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Mordu par une vipère pendant sa sieste en montagne (Pyrénées-Atlantiques)

Un accident très rare pour un vacancier malchanceux. Un homme de 49 ans a été mordu, dimanche, par un serpent, alors qu’il était en pleine sieste au niveau du plateau de Sanchèse, à Lescun (Pyrénées-Atlantiques) dans la vallée d’Aspe.

D’après Sud Ouest, qui rapporte les propos des pompiers, ce serait une une vipère aspic qui se serait faufilée sous le t-shirt de l’homme endormi. Ce serpent, qui l’a mordu au niveau du thorax dans son sommeil, est une espèce venimeuse. Son venin peut entraîner la mort.

Mais ses morsures restent très rares, l’animal étant assez craintif. Les circonstances de cette attaque surprennent donc.

Le problème, c’est que la victime de cette vipère a ensuite très mal réagi au venin : les secours, arrivés sur place en hélicoptère, ont constaté une « grosse réaction allergique ». Il a été rapidement transporté vers le centre hôpital de Pau, accompagné par un médecin du SMUR.

« Impact client très fort », 800 000 voyageurs concernés, le PDG de la SNCF inquiet pour ce week-end

Encore une tuile pour l’image de la SNCF vis à vis de ses clients. Les sabotages de cette nuit pourraient paralyser le réseau tout le week-end. Jean-Pierre Farandou, le PDG de la SNCF, est inquiet. 800 000 voyageurs sont potentiellement concernés par cette panne massive.

Jean-Pierre Farandou annonce « un impact client très fort ». Les pannes de cette nuit pourraient engendre de nombreux retards de trains depuis Paris. Les quatre lignes principales de TGV ont été visées par ces attaques, trois lignes sont aussi touchées. Seule celle du sud-est n’a pas subi de dégâts.

Après de telles attaques, aucun doute sur l’intentionnalité de celles-ci. Elles ont été parfaitement coordonnées : trois lieux, trois embranchements. Courtalain pour la ligne Atlantique, Croisilles pour le Nord, Pagny-sur-Moselle à l’Est. Canalisations touchées, câbles de signalisation détruits, il faut désormais réparer.

« Les lieux ont été choisis pour qu’avec un incendie, on prive deux lignes d’un coup », a précisé le PDG de la SNCF. Les travaux sont en cours mais ne pourront être terminés à temps sans dommage pour les clients. Plus de 800 000 voyageurs seraient concernés par des retards ou annulations.

Du côté de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, la présidente, recommande « de ne pas se rendre en gare pour prendre le train ».

Le journaliste de L’Equipe Olivier Ménard a failli être tué !

C’est un fait divers qui a choqué les téléspectateurs de La Chaîne L’Equipe ainsi que l’univers médiatique. Olivier Ménard, le présentateur de l’émission L’Equipe du Soir, a été violemment attaqué dans son hall d’immeuble par un inconnu. Après 10 jours d’ITT, il raconte tout.

Cela aurait pu finir encore plus mal. Olivier Ménard aurait pu mourir. C’est ce que l’on apprend en lisant le témoignage du journaliste de L’Equipe, quelques jours après cette agression, dans son hall d’immeuble à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine), banlieue parisienne pas du tout réputée pour son côté dangereux.

Pour son retour à l’antenne, il raconte les détails de cette attaque surprise, par derrière. Heureusement, il estime ne pas avoir de séquelles psychologiques. Nul doute qu’il regardera désormais derrière lui avant de rentrer chez lui.

« J’ai une petite routine quotidienne. Le matin, je vais au sport, ensuite je fais le déjeuner pour mes filles. Ce lundi-là, après avoir fait mes courses, j’arrive devant mon immeuble, je tape le code de mon premier digicode, je rentre dans le hall et je ne touche pas à la porte qui se referme toute seule. Je me dirige vers le deuxième digicode et là, je sens une ombre qui se rue sur moi et m’enchaîne des gauches et des droites en pleine gueule. Bim, bam boum. Ensuite, on tombe par terre et là, c’est la sidération. Je me dis : « Je suis en train de me faire agresser, c’est bizarre. Défends-toi ! ».

Une scène de film d’action, surréaliste. Olivier Ménard, dit « Mémé » à l’antenne, n’a pas le temps cogiter, ni de vraiment réagir. En se protégeant, il lui dit quand même : « Mais qui t’es ? Je ne te connais pas ». Il se souvient aussi lui avoir hurlé : « Mais t’es fou ! ». L’assaillant lui répond : « Non, je ne suis pas fou, tu as mal parlé à ma mère ou de ma mère ». Olivier Ménard n’a pas d’explications à cela.

Le moment d’extrêmes tensions a duré « environ trois minutes », Olivier Ménard « sentait les coups mais ils ne faisaient pas mal. J’étais un peu comme spectateur de la scène. Mais mon agresseur voulait me tuer. À un moment, il passe un peu derrière moi et veut me faire des guillotines, me rompre les vertèbres cervicales. Là, le fait de faire du sport tous les jours m’a beaucoup aidé. J’arrive à maîtriser sa force, à le contrer. »

Qu’est-ce qui a donc sauvé le journaliste ? « Au bout de ce temps-là, un voisin sort de son appartement et arrive dans le sas, les badauds dans la rue s’arrêtent devant la porte sans pouvoir entrer, et c’est là qu’il décide de repartir, en marchant… »

Aucune animosité, jamais, à l’antenne. Aucun mot plus haut que l’autre. Olivier Ménard est le gendre idéal. Comment quelqu’un aurait-il pu lui en vouloir à ce point ? L’agresseur l’a-t-il confondu avec quelqu’un d’autre ? L’enquête suit son cours. « Du coup, j’aimerais revoir ce monsieur, être confronté à lui : « Maintenant, explique-moi ! » Depuis l’agression, j’ai le petit vélo qui tourne dans la tête. »

Jordan Bardella se dispute avec le YouTubeur Squeezie

Il ne se laisse pas faire. Attaqué dans un post inédit et très politique par le YouTubeur à succès Squeezie, Jordan Bardella contre-attaque avec une lettre ouverte.

Le potentiel Premier ministre après les prochaines législatives s’adresse « aux abonnés de #Squeezie » dans un post Instagram conçu en 8 textes. Il émet notamment « 2 hypothèses sur cette agitation de notre ami ». D’abord des explications très geeks, issues du monde du gaming : « un 1vs1 sur Rust mal digéré ». Ensuite, il ose le piquer en expliquant l’attaque de Squeezie par le fait d’avoir été « doublé (en nombre d’abonnés) par Tibo Inshape ? ». Pas forcément convaincant.

Avec ses 699 000 abonnés Instagram, Jordan Bardella ne fait pas le poids face à l’impact d’un Squeezie. Car jeudi, le YouTubeur avait lancé un appel vibrant à ses 8,8 millions d’abonnés Instagram (19 millions sur YouTube).

Mais la contre-attaque de l’homme politique du Rassemblement National a le mérite d’exister. Il a tenté le coup. Les commentaires restent globalement très négatifs. « Très gênant ton post », « quel manque de classe, j’ai l’impression de voir un hater » ou encore « ta désinformation est pire que tes vannes », . L’important était de ne pas se laisser faire.

Nouvelle-Calédonie : 95 000 cyberattaques en quelques secondes !

C’est du jamais vu. Des millions de mails envoyés en même temps. 95 000 tentatives de connections en quelques secondes. La Nouvelle-Calédonie est victime actuellement d’une cyberattaque de grande ampleur.

Ce mardi 21 mai, c’est la stupeur parmi le gouvernement calédonien. Jamais une cyberattaque d’un tel niveau n’avait eu lieu sur l’archipel situé à l’est de l’Australie et au nord de la Nouvelle-Zélande. Une tentative massive de piratage stoppée « avant qu’il y ait des dégâts importants ».

L’objectif ? « Saturer le réseau calédonien », semer le désordre. Un désordre déjà organisé via notamment l’Azerbaïdjan depuis plus d’une semaine.

Les faits se sont produits « peu après » l’annonce par le Président Emmanuel Macron de sa venue sur l’archipel français. « Nous avons subi la nuit dernière une cyberattaque d’une force inédite en Nouvelle-Calédonie puisqu’un fournisseur d’accès a subi une attaque de l’extérieur sur une adresse IP avec le but de saturer le réseau calédonien », a expliqué lors d’une conférence de presse Christopher Gygès, membre (Les Loyalistes) du gouvernement collégial local.

« Des millions d’e-mails ont été envoyés de manière simultanée sur une adresse mail qui avait pour objet de saturer » le réseau « et de le rendre inopérant », a-t-il précisé. Aucun dégât important n’est à déplorer.

Si les attaques n’ont pas été revendiquées, les tentatives de connections proviendraient de Russie, d’après les premiers traçages. Un pays qui figure déjà, comme l’Azerbaïdjan en premier lieu et la Chine, parmi les orchestrateurs du désordre actuel en Nouvelle-Calédonie.

Attaque du fourgon : la profonde tristesse d’un père, « j’entends la voix d’Eric Dupond-Moretti, et j’ai compris »

Un drame familial terrible. Suite à l’attaque du fourgon pénitentiaire, mardi matin, dans l’Eure, c’est une famille entière qui a perdu un de ses membres. Un futur père de famille est décédé, abattu par des meurtriers qui avaient prémédité cette évasion.

Pour France Bleu Normandie, Dominique Garcia, le père de l’agent pénitentiaire Arnaud Garcia, témoigne. On apprend notamment que son fils, âgé de 34 ans, allait à son tour devenir père. « Huit ans qu’il attendait cela avec sa femme »… L’épreuve est immense.

Le papa donne les détails de la situation familiale et professionnelle de son fils : « Il avait rencontré des très bons collègues avec qui il s’entendait très bien. Donc il était heureux de vivre, il avait la chance d’avoir une femme agréable, de créer une famille, il habitait à côté de chez nous… C’est notre fils unique, donc je l’ai mis dans une bulle toute sa vie. Et la bulle a explosé. »

Après 39 ans en tant que gendarme, ce monsieur croit fort en la justice. Même si la colère est totale : « Je suis sous le coup de la colère. Il ne verra pas son bébé. On ne saura que dans dix jours si c’est un garçon ou une fille. Je tâcherai de l’élever avec sa maman bien sûr, comme on a fait pour notre fils. Mais, j’ai un déchirement qui fait très mal. »

Une famille détruite. Une femme enceinte forcément « dévastée ». Dominique Garcia témoigne : « J’ai dû l’emmener chez le médecin, parce qu’elle est enceinte et elle refuse de manger, elle n’a pas faim. Je m’occupe de tout, je lui ai dit ‘T’inquiète pas, on est à deux’. Au niveau média, j’ai canalisé un peu tout ça pour éviter qu’elle soit perturbée. On attend les cérémonies, l’inhumation, et après, on verra. »

Un coup de téléphone, le temps qui s’arrête. Mais d’abord l’inquiétude de sa belle-fille, mardi, inquiète. Elle l’appelle : « Elle me dit ‘Dominique, regardez la télé, Arnaud ne répond pas au téléphone’. Je vois deux morts, trois blessés. J’appelle sur son portable, rien. J’appelle le centre qui s’occupe des transfèrements, on me dit qu’on me rappelle. Au bout de dix minutes, mon téléphone sonne et j’entends la voix d’Eric Dupond-Moretti (le ministre de la Justice), et j’ai compris. J’ai fait 39 ans en gendarmerie, j’ai dû annoncer une vingtaine de fois à des familles le décès d’un membre. Donc j’ai compris. Ce n’est pas pour me dire que le gamin était parti ramasser des fraises. »

Et que dire du pressentiment de son fils Arnaud au moment de partir travailler ce matin-là ? Il se confiait alors à sa femme : « Je la sens pas cette journée, je la sens pas »…

Attaque d’un fourgon, deux agents décédés, un détenu évadé

Les images ne sont malheureusement pas celles d’une série télé. Une attaque qui tourne mal. Deux agents pénitentiaires tués dans l’attaque d’un fourgon cellulaire. Ce mardi matin, un drame dans l’Eure sur l’autoroute A154. Un drame qui a permis la fuite d’un détenu.

L’autoroute A154 est d’ailleurs désormais fermée dans les deux sens. Deux véhicules avec quatre hommes armés font feu peu après 11 heures, à hauteur du péage d’Incarville, dans l’Eure. Une opération commando d’hommes en mission. Le détenu a pris la fuite avec les quatre assaillants. Un véhicule de marque Audi a pris la fuite avant d’être retrouvée incendié à Watteville (Eure).

D’après les informations du Parisien, au moins deux agents pénitentiaires ont été tués. Le détenu évadé serait un certain Mohamed A., dit « La Mouche ». Âgé de 30 ans, il a été condamné pour « vol avec effraction ». Connu pour être à la tête d’un réseau de stupéfiants, il est aussi dans le viseur de la justice pour « tentative d’homicide ». L’homme n’était jusqu’alors pas répertorié comme « détenu particulièrement signalé » (DPS). Une cellule de crise a été ouverte au Ministère de la justice.

Explosions en Iran : deux versions bien différentes et un appel au calme

Des explosions, des drones abattus. Le centre de l’Iran cible d’attaques non revendiquées, cette nuit. Les Etats-Unis affirment que ces tirs sont des représailles israéliennes. Israël s’abstient de tout commentaire.

Ce vendredi matin, lors d’un déplacement en Finlande, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen envoie un message clair : il est « absolument nécessaire » que la situation reste « stable » au Proche-Orient. L’Union européenne incite les parties prenantes à « s’abstenir de toute nouvelle action ».

La nuit dernière, plusieurs explosions depuis le centre de l’Iran ont été rapportées. Une attaque israélienne selon plusieurs hauts fonctionnaires américains. Une attaque qui ferait suite aux tirs de drones et de missiles contre Israël le weekend dernier. Escalade permanente entre Israël et l’Iran ? Puisque la riposte iranienne faisait déjà suite à l’attaque de l’annexe de l’ambassade d’Iran en Syrie, le 1er avril.

Plus précisément, l’agence de presse iranienne Fars rapporte trois explosions près d’une base militaire à Qahjavarestan, entre la ville d’Ispahan et son aéroport. Des drones ont été abattus mais il n’y a pas eu d’attaque par missiles. Mais selon l’Iran, « aucune information fait état d’une attaque de l’étranger ». Vu le peu de dégâts, est-ce une volonté d’éviter justement d’entrer dans un conflit violent et permanent avec Israël ?

Car du côté de Washington, les informations du Washington Post semblent assez claires : Israël voulait montrer sa capacité à frapper l’intérieur du pays. Des informations d’une attaque connues aux Etats-Unis depuis jeudi.

Le journal américain The New York Times cite quant à lui des responsables iraniens. Selon eux, l’attaque aurait été menée par de petits drones, possiblement lancés depuis le territoire iranien, et les défenses aériennes « n’ont pas détecté d’objets volants non identifiés franchissant l’espace aérien iranien ». Un récit parallèle afin d’éviter un conflit frontal qui s’enliserait dans une guerre régionale ?

Les États-Unis affirment avoir été prévenus jeudi de l’attaque israélienne sur l’Iran mais ils n’ont ni approuvé l’opération ni joué aucun rôle dans son exécution, ont déclaré plusieurs responsables cités par les chaînes NBC et CNN.