La ministre de la Culture, Rachida Dati, est montée au créneau pour soutenir le projet controversé d’installation de nouveaux vitraux contemporains dans la cathédrale Notre-Dame de Paris. Alors que cette initiative, portée par Emmanuel Macron, suscite de vives réactions et divise l’opinion, Rachida Dati plaide en faveur d’une modernisation respectueuse du patrimoine.
Face aux critiques, notamment celles de Stéphane Bern, dont nous vous parlions dans un précédent article, et l’opposition d’associations de défense du patrimoine, qui dénoncent une atteinte à l’authenticité du monument, la ministre a affirmé que ces vitraux représentaient « une alliance entre tradition et modernité ». Elle a souligné que l’œuvre contemporaine, confiée à l’artiste Claire Tabouret, avait été choisie après un processus rigoureux et qu’elle s’inscrivait dans une démarche artistique assumée.
Rachida Dati insiste sur l’importance de faire de la cathédrale un symbole vivant, tout en respectant son histoire : « Notre-Dame doit continuer à inspirer, à traverser les époques et à dialoguer avec son temps. »
Deux clans s’opposent, et ne semblent pas près de se réconcilier: les défenseurs du patrimoine et ceux qui plaident pour une vision plus moderne des lieux emblématiques…