Giuseppe (Qui veut épouser mon fils) : prison ferme pour le candidat de téléréalité
Giuseppe Polimeno a été condamné ce lundi 1er août par le tribunal correctionnel de Grasse à deux ans de prison, dont un avec sursis, et un maintien en détention pour harcèlements, menaces de mort réitérées et violences contre son ex-compagne Hinda.
Décrit par un expert comme ayant une personnalité narcissique avec un côté caricatural, c’est désormais derrière les barreaux que Giuseppe Polimeno va faire le show ! Le bellâtre à la mère invasive de Qui veut épouser mon fils a été condamné ce lundi 1er août à deux ans de détention, dont un avec sursis, et un maintien en détention par le tribunal correctionnel de Grasse. Son ex-compagne, Hinda, avec qui il a eu un enfant, avait déposé plainte pour appels téléphoniques malveillants, menaces de mort réitérées, harcèlement et violences.
La star avait été placé en détention provisoire depuis début juillet.
Selon Nice Matin, le quadragénaire a commencé un long discours narcissique au tribunal, retraçant son parcours et rappelant qu’il avait fait pas moins de « 70 couvertures de presse et empoché près de 200 000 euros » grâce aux magazines. La star de Giuseppe Ristorante a accusé son ex-compagne de le voir « comme une banque« , restant avec lui seulement pour l’argent.
Appelée à témoigner à la barre, Hinda a rapidement démenti les accusations de Giuseppe en le qualifiant de « monstre » et affirmant avoir reçu jusqu’à 131 appels par jour : « il n’accepte pas la rupture. J’ai perdu mon emploi de directrice dans une boutique de luxe sur la Croisette car il venait toute la journée m’insulter sur mon lieu de travail. Le scandale continuait ensuite en bas de ma résidence. Il jetait des pierres sur ma terrasse. Partout où j’allais, il était là. J’ai vécu l’enfer pendant deux ans. À mes yeux, c’est un monstre, il est dangereux pour les femmes. »
Après deux heures d’audiences, le tribunal a tranché et suivi les réquisitions du procureur. Giuseppe Polimeno a également été condamnée à versé 4000 euros de dommages et intérêts à sa victime. Un verdict qui n’a pas ôté le sens de l’humour du principal intéressé qui a lancé : « Je peux rembourser cinq euros par mois ? » .
Pour rappel, le candidat de téléréalité avait déjà été condamné en 2000 et 2014 pour violences conjugales…