Dans son livre Si j’avais su : Dans l’enfer du téléphone rose, disponible sur Amazon et Rakuten kobo, Michaël Bijaoui, entrepreneur autodidacte et figure controversée, livre un témoignage captivant sur les débuts d’une industrie aussi fascinante que sulfureuse. À travers ce récit sans filtre, il interroge les liens entre désir, pouvoir, technologie et hypocrisie d’État, soulevant des questions encore brûlantes aujourd’hui sur le féminisme, la marchandisation du corps et la libération sexuelle.
Dans Si j’avais su : Dans l’enfer du téléphone rose, l’auteur raconte sans concession l’histoire de son ascension fulgurante à la tête d’une industrie qui a transformé les mœurs et exploité une technologie révolutionnaire : le Minitel. À 27 ans, il roulait en Ferrari et dirigeait un empire générant des millions. Mais derrière ce succès se cache une réalité troublante, entre profits, dilemmes éthiques et scandales sociaux.
Le récit d’une révolution oubliée
Des années 1980 à aujourd’hui, le téléphone rose a incarné une collision entre sexe, pouvoir et technologie. Visionnaire ou « sexploiteur », Michaël Bijaoui offre un témoignage unique sur l’envers du décor (comment une technologie conçue pour l’information est devenue un moteur de fantasmes), les profits d’une hypocrisie d’État (l’ambivalence des institutions face à une industrie taboue mais lucrative), ou encore les femmes au centre (Émancipation ou exploitation ? L’histoire de celles qui ont prêté leur voix à un système controversé).
Pourquoi ce récit est crucial aujourd’hui
Alors que les débats sur le consentement, la marchandisation du corps et l’influence des technologies s’intensifient, ce témoignage soulève des questions brûlantes : peut-on concilier liberté sexuelle et logique de profit , où placer la frontière entre empowerment et exploitation, et quel rôle jouent les technologies dans nos intimités modernes ?
Avec un regard brut et sans complaisance, Michaël Bijaoui ne cherche pas à se racheter mais à éclairer une époque qui a bouleversé les normes. Plus qu’un simple récit, Si j’avais su interroge la société contemporaine sur ses propres contradictions…
