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16e Copa America pour l’Argentine, 45e titre pour Léo Messi

L’Argentine est la meilleure équipe du monde. Vainqueur de sa 16e Copa America, l’équipe menée par Léo Messi enchaîne Coupe du monde et Copa en moins de deux ans. Un sacre acquis cette nuit sur un but de Lautaro Martinez en prolongations (1-0) face à la Colombie.

Lionel Messi boîte bas. Sa cheville a doublé de volume. Il n’a pas pu terminer la rencontre. Mais la légende du football mondial est bien là au moment de soulever cette Copa America. Alors que le Brésil a encore une fois déçu, l’Argentine a su s’arracher pour aller chercher ce trophée majeur.

En voyant les images de Lionel Messi, en pleurs, sur le banc des remplaçants, quelques instants après sa sortie sur blessure (65e), les Argentins ont eu très peur pour l’issue de cette rencontre. Mais l’Albiceleste a de la ressource, avec un banc bien garni.

Il a fallu attendre la seconde période des prolongations pour voir Lautaro Martinez, entré en jeu à la place de Julian Alvarez, tromper la vigilance de la défense colombienne et décocher un tir croisé vainqueur (1-0, 112e). L’Argentine peut exulter. Une seizième Copa America ! L’ancien parisien Angel Di Maria, 36 ans, a participé à son dernier match avec sa sélection. Quoi de mieux que de partir sur un tel titre ?

Et pour Léo Messi, c’est un 45e titre personnel ! Une carrière folle, légendaire. 1069 matchs, 839 buts, 4 Ligue des Champions, 10 Liga espagnole, 7 Coupes du Roi, 8 Supercoupes d’Espagne, 2 Ligue 1, 1 trophée des champions, 3 Supercoupes d’Europe, 3 Coupes du Monde des Clubs, 1 Coupe du monde, 2 Copa America, 1 médaille d’or aux Jeux olympiques, 8 ballon d’or, etc.

« Je suis innocent, je n’ai rien fait. J’ai gâché ma vie » : la détresse du rugbyman Oscar Jegou

Les deux rugbymen du XV de France Hugo Auradou et Oscar Jegou, âgés de 20 et 21 ans, sont actuellement en détention dans la prison de Mendoza, en Argentine, suite à la plainte pour agression sexuelle déposée dimanche à leur encontre.

Une vague de soutiens envers la victime présumée… Mais aussi le rappel de la présomption d’innocence. Impossible de se positionner totalement dans cette affaire d’agression sexuelle avec violence commise par deux joueurs de l’équipe de France de rugby dans la nuit de samedi à dimanche. Hugo Auradou et Oscar Jegou ont été transférés à Mendoza (Argentine), dans une des prisons les plus difficiles du monde.

« Je suis innocent, je n’ai rien fait. J’ai gâché ma vie  », a écrit Oscar Jegou à son frère, par sms, selon RMC Sport. L’entourage du rugbyman de 21 ans a peur des conditions difficiles de détention.

La plainte pour agression sexuelle a été déposée le dimanche 7 juillet. La victime a fait une déclaration longue et détaillée, relayée par son avocate : « Les lésions sont compatibles avec le récit de la victime, mais pas nécessairement exclusivement issues d’une agression sexuelle. Elle a été immédiatement examinée par une médecin légiste et, selon les premiers éléments, les blessures semblent correspondre à son récit. La déposition est assez longue, complète, détaillée et correspond, pour l’heure, aux conclusions médico-légales. »

L’ancien président de la Fédération française de rugby (FFR), Bernard Laporte, estime sur BFM TV qu’« il faut d’abord avoir un mot pour la victime présumée mais il faut aussi respecter la présomption d’innocence. J’ai des contacts et il se dit tout et son contraire sur cette affaire. Si les faits sont avérés, c’est très grave, inqualifiable, intolérable. Mais laissons faire l’enquête et on saura ce qu’il s’est passé. Je pense aussi aux mamans de ces deux joueurs, qui doivent être terrifiées. Mais laissons faire l’enquête. »

Actuellement incarcérés dans la prison de Mendoza, la procureure générale indique que les deux joueurs « doivent être accompagnés d’un traducteur, ces deux jeunes ne parlent pas espagnol ».

Lamine Yamal béni par Léo Messi ? La série de photos virale

C’est la nouvelle pépite du football mondial. Déjà époustouflant au FC Barcelone, Lamine Yamal, 16 ans, a ébloui le monde avec son but égalisateur face à l’équipe de France mardi soir à l’Euro 2024. Depuis quelques heures, une série de photos de lui bébé refait surface. Surprise…

Lamine Yamal a-t-il été béni par le Dieu du football, Lionel Messi ? Nous sommes en 2007, l’Argentin n’est pas encore l’immense star qu’il est devenu par la suite. Pour la réalisation d’un calendrier caritatif, le joueur du FC Barcelone est mis à contribution afin de poser avec un bébé.

Le photographe ne sait absolument pas qui est ce joli bébé que Léo Messi doit tenir dans ses bras. Cette série de photos a refait surface la semaine dernière. Le papa de Lamine Yamal ayant reposté celle-ci sur son compte Instagram : « le début de deux légendes ».

Avec le but splendide marqué le jeune ailier espagnol, ces photos sont devenues virales. Le monde entier découvre cette folle histoire via les différents médias et réseaux sociaux.

Le fait que Léo Messi pose Lamine Yamal est le fruit du plus grand des hasards. La maman de Lamine avait participé à un tirage au sport, espérant participer avec son fils à ce calendrier pour l’UNICEF. Rien d’autre. La magie du tirage puis du hasard, qui a amené Lamine dans les bras de Lionel a fait le reste. Pour l’éternité.

Le photographe Joan Monfort d’Associated Press raconte même que « Messi n’avait que 20 ans, il ne savait pas trop comment faire pour gérer le bébé, assis dans une bassine. Messi est un garçon plutôt introverti, timide. Il était dans le vestiaire de l’équipe, il arrive et se retrouve à devoir poser dans une autre salle avec un bébé posé dans une bassine. C’était un peu compliqué…»

Scandale raciste dans le rugby français : Mourad Boudjellal a honte de Melvyn Jaminet

Melvyn Jaminet dans l’oeil du cyclone. Suite à ses propos racistes diffusés sur son compte Instagram dans la nuit de samedi à dimanche, peu après la victoire du XV de France face à l’Argentine, l’arrière du RC Toulon a été mis à l’écart. Ses avocats ont réagi, Mourad Boudjellal aussi.

Mourad Boujellal a honte. L’arrière du RC Toulon ne doit plus porter le maillot du club. L’ancien illustre dirigeant du RCT est catégorique. Après de tels propos racistes, « le premier arabe que je croise, je lui mets un coup de casque », Mourad Boudjellal appelle au licenciement du joueur.

Dans les colonnes de Var Matin, il précise : « Normalement, dans les contrats, il y a une clause d’éthique. Le club va être obligé de s’en séparer. Je n’accepte pas que ce mec porte ‘Toulon’ sur son maillot. Est-ce qu’il peut représenter la ville de Toulon? Est-ce que les partenaires qui sont sur le maillot ont envie d’être associés à du racisme ? »

Mourad Boudjellal n’entrevoit aucune autre solution que son départ du club : « Quand le club était en Pro D2, c’est ce que lui appelle un Arabe qui est venu mettre son argent, son temps et sa vie pour le faire remonter en Top 14 et gagner des titres. Ça me fait honte ! Melvyn Jaminet n’a rien à faire au RCT, qui est ouvert sur la Méditerranée et le monde. Le club va être obligé de s’en séparer. Je n’accepte pas que ce mec porte « Toulon » sur son maillot. »

Après les timides excuses de Melvyn Jaminet en story Instagram, les combattants Cédric Doumbé (MMA) ou Ahmed El Moussaoui (boxe) l’ont invité publiquement à venir les combattre. Les avocats du rugbyman ont pris le délai avec une curieuse défense. Dans un communiqué diffusé lundi, le cabinet indique que le téléphone de Melvyn Jaminet lui a été « volé lors de la soirée au cours de laquelle la vidéo a été publiée ».

Avant d’accuser le tribunal populaire sur les réseaux sociaux : « La vidéo précipitée, retirée du réseau, continue pourtant d’être partagée contre son gré, provoquant ainsi des commentaires outrageants, diffamatoires et calomnieux à son encontre, sans mesurer les lourdes conséquences des accusations portées à l’encontre de monsieur Melvyn Jaminet, attentatoires à sa présomption d’innocence. » Chacun fait son travail. Les médias relayent l’horreur des propos de l’international français, ses avocats tentent par tous les moyens d’organiser une défense crédible. Pas gagné. D’autant que deux autres internationaux français sont actuellement entendus par la justice argentine pour des faits d’agression sexuelle dans la nuit de samedi à dimanche. Décidément.

« Le premier arabe que je croise, je lui mets… » Melvyn Jaminet exclu du XV de France

Un scandale majeur pour le rugby français. En pleine soirée électorale, la Fédération française de rugby vient d’acter le départ de Melvyn Jaminet du XV de France. Ce dernier ayant posté des propos racistes sur son compte Instagram dans la nuit de samedi à dimanche.

Les valeurs de l’ovalie ? Dérapage raciste scandaleux de la part de l’arrière du XV de France et du RC Toulon, Melvyn Jaminet, 25 ans. « Le premier arabe que je croise, je lui mets un coup de casque », ose-t-il dans une vidéo « Réel » rapidement supprimée de son compte Instagram. Le tout en marge d’une victoire des Bleus face à l’Argentine.

La vidéo s’est propagée bien vite sur les réseaux sociaux, suscitant l’émoi, la rage et la stupeur. Si le joueur a posté de simples excuses en story Instagram, le XV de France, son club (et bientôt sûrement son équipementier) ont bien vite pris des décisions fortes.

« Je suis profondément désolé et honteux de mes paroles. Je tiens à m’excuser auprès de tout le monde. Je comprends que cela ait pu blesser et offenser de nombreuses personnes, et je tiens à dire clairement que ces propos ne reflètent en aucun cas mes valeurs ou celles de l’équipe de France de rugby. Le racisme, sous toutes ses formes, est inacceptable et va à l’encontre de tout ce en quoi je crois. » Un joli texte d’excuses qui ne convainc pas grand monde.

« Melvyn Jaminet a été mis à l’écart avec effet immédiat et quitte le groupe France actuellement présent en Argentine. » La Fédération française de rugby (FFR) n’a pas tergiversé longtemps avant de publier ce communiqué. Se basant sur « propos inacceptables et contraires aux valeurs fondamentales » du ruby, la FFR a exclu le joueur du groupe France.

Son club, le RC Toulon, vient d’annoncer diligenter une enquête interne afin de faire la lumière sur ce post inadmissible. Le joueur pourrait aussi perdre son principal équipementier, Nike, qui n’a pas l’habitude de mettre du temps à réagir lors de tels scandales.

Scandale à la Kings World Cup : la France éliminée, Gérard Piqué s’explique sans convaincre

C’est une mauvaise publicité pour la Kings League. Ce championnat du monde de football-divertissement organisé actuellement au Mexique jusqu’au 8 juin s’attire les foudres des spectateurs français. En cause, l’élimination surprenante de l’équipe de France.

Un penalty et puis s’en va. Les Bleus de Samir Nasri et Jérémy Ménez éliminés dés la phase de poules. Une séance de tirs au but qui ponctue un match nul 4 buts partout face à l’Argentine. Le problème, c’est que le penalty qui élimine la France n’a pas été tiré du tout dans les règles (spéciales) de la Kings World Cup.

Le sélectionneur « Amine m’a tué » fulmine. L’Argentin a mis plus de 5 secondes à marquer son penalty, ce qui est illégal d’après le réglement. De même, la lumière s’est mise en rouge dans la salle, indiquant au gardien que le penalty était donc raté.

Et il semble bien au vu des images que le ballon, après l’arrêt du gardien français, a été rebondir sur le plafond de la drôle de salle de jeu. Deux points interdits, le but aurait dû être refusé. Comme le montrent ces images :

Cette arbitrage injuste a rendu fou Samir Nasri, blessé dés le premier match mais très impliqué. Il s’est d’ailleurs permis de dévoiler les coulisses de l’organisation curieuse de la compétition. Avec des passe-droits pour certains mais pas pour d’autres.

« On va dire la vérité. À la base, il a dit si c’est Franck (Ribéry) qui vient, c’est bon, même jusqu’au premier match. » Et pour Adil Rami, ce fut interdit au dernier moment par Gérard Piqué, l’ancien joueur du FC Barcelone et organisateur de l’événement.

Pour calmer la polémique, Gérard Piqué a publié une vidéo de 3’16 », très solennelle. L’ancien mari de Shakira a voulu s’expliquer, précisant qu’il avait parlé au sélectionneur Amine pendant des heures.

« Les penaltys, les règles ne sont pas simples, le tireur n’a que 5 secondes avant de déclencher sa frappe. Quand les lumières s’éteignent, c’est que le temps est écoulé ». Problème, la France a encaissé un but en match de poule après les 5 secondes, sans que l’arbitre ne l’annule.

« Que s’est-il passé avec la France ? Le ballon monte et ne touche pas du tout le plafond, puis le ballon rebondit au sol et rentre dans le but. » Gérard Piqué affirme à base d’une image peu probante. D’autant que d’autres angles dévoilent bien que le ballon a touché le plafond. Le rebond étant d’ailleurs très suspect.

« Nous aurions aimé que tout se passe parfaitement, mais ça n’a pas été le cas, nous demandons pardon. Ni le match, ni la série de pénaltys ne seront rejoués. » Des éléments absolument pas convaincants. Dans ce nouveau sport-divertissement, dérivé du football classique, Gérard Piqué aurait dû avoir l’honnêteté et la classe de faire rejouer ce match après une telle bévue.

D’autant que le cofondateur de la Kings League, Ibai, s’est montré en contradiction avec Gérard Piqué : « Il en va de l’honneur de la Kings League de faire rejouer ce match France-Argentine, ou tout du moins la séance de penalty. »

De nombreuses images montrent bien que le ballon a touché le plafond. Ainsi, dans les commentaires, l’ancien défenseur de l’équipe d’Espagne se fait violemment attaquer : « C’est de la corruption ! », « Appel au boycott de la Kings League » ou encore « N’essaie même pas de venir avec ta Kings League en France. On va boycotter fort ».