l’instant chez DAZN France en atteste.

En allant sur le site Ligue1Pass.tv, les Anglais et Irlandais pourront donc regarder 100% de la L1.

Ce tweet, très commenté, fait sourire (jaune) les Français : « Le Pass Ligue 1 : Votre nouveau domicile pour la Ligue 1 McDonald’s au Royaume-Uni et en Irlande ! Regardez 100 % des matches de Ligue 1 McDonald’s et des tonnes de contenu exclusif maintenant », ce sera « gratuit pour la 2e journée puis 9,99 £/mois (environ 11,80 €) à partir de la 3e ».

Le point complet sur la reprise de la Ligue 1 (horaires et diffusions)

La Ligue 1 fait son grand retour ce soir à partir de 20h45 au stade Océane du Havre. Le champion en titre, le PSG, se déplace chez des Havrais, 17e budget de L1. Les détails de ce premier week-end football.

Tout change en Ligue 1, ou presque. Et pas forcément dans le bon sens. Alors que les stars ont fui le championnat, Kylian Mbappé faisant désormais les beaux jours de LaLiga, les téléspectateurs doivent s’abonner à nouveau diffuseur afin de regarder les matchs de leurs clubs préférés.

DAZN (prononcez « DaZone ») est le nouveau venu. Après avoir remporté les enchères (450M€) pour 8 des 9 matchs de chaque journée, le diffuseur s’apprête à passer sous les regards du grand public. Et vu le boycott lancé sur les réseaux sociaux, cela risque de ne pas être tendre.

Pas d’émission d’avant match, ni de débrief, pas de consultant sur 5 des 8 matchs diffusés, la Ligue 1 passe au low cost. Et les téléspectateurs ne semblent pour l’instant pas chauds à l’idée de débourser 29,99€ par mois (engagement d’un an pour un championnat qui se joue sur 10 mois). Les clubs, eux, recevront en moyenne 60% de revenus télé en moins par rapport aux dernières saisons… Une dégringolade financière catastrophique.

Pour cette première journée, Le Havre reçoit le PSG sur DAZN (vendredi, 20h45), puis il faudra zapper sur Bein Sport, samedi à 17h, pour assister à l’affiche Brest-OM. Ensuite, tout sera sur DAZN : Monaco-ASSE (samedi, 21h), Auxerre-Nice (dimanche, 15h), Montpellier-Strasbourg (17h), Toulouse-Nantes (17h), Angers-Lens (17h) et Rennes-OL (20h45).

Reprise Ligue 1 : Pas d’émission, journalistes décriés, prix repoussants, vague de mécontentement contre DAZN

À 48 heures de la reprise du championnat de Ligue 1, l’heure est au mécontentement. Un sport très français, mais quand même… Entre le prix d’abonnement élevé, le départ des stars du championnat, le manque d’argent des différents clubs et le manque de concurrence, le football français vit de sombres heures.

Il est loin le temps des Neymar, Messi et Mbappé. La Ligue 1 ne fait plus rêver. Et s’attire les foudres des fans de football. Car depuis juillet, on le sait (enfin), c’est DAZN (prononcez DaZone) qui diffusera principalement le haut du panier du football français.

L’entreprise se veut depuis dix ans « le Netflix du sport », il faut donc débourser un abonnement pour regarder du sport. Pourquoi pas. Mais en France, leur catalogue n’est pas extensible : des sports de combat (MMA-PFL, Kickboxing-Glory), la Betclic Elite (basket), la Ligue des Champions féminine et donc, la L1.

En clair, vous avez à débourser 14.99€/mois (engagement d’un an) pour un seul match de L1 (19.99€ sans engagement), pour regarder uniquement une rencontre parmi les matchs du dimanche à 17 heures… Ou 29.99€/mois (engagement d’un an) pour tous les matchs de L1 (39.99€/mois sans engagement).

Pour avoir le match phare du dimanche soir, 20h45 ? Il faudra alors posséder l’abonnement à Bein Sport à 15€. Prix minimum, tout compris, 45€, donc, afin de pouvoir regarder un championnat sans star et sans concurrence pour le PSG.

« Quelle arnaque sérieux, une honte« , « les revendeurs d’IPTV se frottent les mains« , voilà ce que l’on peut lire de plus poli sur les réseaux sociaux ou écouter dans les vestiaires de football en cette période de reprise. Un hashtag #BoycottDAZN a même fleuri sur X récemment. La fronde est en marche.

Le problème général vient aussi des annonces de la mise en place de la diffusion de la Ligue 1 : toujours plus low cost. 5 matchs sur 8 seront diffusés sans l’avis de consultants sur place. Pas d’émission debrief, pas de 4K (en 2024 !), pas de multiplex, pas de sonorisation des arbitres. Régression totale à tout niveau.

Pour information, si les Français râlent, à l’étranger, ils pourraient en faire autant : en Espagne, l’abonnement à la Liga coûte 62€ (MovieStar et DAZN). En Allemagne, la Bundesliga est à 65€ par mois. En Angleterre, la Premier League coûte 69€. Oui, chez eux, les stars sont présentes et la qualité de jeu, en quelque sorte garantie…

Les journalistes et consultants qui viennent de rejoindre au compte goutte l’expérience DAZN France en prennent aussi pour leur grade. À commencer par Walid Acherchour, l’éditorialiste de Winamax TV et RMC, avait vivement critiqué le choix du diffuseur DAZN… avant de rallier leurs rangs. Et de supprimer son tweet disponible ci-dessous.

« Si on doit reprendre la saison sans chaîne… » L’étonnante interview de Jean-Pierre Caillot (Reims)

Le football français fonce dans le mur. S’il ne s’est pas déjà encastré dedans. L’interview ce matin de Jean-Pierre Caillot (président du Stade de Reims) dans le journal L’Equipe le confirme. Pour lui, le championnat pourrait même reprendre sans diffuseur…

Une interview surprenante. C’est le moins que l’on puisse dire. Dans les colonnes de L’Equipe, le boss du Stade de Reims analyse la situation des droits TV, lui qui fait partie du collège des présidents de Ligue 1 à la Ligue de Football Professionnel (LFP).

S’il fallait résumer la situation : la Ligue n’a aucune solution concrète, ni viable sur la table. À un mois et 8 jours de la reprise officielle du championnat de France. Peut-on envisager ainsi une décision définitive d’ici la fin de semaine ? « J’espère, mais pour décider, il faudra avoir des choses sur la table. Ce qui au moment où on se parle, n’est pas encore le cas », clarifie Jean-Pierre Caillot.

Le président de Reims pousse le bouchon encore plus loin : « Si on doit reprendre la saison sans chaîne, pendant une ou deux journées, on assumera. Les gens iront au stade pour voir les matches. Et on patientera. Je pense que c’est une erreur de démarrer quelque chose dans la précipitation. »

L’erreur serait de démarrer la L1 sans diffuseur. Le football français paye son manque de spectacle, le départ des stars Messi, Neymar et Mbappé en deux ans, le manque de concurrence pour jouer le titre, le faible niveau de l’OM (seul concurrent crédible au PSG dans les coeurs) depuis des années ou encore le dramatique choix d’offrir les droits à Mediapro en 2018.

Dans cette interview, Jean-Pierre Caillot estime qu’il existe « une option 3 avec BeIN Sports » alors que la chaîne n’a pas fait la moindre proposition depuis novembre. Une option sans offre est-elle vraiment une option ? De même, il considère Canal+ comme un ennemi du football français alors qu’il l’a maintenu sous perfusion pendant des années. C+ a tout à fait réussi sa mue depuis quelques années, se régénérant avec les droits de la F1 ou de la Ligue des Champions.

Parmi les propositions pour réduire la voilure, Jean-Pierre Caillot suggère d’arrêter la coûteuse VAR (arbitrage vidéo). Un retour en arrière. On repasse à vélo après avoir conduit un bolide, c’est dans l’ère du temps. La VAR a pourtant prouvé statistiquement son efficacité, réduisant drastiquement le nombre d’erreurs d’arbitrage dans les situations clés d’un match.

Aucun mea culpa de Jean-Pierre Caillot, notamment concernant la gestion hasardeuse (siège de la LFP, salaires, primes, etc.) de la Ligue, mais en revanche, il rappelle que tout le monde va devoir se serrer la ceinture. Drôle de façon de penser.

Certes, un chef d’entreprise a le droit de restructurer son entreprise comme il l’entend. Là, on parle de restructurer le football français, encadré on le sait par la FFF, donc l’Etat. Bon courage. Les clubs pourraient peut-être déjà s’occuper de leurs masses salariales en rapport à leurs résultats ou au nombre colossal de contrats professionnels ? Imposer un salary cap ne devrait-il pas être à l’ordre du jour puisqu’il faut se serrer la ceinture ?

Enfin, Jean-Pierre Caillot enterre la piste DAZN, la chaîne de contenus en streaming de l’homme d’affaires Len Blavatnik, épaulé par de nombreux investisseurs. « Il faudrait que les garanties soient
beaucoup plus certaines que celles que l’on a aujourd’hui. Il faudrait avoir des garanties de l’actionnaire majeur, ce qui n’est pas le cas. Aujourd’hui, les garanties apportées ne satisfont pas les présidents de club.
»

Si les présidents de club n’ont pas accès à l’actionnaire majeur, à qui parlent-ils depuis des mois ? Puisque DAZN reste une des rares chaînes à avoir réellement déposer une offre intéressante dés 2023.


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Et si c’était Warner Bros Discovery ? Sorti du chapeau ce matin lors du Conseil d’administration de la Ligue de Football Professionnel (LFP), le diffuseur payant Max pourrait être celui qui proposera les matchs de Ligue 1 à partir du 17 août ? Rien de sûr.

27,99 euros par mois, c’est l’addition salée promise aux fans de football pour la saison prochaine. En plus des dégâts causés par la baisse du montant des droits TV aux clubs de football professionnel, il y a les dégâts causés aux consommateurs de football.

Le football français est dans de beaux draps… Incapable séduire les diffuseurs après les départs successifs des stars Kylian Mbappé, Neymar Jr et Léo Messi, la LFP se tournerait en dernier recours vers Warner Bros Discovery, propriétaire d’Eurosport, et sa plateforme de streaming MAX. Ce sont en tout cas les dernières informations dévoilées par Arthur Perrot (RMC).

Une nouvelle donne qui ne séduit réellement ni les clubs, ni les téléspectateurs. Pour ces derniers, il faudra débourser une somme trop importante pour s’abonner. Le spectacle proposé, avec un PSG qui fait cavalier seul et d’autres clubs bien moribonds, vaut-il cette dépense mensuelle ? Là est la question.

Mais pour les clubs, l’attente des droits TV est aussi très mal vécue. Car le montant devrait finalement être inférieur aux saisons précédentes ! Notamment car le fonds d’investissement CVC commence cette saison à récupérer les millions investis. Une hausse sensible des droits TV avait été promise ces dernières années…

Rassurez-vous, rien n’est encore joué ! Suite à ce conseil d’administration qui s’annonçait décisif, rien n’a été acté. Officiellement, la L1 n’a toujours pas de diffuseur. À 1 mois et 12 jours du top départ.

Alors quid de BeIn Sport, annoncé régulièrement parmi les diffuseurs potentiels ? Quid d’une réaction de dernière minute de Canal+ pour obtenir au buzzer les matchs du samedi ? DAZN (prononcez « DaZone ») payerait alors pour les matchs du vendredi et du dimanche ? Sacré bazar.

La plupart des présidents de clubs seront à Hambourg ce vendredi soir pour assister au match de l’équipe de France contre le Portugal en quart de finale de l’Euro 2024. Prochaine réunion des administrateurs de la LFP, samedi à 17h. Promis, ils vont trancher…