JO de Paris 2024 : Gabriel Attal conquis par la prestation d’Aya Nakamura à la cérémonie d’ouverture
Vendredi 26 juillet 2024, lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, Aya Nakamura a surpris et enchanté le public avec une performance inattendue. Parmi ceux qui ont été particulièrement impressionnés, Gabriel Attal, le Premier ministre démissionnaire, n’a rien manqué du spectacle.
Une prestation remarquée
Aya Nakamura a interprété ses célèbres titres « Pookie » et « Djadja » lors du tableau intitulé « Liberté ». Mais la chanteuse ne s’est pas arrêtée là : elle a également rendu hommage à Charles Aznavour en reprenant « For me formidable » et « La Bohème » à sa manière. Ce tableau, mis en scène par Thomas Jolly et son équipe devant l’Académie française, a particulièrement plu à Gabriel Attal.
L’enthousiasme de Gabriel Attal
Sur son compte X (anciennement Twitter), Gabriel Attal a exprimé son admiration pour la prestation d’Aya Nakamura. « Name a better duo, I’ll wait (Nommez un meilleur duo, j’attendrai) », a-t-il écrit, accompagné d’un extrait de la performance de la chanteuse. Quelques instants avant elle, Lady Gaga avait également impressionné avec sa reprise de « Mon truc en plume » de Zizi Jeanmaire.
Un soutien face aux critiques
La participation d’Aya Nakamura à la cérémonie avait été sujette à de nombreuses critiques et propos racistes. Certains ne voulaient pas voir la Franco-Malienne représenter la France lors des JO, encore moins l’entendre reprendre « La vie en rose » d’Édith Piaf. Marion Maréchal avait même déclaré : « Cette chanteuse ne chante pas français. »
Malgré les critiques, Aya Nakamura a reçu le soutien d’Emmanuel Macron. « Je pense qu’elle a tout à fait sa place dans une cérémonie d’ouverture ou de clôture des Jeux. Je ne dévoilerai pas ici les détails, mais si elle fait partie avec d’autres artistes de cette cérémonie, je pense que c’est une bonne chose parce que ces Jeux et ces cérémonies doivent nous ressembler », avait déclaré le président au micro de BFMTV en avril 2024.
Hector M.