Nicky Doll clarifie ses propos après la polémique sur Jordan Bardella

28 juin, 2024 / Entrevue

Karl Sanchez, plus connu sous le nom de Nicky Doll, a publié jeudi un communiqué pour répondre aux réactions suscitées par son interview à Konbini dans l’émission Small Talk, le 26 juin. La phrase « le Bardella, let’s go », lâchée par la célèbre drag-queen à David Castello-Lopez, a en effet suscité de nombreuses protestations sur les réseaux sociaux, nécessitant une mise au point.


Réaction de Nicky Doll

Face à l’ampleur de la polémique, Nicky Doll a tenu à clarifier ses propos. Dans son communiqué, elle explique : « Celle.ux qui me connaissent auront bien compris l’ironie de mes réponses mais d’autres instrumentalisent mes mots dans des séquences sorties de leur contexte. » Elle déplore que ses propos aient été mal interprétés et insiste sur le fait qu’ils ont été utilisés de manière déformée par certains pour servir leurs propres agendas.

Appel à faire barrage au RN

Nicky Doll a également profité de cette mise au point pour réitérer son opposition au Rassemblement National (RN). Elle appelle à « faire barrage au RN » aux législatives, soulignant l’importance de ne pas laisser le parti de Jordan Bardella gagner du terrain. Cette déclaration vise à dissiper tout malentendu et à rappeler sa position politique claire contre l’extrême droite.

Réactions sur les réseaux sociaux

La phrase « le Bardella, let’s go » avait rapidement fait le tour des réseaux sociaux, provoquant des réactions vives et contrastées. Certains internautes avaient interprété les propos de Nicky Doll comme un soutien à Jordan Bardella, ce qui a suscité une vague de critiques. D’autres, connaissant son style et son humour, ont défendu l’ironie de ses réponses, appelant à ne pas sortir les propos de leur contexte.

Conclusion

Nicky Doll a pris la parole pour clarifier ses propos et réaffirmer sa position contre le Rassemblement National, appelant à une vigilance accrue et à ne pas se laisser tromper par des manipulations de ses déclarations.

Hector M.