En ce 13 janvier 2025, Orlando Bloom fête ses 48 ans. Connu pour ses rôles dans Le Seigneur des anneaux, Le Hobbit, Troie ou encore la saga Pirates des Caraïbes, nous l’avions rencontré à l’occasion d’une interview pour Entrevue dans laquelle il nous avait parlé de ses débuts, de son parcours, de son statut de sex-symbol ou encore de son rapport avec la célébrité. Une interview culte à redécouvrir en ce jour d’anniversaire pour la star hollywoodienne…
Entrevue : C’est vrai que vous vous appelez Orlando parce que vos parents adoraient la ville du même nom ?
Orlando Bloom : Très drôle ! ( Rires ) Non. Quand je suis né, on parlait beaucoup d’Orlando Gibbons, un compositeur anglais. J’en conviens, ce n’est pas un prénom qui court les rues ! ( Rires )
Niveau vie privée, on vous sent très amoureux. ( Il est actuellement en couple avec Katy Perry, Ndlr. ) L’Amour avec un grand A, vous y croyez vraiment?
Si ça n’existait pas, je ne vois pas pourquoi on écrirait des films et des chansons qui ne tournent qu’autour de ça !
Comment faut-il s’y prendre pour vous séduire ?
Tout d’abord, il ne faut pas trop la ramener. Ce que j’aime le moins, c’est la vulgarité et les approches trop rentre-dedans. Je ne supporte pas les bimbos en mini-jupe qui gloussent dès qu’elles prononcent une phrase.
En Angleterre, la presse people a longtemps évalué votre sex-appeal chaque semaine. C’est bon pour l’ego, non ?
C’est surtout bon pour vendre du papier ! De toute façon, ce genre de choses ne dure pas. À mon âge, je suis périmé ! ( Rires )
Vous êtes trop modeste ! Cette image de sex-symbol ne vous prend pas trop la tête ?
Non, comme je te dis, c’est éphémère. Dans quelques années, vous poserez cette question à un petit nouveau avec deux poils au menton qui vivra son moment de gloire…
C’est vrai que vous vous êtes lancé dans le cinéma car c’était le meilleur moyen de draguer ?
J’ai dit ça à l’époque, oui. Vous en connaissez beaucoup, vous, de jobs où on vous paye pour embrasser des filles ? C’était le rêve !
Vous gardez un bon souvenir du film qui vous a fait connaître, Le seigneur des anneaux ?
Oui ! Le seul truc qui m’a posé problème, c’est d’apprendre le langage des elfes. Ils ne peuvent pas parler anglais, non ? ( Rires )
Vous donnez l’impression de ne pas avoir la grosse tête…
C’est simple : dès ma sortie de l’école de théâtre, j’ai toujours su qu’il y avait des milliers de comédiens tout à fait capables de faire ce que je fais. Alors forcément, je reste humble.
D’où puiseez-vous cette force ?
De mes faiblesses ! ( Rires ) Heureusement que j’en ai bavé pour arriver où je suis, mais c’est en souffrant qu’on apprend.
Quand vous dites que vous en avez bavé, j’imagine que vous parlez des petits boulots que vous avait faits avant le cinéma ?
Oui, j’en ai fait des petits boulots. Et pas des plus intelligents ! ( Rires )
Vous avez un exemple ?
J’ai été lanceur d’assiettes en céramique de ball-trap. Ça a l’air d’être ridicule, mais c’était très bien ! Tout du moins pour l’époque… ( Rires )