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« Si tu marques, tu pourrais faire un M ? » : l’émouvant hommage de Bradley Barcola après son but

Il est entré, il a marqué. Et il n’a pas manqué de célébrer. Bradley Barcola, nouvelle star du football français, a inscrit le 4e but des Bleus face à Israël, jeudi soir. De quoi faire une belle dédicace à un enfant gravement malade.

Bradley Barcola, 8 buts en 12 matchs cette saison, a fait les choses bien. Suite à la demande de Mathias, atteint d’une grave maladie, de faire un M, l’attaquant du PSG et de l’équipe de France s’est exécuté, relayant même l’image sur son compte Instagram.

Dans cette vidéo, après l’avoir remercié pour le maillot du Paris-SG, Mathias l’interpelle : « Si tu marques, tu pourrais faire un M comme moi ? Et merci encore pour la signature !« 

Après son but inscrit face à Israël, hier soir, Bradley Barcola a donc offert un dernier grand moment de plaisir et d’émotions avant que Mathias ne nous quitte. Footballeur au grand coeur. Merci !

Entrevue envoie ses sincères pensées au garçon et à sa famille.

Un joueur mystère est arrivé en équipe de France, le défilé « Fashion week » des Bleus

Didier Deschamps attend sûrement l’homme providentiel chez les Bleus, après la retraite d’Antoine Griezmann et l’absence de Kylian Mbappé. Il l’a déjà trouvé ! Un homme mystère s’est présenté ce matin à Clairefontaine pour le traditionnel rassemblement de l’équipe de France de football.

Sous quelques gouttes de pluie, les Bleus ont défilé un par un à Clairefontaine. L’habituelle arrivée des chauffeurs nous permettant ensuite de décerner la palme de l’accoutrement le plus spécial du jour !

Alors que Jules Koundé remportait régulièrement le prix « Fashion week », notamment grâce à sa robe du plus bel effet, il s’est fait battre à plat de couture ce lundi.

Le défenseur du FC Barcelone avait choisi la sobriété en cet automne 2024-2025. La météo l’a sûrement refroidi… Ce n’est pas le cas de Bradley Barcola, qui voulait visiblement marquer les esprits : blouson en jean, pantalon ample, chaussures noires et béret « à la Française ».

L’ailier du Paris-Saint Germain avait mis tous les atouts de son côté pour l’emporter à l’applaudimètre. Mais c’était sans compter sur un solide défenseur de Premier League.

Le clou du spectacle, c’était lui, Ibrahima Konaté. Le joueur de 25 ans de Liverpool, débarque en cagoule fermée ! Rien que ça. Comment fait-il pour voir ? Pourquoi ce choix ? Autant de questions qui resteront pour l’instant sans réponse.

Merci pour le show, on espère en prendre également plein les yeux sur la pelouse, jeudi face à Israël et en Belgique, lundi soir.


Pas de conférence de presse pour Didier Deschamps ce lundi, grande déception pour les médias qui souhaitaient uniquement lui parler du cas Kylian Mbappé…! Alors le sélectionneur a livré ce qu’il avait à dire via une « interview » maison, sur la chaîne YouTube de l’équipe de France.

Nice 1-1 PSG : Paris à deux vitesses, Monaco prend la tête, Bradley Barcola frustré

Encore un Paris-SG a deux vitesses, ce dimanche soir, en clôture de la 7e journée de Ligue 1. Très décevants en première période, bousculés par des Niçois qui avaient deux jours de moins de récupération, les Parisiens ont couru après le score et sauvé un point…

Des maux de tête pour Luis Enrique ? Son jeu de possession à défaut d’être un jeu de préparation vers des actions de but deviennent toujours plus stérile. Les équipes adverses lisent de mieux en mieux les schémas de jeu parisiens. L’OGC Nice en est le dernier exemple. L’équipe de Franck Haise, décevante à Rome jeudi, a pu s’appuyer sur beaucoup de mouvements, un Tanguy Ndombélé de retour au top et à une belle efficacité pour gêner l’ogre parisien.

L’ouverture du score niçoise, sur un tir d’Ali Abdi dévié par Nuno Mendes (39e), est alors plutôt justifiée. Les Aiglons procèdent en contre, avec un bloc bas idéal pour pointer du doigt le manque de profondeur du PSG, et des attaquants très intelligents.

Après la pause, Luis Enrique enterre définitivement le moral de son seul attaquant de pointe de l’effectif (en l’absence de Gonçalo Ramos), Randal Kolo-Muani. Quasi-taulier chez les Bleus, le voilà toujours plus reléguer au fond du tiroir à idées de son coach espagnol. Certes, il n’a pas brillé en première période. Mais utiliser Randal Kolo-Muani en attaquant de position, en pivot dos au but, englué dans l’entonnoir, c’est mission impossible vu ses qualités.

Le Coréen Kang-In Lee le remplace. Et en effet, Paris ne peine à faire mieux qu’en première période. Deux fois plus d’occasions, deux plus de moments chauds devant le but de Marcin Bulka. Et finalement, bis repetita du premier but, c’est un tir contré assez inoffensif (pied droit !) de Nuno Mendes qui finit au fond des filets (1-1, 52e).

Interrogé après la rencontre, l’ailier du club de la capitale Bradley Barcola n’a pas tergiversé : « La première mi-temps, on n’était pas dedans. La seconde, c’était beaucoup mieux. C’est toujours difficile de jouer ici« , avant d’ajouter : « ce qu’il manque au PSG ? Je ne sais pas, plus d’envie peut-être« .

Paris ne perd pas. C’est déjà ça. Mais Monaco a encore gagné, à Rennes cette fois. L’ASM est le nouveau leader de cette L1, deux longueurs devant le PSG.

Lyon, vainqueur de Nantes (2-0), poursuit sa remontée. L’OL est à quatre points de Marseille, qui cale après son nul à domicile face à Angers (1-1).

Dans le bas de tableau, belle opération de l’ASSE, vainqueur de l’AJ Auxerre. Montpellier et Toulouse, encore battus, sont relégables.


PSG 1-0 Gérone : Paris dominateur et vainqueur in extremis (Ligue des Champions)

Cette deuxième soirée de Ligue des Champions de la semaine a réservé quelques surprises. Le Paris-Saint Germain a eu toutes les peines du monde à inscrire un petit but au Parc des Princes pour vaincre l’équipe espagnole surprise de la saison dernière, Gérone. Alors que Manchester City a été accroché sur son terrain par l’Inter Milan (0-0). Le Borussia Dortmund s’en sort facilement à Bruges (0-3).

Certains pourront parler de victoire miraculeuse tant elle s’est dessinée en toute fin de match, d’autres estimeront que Paris a largement mérité ses 3 points. Deux lectures possibles de ce premier match de Ligue des Champions nouvelle formule.

Largement dominateurs en termes d’occasions de buts, 22 contre 3 pour les Espagnols, les Parisiens de Luis Enrique ont manqué parfois de rythme, parfois de réussite (à l’image de Bradley Barcola et Ousmane Dembélé), parfois d’un attaquant de surface (Asensio est d’ailleurs sorti sur blessure avant la pause).

Quand on possède de fantastiques dribbleurs, que ce sont les ailiers du Paris-SG, on sait que les trouver dans un mauvais soir est une possibilité. Le dribble n’est pas une science exacte. Rien n’allait vraiment pour les deux compères mercredi soir face à Gérone. Dribbles manqués, tirs arrêtés par le portier adverse ou par la barre transversale, contre-attaque très mal gérée à la 54e minute de jeu…

Au lieu de s’excentrer légèrement pour décaler ensuite son coéquipier, Ousmane Dembélé fonce dans l’axe et s’emmêle les pinceaux pour finalement être repris sans même avoir tiré au but… Rageant.

Dans le jeu, Paris continue de montrer un visage intéressant, même si l’opposition Ligue des Champions lui montre que la Ligue 1, encore une fois, ne l’aide pas à s’étalonner chaque week-end.

Alors que l’on entamait les arrêts de jeu, il a fallu finalement une grossière faute de main de Gazzaniga, le gardien argentin de Gérone, consécutive à un centre tendu de Nuno Mendes pour délivrer le Parc des Princes (1-0, 90e). Paris prend les trois points. C’est l’essentiel dans ce nouveau championnat européen où les places qualificatives directement pour les 8e de finale seront chères.

Après Lille, battu par le Sporting Portugal (2-0) mardi, et le PSG mercredi soir, c’est au tour de Monaco, face au FC Barcelone (jeudi, 21h) et à Brest, à Guingamp face à Sturm Graz (18h45) d’entrer en lice, ce soir.

France-Italie (1-3), Ligue des Nations : Les réactions de Didier Deschamps, Antoine Griezmann et Bradley Barcola

Forte déception chez les Bleus après une telle contre-performance à domicile. L’équipe de France de Didier Deschamps ne s’attendait pas à une défaite (1-3) face à l’Italie pour entamer sa campagne 2024-2025 de Ligue des Nations. Les réactions.

Bradley Barcola : « On a très bien commencé. Au fur et à mesure, je pense qu’on a relâché nos affaires et on a pris ces buts. On a été mis en difficultés par ce bloc bas. J’ai bien commencé, j’ai senti que le bloc reculait, faisait des prises à doigt ou à trois. Ça nous a gêné, moi et Michael (Olise). Des points positifs ? J’ai marqué mon premier but en équipe de France, en plus à Paris. On ne peut pas enchaîner deux défaites de suite, on va bien se préparer pour lundi (face à la Belgique). »

Antoine Griezmann (sur TF1) : « Ils ont été meilleurs, on n’a pas été bons dans le pressing, ni défensivement. Bien travailler et revoir ça tactiquement. Comment l’expliquer ? Je ne sais pas. Pourtant, on avait bien commencé, beaucoup d’envie et un bon pressing. On n’a pas su s’arranger tactiquement quand leur défenseur central est venu à l’intérieur en jouant 6. On a eu du mal sur cet aspect là tactiquement et ça nous a posé beaucoup de problèmes. »

Didier Deschamps : « Il faut être factuel. On a bien débuté, on a fait de bonnes choses. Mais on a pas eu la capacité à maintenir sur tout le match. Dans l’effort et le contre-effort, on a eu un adversaire qui nous a fait mal, nous a perforés sur des erreurs de notre part. C’est le haut niveau. Même si je savais très bien avant le début des rassemblements qu’avec la situation des un et des autres, on est loin d’être à notre maximum individuellement. J’ai eu des erreurs individuelles et collectives. C’est une question de placement. Dans les duels dans la deuxième partie de la première période, on en a perdu un peu trop, on a fait des erreurs à la récupération pour la reperdre derrière. C’est donner des munitions à l’adversaire. Maintenir l’adversaire sous pression pendant 90 minutes, on n’en avait pas les moyens. Mais dans ce cas là, il vaut mieux être plus bas et compact.« 

Le résumé et l’analyse de la rencontre à lire sur Entrevue.fr

Les Bleus manquent leur rentrée, faut-il s’inquiéter ?

L’équipe de France de Didier Deschamps avait rendez-vous avec l’Italie, ce vendredi soir, au Parc des Princes, pour leur premier match de Ligue des Nations, compétition sans saveur mais obligatoire… Et tout ne s’est pas déroulé comme prévu. Analyse et récap.

Les Bleus sont-ils rassasiés ? On serait en droit de le penser après la terne prestation de l’équipe de France de football face à l’Italie (1-3). Face à une équipe en difficultés depuis des années, même si la squadra azzura a remporté l’Euro 2021, les hommes de Didier Deschamps voulait repartir fort, après l’échec en demi-finale de l’Euro 2024.

D’entrée de jeu, ils profitent d’une mauvaise passe en retrait italienne pour ouvrir le score. Très exactement après 12 secondes ! Bradley Barcola surfe sur ses derniers mois fantastiques pour permettre à son équipe de mener au score. Malheureusement, ce fut le seul et unique pressing réussi de l’équipe de France ce soir…

Si le match ne pouvait pas mieux commencer, les supporters avaient hâte de voir le nouveau système et les essais de Didier Deschamps. Jonathan Clauss latéral droit et Théo Hernandez à gauche, deux latéraux offensifs, pas dans les habitudes du sélectionneur. Une défense centrale William Saliba-Ibrahima Konaté, laissée à l’abandon, impossible de leur en tenir rigueur. Un milieu à deux, N’Golo Kanté et Youssouf Fofana, loin d’être impérial. Trois éléments offensifs : Bradley Barcola, Antoine Griezmann et la nouvellé pépite Michael Olise. Pour épauler Kylian Mbappé en pointe.

Face à une opposition correcte, sans être géniale, qui enregistrait notamment le retour de suspension longue durée de Sandro Tonali, la France a vite pris l’eau.

Jonathan Clauss a sombré, alors que les ailes italiennes ne sont pas vraiment leur point fort. N’Golo Kanté a été l’ombre de lui-même, tandis que Youssouf Fofana est clairement fautif sur le troisième but italien. Mettre en valeur les qualités de Kylian Mbappé en le laissant dans l’entonnoir adverse, seul en pointe, reste une interrogation. Et un défi.

Devant, si Michael Olise possède un talent fou et un vrai toucher de balle, sa relation avec Kylian Mbappé n’a pas été flagrante. Et l’attaquant du Real Madrid, dans un rôle d’avant-centre, reste une énigme.

Les entrées en jeu de Manu Koné, nouveau venu lui-aussi, Marcus Thuram, Ousmane Dembélé ou Warren Zaïre-Emery n’ont pas changé la donne. Incapables de défendre ensemble en bloc, les Bleus se sont fait transpercer trop souvent.

Si elle ne pouvait pas grand chose sur l’égalisation fantastique de Di Marco, après un une-deux splendide avec Tonali, l’équipe n’a pas montré d’adaptation tactique aux problèmes du soir. Et une incapacité folle à se transcender pour remonter la pente.

Est-ce un problème physique, puisque la saison vient tout juste de recommencer ? On connaît l’importance du niveau physique optimal des Bleus dans leurs bons résultats.

À venir sur Entrevue, les réactions de Didier Deschamps et de plusieurs joueurs.

Paris trop fort pour Lille, Barcola nouvelle star

Nouveau succès du Paris-Saint Germain en Ligue 1, en clôture de cette 3e journée. Dans le choc entre équipes européennes, le PSG est allé gagner sur la pelouse du LOSC (1-3), même si les Lillois les ont fait trembler quelques minutes (seulement).

Après un mois d’août palpitant et magnifique pour les Lillois, avec la qualification en Ligue des Champions, c’est le Paris-Saint Germain qui se présentait au stade Pierre Mauroy pour le premier choc de ce championnat de Ligue 1.

Et force est de constater qu’encore une fois, en L1, il y a le PSG et les autres. Alors que le Paris-SG a retrouvé pour la première fois depuis plusieurs saisons un magnifique jeu collectif, le LOSC devait jouer au presque que parfait pour espérer. Mais comme Paris possède des détonateurs fabuleux comme Bradley Barcola, nouvelle star du championnat avec Mason Greenwood, ou Ousmane Dembélé, très vite, les spectateurs ont pu se rendre compte de l’écart entre les deux équipes.

À la demi-heure de jeu, Ousmane Dembélé, dans ses oeuvres, réalise un crochet ravageur en pleine surface. Penalty transformé avec délice par le Portugais Vitinha (0-1, 31e).

Par la suite, Paris prend confiance, Lille craque. 36e minute de jeu, Bradley Barcola s’appuie sur Marco Asensio et file en profondeur. La défense nordiste ne le reverra pas, le break est fait. Quatre buts en trois matchs pour le nouveau chouchou des supporters parisiens (0-2, 36e).

En seconde période, Paris gère, Gianluigi Donnarumma se montre très vigilant… Deux buts lillois seront invalidés logiquement par la VAR. Alors même si l’intenable Edon Zhegrova réduit le score (78e) et que Luis Enrique fait beaucoup tourner son large effectif, c’est Randal Kolo Muani qui redonne plus d’air au PSG d’une tête piquée, consécutive à un centre de Désiré Doué (1-3, 92e).

Seule équipe à trois victoires en trois matchs, Paris est leader de L1 et ne compte surtout pas laisser la place…

Mal engagé, le PSG sauvé par ses 3 Bleus, l’OM démarre à Brest cet après-midi

Ça y est, la Ligue 1 est lancée. Le champion de France en titre démarrait au stade Océane du Havre, vendredi soir, sous les yeux des téléspectateurs (peu nombreux encore, d’après certains journalistes) du nouveau diffuseur DAZN.

29,99€ par mois pour visionner 8 matchs de L1 sur 9… Voilà de quoi rebuter beaucoup de fans de football français. Surtout quand on sait que les tarifs annuels d’abonnements dans les stades de clubs professionnels sont souvent bien moins chers que l’abonnement annuel à DAZN.

Mais peu importe si l’éco-système est chahuté par les pirates sur Telegram ou l’IPTV, qui diffusent gratuitement ou pour bien moins cher toutes les chaînes et VOD du monde (et auront toujours une longueur d’avance), le football reprend ses droits. Sur les terrains.

Et malgré un match forcément poussif, le PSG new look, sans Kylian Mbappé mais avec Joao Neves (entré à la mi-temps) ou Willian Pacho (défenseur central équatorien) titulaire, s’en est sorti chez un des deux plus petits budgets de Ligue 1 (1-4).

Rapidement, Paris prend le contrôle du jeu, mais un peu comme la saison dernière, cela ressemble à une possession de balle stérile. Les Havrais sont dans le match. Le PSG tente de faire bouger les lignes adverses.

Première incursion parisienne, premier but, 100% d’efficacité, ça aide à lancer une équipe sur les bons rails. Magnifiquement décalé par Gonçalo Ramos, Kang-in Lee ouvre le score d’un délicieux tir intérieur du pied hors de portée du gardien havrais (0-1, 3e).

Les Parisiens peuvent dérouler leur jeu. Mais pas tant que ça, vu le nombre infime d’occasions de buts qu’ils se procurent… D’autant qu’une mauvaise nouvelle vient de tomber : le très intéressant attaquant portugais Gonçalo Ramos, taclé par derrière, vient de sortir, blessé à la cheville. Il quittera le stade en béquilles et muni d’une botte de protection…

Juste après la pause, les Havrais reviennent avec de belles intentions : sur coup franc, Gautier Lloris, le frère cadet d’Hugo Lloris, est trouvé au second poteau, sa reprise file devant le but et se faufile entre les bras de Gianluigi Donnarumma, impuissant et gêné par une foule de joueurs (1-1, 49e).

Quelques minutes plus tard, sur un contre, Josué Casimir pense même donner l’avantage aux locaux, mais une main est signalée au départ de l’action.

Paris doit réagir pour assumer son statut. Le jeu de possession finit par fatiguer ses adversaires. Mais ce sont surtout les entrées combinées des internationaux français, Randal Kolo Muani puis Ousmane Dembélé et Bradley Barcola, détonateurs, qui vont tout changer.

En attendant les premiers pas de Désiré Doué, le Paris-SG possède les dribbleurs aptes à déstabiliser toutes les défenses. Au moins en L1.

En quatre petites minutes, Ousmane Dembélé de la tête (85e), Bradley Barcola d’un slalom somptueux (86e) et Randal Kolo Muani sur penalty (89e) font exploser la défense adverse, trois buts ! Une fin de match fatales aux Havrais (1-4).

Paris peut avoir le sourire, Luis Enrique aussi, les Parisiens retrouveront leur Parc des Princes face à Montpellier, vendredi 20h45, toujours sur DAZN.

Suite de cette première journée de Ligue 1 ce samedi, avec le choc Brest-OM à 17h sur Bein Sport, puis une belle affiche au stade Louis II, l’AS Monaco reçoit l’AS Saint-Etienne, pour son grand retour en première division.