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Manque de respect, entraînements calvaires, ambiance délétère : Luis Suarez se paye Marcelo Bielsa violemment !

Il a attendu de ne plus jouer en sélection nationale pour tout balancer. L’iconique entraîneur Marcelo Bielsa ne serait pas aussi respecté que ça, notamment à cause de son attitude générale. L’ex-joueur du FC Barcelone, désormais en MLS à Miami, Luis Suarez balance.

Alors qu’il vient à 37 ans de mettre un terme à sa carrière internationale avec l’équipe d’Uruguay (143 sélections, 69 buts), la légende Luis Suarez s’est confiée à DSports Uruguay. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’est pas tendre avec Marcelo Bielsa, coach adulé et respecté. Jusque-là.

Dans cette interview, il charge fort le sélectionneur de l’Uruguay actuel. El Pistolera dans le texte : « Il y a eu des situations qui se sont produites à la Copa América et qui m’ont fait mal, et dont je n’ai pas parlé pour le bien du groupe. Cela va continuer à se produire. Les joueurs vont atteindre une limite et exploser. À la Copa América, certains joueurs m’ont dit : ‘Luis, je vais jouer la Copa América et ensuite, je ne jouerai plus.’ Cela signifie que nous nous approchons d’une situation difficile. Puis, on s’en remet et on revient parce qu’on aime son pays. Nous aimons tous représenter notre pays.« 

C’est un message d’alerte vis-à-vis de l’attitude de Marcelo Bielsa que Luis Suárez délivre au monde : « Lors de ma dernière convocation, certains d’entre nous jouaient aux cartes et le staff de Bielsa se promenait autour de nous et nous regardait comme pour repérer quelqu’un qui jouait aux cartes. Je ne sais pas. Il y avait beaucoup de choses qui ont attiré mon attention. » Selon lui, l’atmosphère est délétère, un flicage permanent et un manque d’humanité.

« Beaucoup de joueurs ont organisé une réunion pour demander à l’entraîneur de nous saluer au moins avec un bonjour. Il n’a même pas dit bonjour. J’ai eu une réunion de cinq minutes avec lui en tant que leader de l’équipe et à la fin, il n’a répondu que par un ‘merci beaucoup’. » Des moments gênants qui montrent toutes les difficultés de Marcelo Bielsa à se comporter avec les autres. Les journalistes en ont régulièrement fait les frais. Un personnage atypique.

Luis Suarez ajoute au sujet du mauvais traitement subi par un coéquipier à l’entraînement : « C’est un manque total de respect. Cela me met en colère. » Poursuivant : « L’harmonie du groupe et l’énergie positive, une bonne séance d’entraînement, conduisent à de bonnes performances. »

Autre épisode très symbolique, Marcelo Bielsa ne souhaitait pas que les joueurs aillent à la rencontre des supporters, en marge d’un déplacement : « Je me suis levé et j’ai dit à l’entraîneur que je respectais cela, mais qu’en tant que capitaine et pour respecter et apprécier les fans, ce que j’ai toujours fait, nous, les joueurs, décidions de nous arrêter et de saluer les fans. Nous sommes descendus du bus, nous nous sommes séparés et avons passé du temps avec les fans. » Curieuse situation.

D’autant que Luis Suarez ajoute la discussion du lendemain, pour finir du contexte : « Le lendemain, nous avons eu une discussion d’équipe et (Bielsa) a commencé à dire des choses sur les Uruguayens qui font ceci et cela. Et puis il a dit : ‘Pour qui joue l’Uruguayen ? Pour le peuple.’ Et je jure que nous avons tous commencé à nous regarder comme pour dire : ‘Pour le peuple ? Hier, vous nous avez demandé de ne pas leur parler. »

Les mots forts de Luis Suarez interviennent un mois après l’annonce officielle de sa retraite internationale. De quoi faire réagir prochainement l’entraîneur de la Celeste ? Certainement. Il sera forcément interrogé à ce sujet dans une prochaine conférence de presse.

Dans ces éliminatoires de la Coupe du monde 2026, l’Uruguay est pour le moment 3e, derrière la Colombie et l’Argentine.

Lamine Yamal béni par Léo Messi ? La série de photos virale

C’est la nouvelle pépite du football mondial. Déjà époustouflant au FC Barcelone, Lamine Yamal, 16 ans, a ébloui le monde avec son but égalisateur face à l’équipe de France mardi soir à l’Euro 2024. Depuis quelques heures, une série de photos de lui bébé refait surface. Surprise…

Lamine Yamal a-t-il été béni par le Dieu du football, Lionel Messi ? Nous sommes en 2007, l’Argentin n’est pas encore l’immense star qu’il est devenu par la suite. Pour la réalisation d’un calendrier caritatif, le joueur du FC Barcelone est mis à contribution afin de poser avec un bébé.

Le photographe ne sait absolument pas qui est ce joli bébé que Léo Messi doit tenir dans ses bras. Cette série de photos a refait surface la semaine dernière. Le papa de Lamine Yamal ayant reposté celle-ci sur son compte Instagram : « le début de deux légendes ».

Avec le but splendide marqué le jeune ailier espagnol, ces photos sont devenues virales. Le monde entier découvre cette folle histoire via les différents médias et réseaux sociaux.

Le fait que Léo Messi pose Lamine Yamal est le fruit du plus grand des hasards. La maman de Lamine avait participé à un tirage au sport, espérant participer avec son fils à ce calendrier pour l’UNICEF. Rien d’autre. La magie du tirage puis du hasard, qui a amené Lamine dans les bras de Lionel a fait le reste. Pour l’éternité.

Le photographe Joan Monfort d’Associated Press raconte même que « Messi n’avait que 20 ans, il ne savait pas trop comment faire pour gérer le bébé, assis dans une bassine. Messi est un garçon plutôt introverti, timide. Il était dans le vestiaire de l’équipe, il arrive et se retrouve à devoir poser dans une autre salle avec un bébé posé dans une bassine. C’était un peu compliqué…»

PSG-Barcelone, sécurité renforcée : les supporters doivent-ils avoir peur ?

Grand spectacle sur la pelouse, peur en tribunes ? Alors que se déroule le quart de finale aller de Ligue des Champions entre le Paris-SG et le FC Barcelone, ce soir, au Parc des princes, les 45 000 personnes attendues doivent-elles s’inquiéter pour leur sécurité ?

« Tuez-les tous », Daesh a posté des menaces via ses réseaux sociaux en début de semaine, demandant de s’atvtaquer à tous ceux qui se rendraient aux matchs de Coupe d’Europe. Pour les premières rencontres, hier soir, à Madrid (Real Madrid 3-3 Manchester City) et Londres (Arsenal 2-2 Bayern Munich), tout s’est passé dans le calme et la sécurité.

Ces publications viennent d’al-Azaim, outil de communication de l’Etat islamique au Khorassan (EI-K), la branche de l’EI en Afghanistan, qui a revendiqué l’attentat de Kerman en Iran en janvier et est soupçonnée d’être derrière celui de Moscou.

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a donc annoncé le renforcement de la sécurité dans la capitale en raison d’une forte « menace » de Daesh. Un match sous haute surveillance, avec sept compagnies de CRS déployées. Ce qui représente autour de 500 policiers. De même, les effectifs de la BAC seront également mobilisés aux alentours du stade, tandis que les brigades des réseaux ferrés resteront particulièrement vigilants dans les transports.

Faut-il éviter de se rendre au stade ? Non, « pour l’heure, il n’y a pas de menace avérée mais prudence et responsabilité est de chaque instant», a déclaré Prisca Thévenot, porte-parole du gouvernement.

« Il est évident que s’agissant d’un moment important comme la Ligue des champions de football, nous avons demandé à la Direction Générale de la Sécurité intérieure (DGSI) de communiquer les informations que nous avions aux autres services des autres pays qui accueillent les quarts de finale », a précisé mardi Gérald Darmanin.

Coup d’envoi de cette rencontre au sommet à 21h.