La gauche se rassemble sous une nouvelle bannière « le Front populaire » pour les législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet. Les leaders écologistes, insoumis, communistes et socialistes annoncent un accord de principe pour présenter un candidat unique par circonscription.
Les négociations complexes restent en cours concernant la répartition des circonscriptions et le programme commun a minima. Les Insoumis demandent 300 circonscription (sur un total de 577 circonscription soit plus de la moitié des investitures), tandis que les socialistes, forts de leurs résultats aux européennes, réclament un rééquilibrage.
Malgré sa réussite aux dernières élections européennes, Raphaël Glucksmann, résolument opposé à s’entendre avec les insoumis, est le grand absent de ces négociations.
Hector M.