Francky Vincent : « J’ai commencé la musique en tapant avec des baguettes dans la cage d’escalier. »
Véritable icône du zouk grivois, Francky Vincent célèbre ses 50 ans de carrière. Devenu star grâce à son tube inoubliable Fruit de la passion et son célèbre refrain «Vas-y Francky, c’est bon !», le chanteur, qui a vendu 3 millions d’albums dans sa carrière, prépare une grande tournée, une autobiographie et un best of pour célébrer cet événement. À cette occasion, Francky Vincent, âgé aujourd’hui de 67 ans, nous a accordé une interview à retrouver dans le nouveau numéro d’Entrevue.
Jérôme Goulon : Tu célèbres tes 50 ans de carrière. Ça représente quoi pour toi ?
Francky Vincent : Oui, je célèbre mes 50 ans de carrière. Mais pour moi, ce n’est ni un accomplissement ni un aboutissement, car je veux continuer. Je repars de plus belle, si Dieu me préserve la santé !
Revenons à tes débuts. Quand as-tu commencé la musique ?
J’ai été bercé par la musique dès 8 ans. Ma mère était dans une chorale religieuse, et je l’entendais chanter à la maison. J’écoutais chanter mon père également, il chantait très juste. Il avait une voix de crooner. Donc très tôt, j’ai eu la fibre musicale et chantante.
Parle-nous de ton tout premier groupe…
Ça a commencé en 1974. C’était Tabou n°2, un groupe de quartier. Nous avions trois guitares sèches. J’ai commencé la musique en tapant avec des baguettes sur la boîte aux lettres, dans la cage d’escalier. On avait deux passions avec mes amis : le sport et la musique. On faisait du footing le matin, dans l’après-midi on jouait au foot, et en début de soirée, on répétait dans la cage d’escalier. C’était les balbutiements de mon premier groupe…
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