L’entreprise a mis à jour ses principes éthiques, annonçant qu’elle ne s’interdirait plus de développer des technologies susceptibles de nuire aux individus. Auparavant, l’entreprise refusait d’utiliser l’IA pour créer des armes ou des technologies de surveillance.
Le PDG de Google DeepMind, Demis Hassabis, a souligné que le monde est en pleine compétition pour la domination de l’IA et que les démocraties doivent diriger ce développement en se basant sur des valeurs fondamentales telles que la liberté et l’égalité. Ces mises à jour des principes reflètent l’ambition croissante de Google d’élargir l’utilisation de ses technologies, y compris auprès des gouvernements.
L’entreprise a également cherché à élargir son accès à ses technologies à travers des contrats gouvernementaux, y compris un contrat controversé de 1,2 milliard de dollars avec Amazon pour fournir des services d’IA au gouvernement et à l’armée israélienne dans le cadre du projet « Nimbus », ce qui a entraîné des protestations internes et le licenciement de plus de 50 employés.
Parallèlement, Google a affirmé son engagement à respecter les droits humains et le droit international, mais se heurte à des tensions internes dues à des conflits géopolitiques, comme la guerre à Gaza.